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Espaces Commentaires !
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Thresh
Invité
Lun 16 Mar - 22:30
Oh ! Bonjour et bienvenue dans LA zone commentaire ! Que puis-je faire pour toi Jeune Otaku en manque de Shojo ? Hmmm Tu es là pour la collector des commentaires de l'épreuve 1 ? Ne bouge pas je vais te la chercher ! Mais sois averti ! Bien qu'il s'agisse d'une première édition, il s'agit là d'un avis complètement faussé d'un pauvre fou qui n'a rien fait d'autre que de lire les épreuves. Ses commentaire sont basés sur le ressenti après la lecture plus que dans le fond ou la forme ! Tu es toujours intéressé ? Très bien... Voici la VHS de présentation des épreuves.

IL + SNK :
J'aime bien votre RP. la collaboration entre les deux personnages se fait presque tout seul, bien qu'il viennent d'univers différents. L'évolution de l'urgence devient intéressante avec un Garret cherchant de manière plus aggressive au fur et à mesures des post et une Katie essayant de survivre comme elle peut en donnant son coup de main est satisfaisant. Un détail, mais c'est du pinaillage pure et simple, c'est la connaissance de Garret des Stalkers qui fait se demander si le perso en a déjà croisé dans le monde de SNK. Mais dans l'ensemble je suis même déçu que la limite de post et/ou de mot ne vus fassent pas RP un peu plus longtemps. Mention honorable à la menace supplémentaire pour rajouter un peu plus de péripétie que le simple gaz toxique.

ES+ME :
Dès les premiers poste le ton est donné, on sent que la collaboration va être un peu dure avec les deux loustics ! Un souci que je souligne tout de suite, bien qu'esthétique, est présent dans les post de Flavien c'est les paroles et la narration qui sont de la même couleur. Quand je relis les posts en diagonale (Allez y huez moi!) pour revoir ce qui m'a marqué c'est difficile de relire les dialogues. Après, mais ça se corrigera avec le temps, c'est les quelques fautes d'orthographe. Tout le monde en fait et je laisserais les grammar nazi te frapper, je te récupère après pour soigner tout ça.

Bon revenons à ce RP ! La courte tension que vous construisez est palpable, et vos actions sont racontées de manière bien coordonnée, ce qui monter que vous avez réussi a vous mettre d'accord sur le déroulement. Ce RP est sympa à lire, et l'action qui est dedans nous garde en haleine. Et la cerise sur le gâteau, alors qu'on se dit ces mots interdits "Bon il se sont battus, CA POUVAIT ETRE PIRE POUR EUX..." , vous nous ajoutez les mutant. J'ai le même sentiment que précédemment, je serais ravi de lire une version plus longue de votre RP !

KHS + MA :
La première chose qui m'a sauté aux yeux et qui m'a fait plaisir dans ces temps reculés, c'est la cohérence utilisée par Madelle. En effet, ce détail de ne pas savoir ce qu'est la masque à Gaz n'est peut être rien, mais ça respecte le style médiéval/fantastique qu'Ellyn a employé et ça c'est cool. Tout au long du RP, j'ai bien aimé ce sentiment d'espoir faiblissant au fur et à mesure de votre avancée. Avec la bravoure d'Ellyn, la tendresse et la gentil de Mitsuki chez Kobe High School, donne une superbe alchimie, rendant frustrante la fin que vous avez écrit tellement je voulais voir les deux personnages s'en sortir. C'était un joli RP avec de rare fautes, mais qui ne brise en rien l'immersion de votre cauchemar dans ce tunnel.

CI+TE :
J'avoue que la curiosité concernant votre avancée m'a fait lire votre rp au fur et à mesure et donc ce ne sera pas vraiment une réaction à chaud, mais j'ai beaucoup apprécié votre RP. Entre Adaryon et Pricie, j'ai trouvé touchant le fait qu'ils se serrent réciproquement les coudes, pour donner la fin que nous avons. GG les gars j'ai trouvé votre RP trop rapide, j'en veux plus avec vos personnages !

UtM+OT :
Premier souci dès le post d'Aidan : l'esthétique de ton post cache tes dernières phrases. C'est un peu gênant pour la lecture, mais j'adore ton fond vampirique ! La collaboration difficile entre la maniaque Sofia et le vampire Aidan rend le duo sympathique à suivre dans une scène pourtant terrible. Ce rp lent, avec cette soudaine accélération lors de l'explosion est très satisfaisante à lire, donnant un certain équilibre à votre RP. J'ai bien aimé vous lire et j'attend avec hâte votre prochaine collaboration.

DT+NRP
J'ai eu le même souci qu'avec le RP de CI : ma curiosité m'a trahi, me faisant lire vos RP au fur et à mesure au lieu d'un coup. Du coup ce que j'en tire : Un intérêt particulier à votre RP, Rajoutant un long paisible de discussion entre les personnages. Le conte que vous m'avez offert était fort sympathique à suivre, et je regrette même qu'il ne soit pas plus long. La présentation de Tanis au dernier m'a cependant un peu dérouté mais la surprise était bonne et pleinement acceptée.

Et Voilà ! Toujours intéressé ? Comment ça il aide pas les participant pour qu'ils s'améliorent ? Bien sur que non ! Il est trop idiot pour ça ! Allez Prend la collector, et surtout n'hésite pas avec la porte, elle galère un peu !

Thresh vit le client s'envoler par la fenêtre sous les bruits d'un pigeon, stupéfait.
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Ophé Iry
Invité
Mar 17 Mar - 0:06
Coucou tout l'monde !

C'est la première fois que je fais des commentaires, normalement je ne lis même pas les épreuves pour une raison bien simple : Je déteste lire ! Smile

Mais là j'me suis dit que j'allais faire un effort quand même, et pour faire ça en douceur je commence par l'épreuve que je connais le mieux, le bout du tunnel !

Commentaires - Epreuve 6

Alors, dans mes critères, je suis un fervent adepte du principe de dualité, alors je mettrai toujours une qualité et un défaut que j'ai trouvé au texte ! Même si c'est le meilleur texte du monde, je mettrai un "trop parfait" dans les défauts et je serai sérieux !!

Ensuite, puisque j'ai vu d'autres qui ont fait ça et que j'aime le principe, une citation du personnage. Et enfin, je finirai avec mon ressenti global !

PS : Si le ressenti ne vous revient pas, dites-vous qu'il vient de l'esprit de quelqu'un qui, à la base, déteste lire n'importe quel écrit =P

Et avant toute chose, mon ressenti global sur l'épreuve : Cette épreuve était très intéressante à mettre en place, notamment pour moi puisque mon personnage s'y prêtait absolument et j'ai adoré la faire parler d'elle-même. Après, je me dis que cette épreuve comportait le gros piège du "Je vais parler de mon passé et rien ne va justifier ni mon isolement, ni pourquoi je ressasse". Tomber dedans n'est pas éliminatoire pour moi, mais c'est très dommage !

Je tiens également à préciser un détail important : Je compte l'orthographe et la syntaxe comme des critères, mais je suis bien conscient que certaines personnes ont plus de mal que d'autres avec ça et le but n'est absolument pas de leur renvoyer ce défaut dans la gueule. Il s'agit pour moi simplement d'un critère à valoriser, comme à mentionner lorsque piste d'amélioration il y a, mais en aucun cas je ne blâme la personne derrière l'écran pour quelconques lacunes ; on a tous nos difficultés et c'est normal.

On commence donc dans l'ordre !

Artemis (LS):


Andrei Volkovar (Metro):


Fiora (VB) :


Tessa (KHS):


Ophélia [Iry]:


Anoushka (NA):

Nyriel (OT):


Amy (Te):


Alice (DT):


Djerin (NRP):


Chris (UtM):


Feliciano (ILK):


Arndt:


Mealladh (Mad):


Audebert (Es):

Et j'ai fini ! Merci à vous tous pour ces participations, n'oubliez pas que ce ne sont là que mes avis, j'ai peut-être des goûts de chiotte et je n'ai pas spécialement cherché à être objectif. Dites-vous qu'une opinion vaut ce qu'elle vaut, vous pouvez être d'accord avec moi, pas d'accord, c'est de votre ressort ! Quoi qu'il en soit, et je ne mens même pas en disant ça, c'était un certain plaisir que de vous lire !

Je continuerai peut-être sur les autres épreuves si je trouve la motivation, en attendant, bisous à vous tous !!
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LouOT-NA
Invité
Mar 17 Mar - 11:59
Hi ♥

Alors, pour commencer, je tiens déjà à remercier Métro pour cette nouvelle édition de l'Interforum. C'est toujours un plaisir que d'y participer ! Et puis, cette fois, j'ai put participer autant pour mon forum (Nouvelle Avalon) que pour Ostium Tenebris. Donc, j'avoue, je suis toute contente ♥
Je félicite tous les champions de toutes les épreuves, mais aussi le staff de chaque forum qui généralement s'organise pour trouver les champions, gérer les votes, etc. Bon courage d'ailleurs pour cette-dernière étape Wink Et enfin, je remercie tout particulièrement Sofia de UtM pour notre mini-rp !

A présent, je vous avoue, je ne me suis jamais essayée à commenter des écrits ou des textes. Alors, ça va être une première dans la mesure de mes disponibilités. Tout ce qui sera dit, n'est que mon ressenti en fonction de mes goûts.

Ah et, merci Thresh pour ton retour sur notre rp à Sofia et moi. Pour le code, m'en suis rendu compte oui : à partir du 3ème poste ^^" j'ai alors corrigé le tir mais j'allais pas demander au staff de Métro, qui a déjà assez à gérer, d'éditer mes trois autres messages pour remplacer mon padding-bottom de 100 à 200 lol ^^" Me suis dit que "pas grave, me ferais taper sur les doigts par les lecteurs" What a Face

*tend le bâton pour se faire battre mais essaie de soudoyer avec un cookie quand même*

Sur ce, les commentaires ! (bordel, faut que j'apprenne à faire court oO)
Je vais commencer par l'Épreuve 1 car outre d'avoir participer à cette épreuve, ben, commencer par le début c'est parfois plus facile /pan/ !

Avant d'y aller "cas par cas", je dois dire que quand j'ai lu l'énoncé au tout début : j'ai eu un peu peur. En fait, au départ, je craignais de voir le même genre de rp se développer un peu partout. Je me disais "Ah... Un huit clos avec une seule porte de survie ? Aïe... On risque d'avoir surtout de l'opposition" ... C'est une des raisons qui m'ont fait choisir "Aidan" pour le miens, qui a un côté très "gentleman/pacifiste". Mais finalement, quand j'ai lu les épreuves après avoir fini la mienne, j'ai été contente de voir que je m'étais trompée ! :D

▬ DT + NRP
J'ai pris plaisir à lire ce rp, à essayer de deviner la nature de Stanéria. Et puis, Alec... Un beagle ? Un petit beagle ? Mais c'est jouer la carte du cute sentimentaliste là ! Et j'aime beaucoup la chute. ^^
▬ CI + TE
J'ai trouvé intéressant comment les personnages, au final, se complètent mais se reflètent aussi. Celui qui devrait être l'adulte semble, sous l'effet de la peur, retomber en enfance. Je veux dire, Adaryon nous semble alors fragile quant Pricie dégage une maturité plus forte que son âge le supposerait (même si teintée par une sorte de fatalité). Honnêtement, c'est l'évolution de cet aspect qui m'a entraîné dans votre rp et m'a fait l'apprécier.
▬ KHS + MAD
bon, je commence à pas mal connaître l'univers de Madelle à force de lire leur contexte et leurs news XD Aussi, comme Thresh avant moi, j'ai trouvé trés sympathique la façon dont Ellyn maintient son rapport avec son univers pour ne pas seulement être happé dans le monde contemporain mit en place par Mitsuki. Et puis, leur entraide est touchante et la fin... Mon dieu, la phrase de fin me laisse un frisson.
▬ LS + VB
Quand j'ai vu que le rp c'était Salluste à l'ouverture, je me suis dit "mon dieu, où est mon sirop car je vais encore rire je le sens... et avec une bronchite, ça va pas le faire" XD Et le pire : c'est que j'avais raison XD Déjà, en voyant VB et LS me suis dit "le masque à gaz dans leurs univers ? euuuuuh"... Alors, GG Salluste pour cette sublime description. Mais surtout, j'ai beaucoup aimé comment Tresh a alimenté le côté complètement fou de ce rp. Ce côté totalement décalé que la fin permet de comprendre. Certains diraient que justifier comme ça c'est de la facilité, mais je ne pense pas. Cela donne au contraire toute sa saveur au burlesque, et un contexte pour expliquer une rencontre de base complètement improbable avec un élément clef de l'épreuve complètement uchronique : le masque. J'ai adoré, je ne le cache pas.
▬ ES + ME
J'avoue, j'aime beaucoup la plume des joueurs d'Esquisse (enfin, j'ai encore jamais lu une mauvaise plume chez eux oO) ... Mais aujourd'hui encore, j'ai du mal à vraiment comprendre l'univers d'Esquisse. Donc, en un sens, que Flavien est adapté son personnage pour l'adapter à l'univers de son partenaire rp, c'est quelque chose que j'ai apprécié car ça m'a offert un contexte que je pouvais mieux comprendre et donc, mieux m’immerger dans votre rp. En un sens, il est plus proche de ce que je m'attendais à avoir dans cette épreuve à l'origine mais finalement, comme c'est le seul du genre ça le rend encore plus agréable. Car j'ai aimé être vraiment entraîné dans l'ambiance et l'univers de Métro qui m'est peu familier ^^
▬ IL + SNK
Je n'ai qu'un seul regret pour votre rp. car niveau rythmique, ambiance, progression, survie : tout y est pour moi. Juste, je regrette que vos personnages soient dans l'univers de Metro et non dans celui d'Ilukaan ou de SNK. La mention du métro moscovite et des stalker par le personnage de Garrett fait qu'au final j'ai compris que c'était l'univers de Métro et ça m'a, je l'avoue déçu. Au départ je croyais que vous étiez dans l'un des deux univers, probablement même plus dans celui de SNK (la magie pouvant expliquer un déplacement dimensionnel accidentel pour Ilukaan ? /pan/) mais coincé dans un passage souterrain avec du titan souterrain aux trousses (les bruits contre la pierre m'ont fait pensé ça) ... donc, pour le coup, c'est le seul regret que j'ai : ne pas avoir put frôler un peu le contexte et l'univers de vos forums respectifs. Après, je vous félicite car je crois que l'IRL vous a forcé à rusher pour terminer donc, forcément, ça a du vous mener à des concessions j'imagine.

En tout cas, encore une fois, bravo à tous ! Voter ne va pas être facile lol
Je verrais si j'ai le temps de faire ça pour les autres épreuves ♥
Et je rappelle que tout ces avis n'engage que moi :D
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Sona[VB]
Invité
Jeu 19 Mar - 0:26
Bimbamboum ! C’est Sonouille de chez VB et comme toujours depuis l’édition 4, je viens donner mes petites réactions sucrées et à chaud de ma première lecture des différentes érpeuves. Et comme d’hab le même couplet : je ne sais pas tout et ne prétends pas donner la vérité, juste un avis humble et je suis toujours d’avoir les réponses ou des explications des auteurs ! Si vous avez quelque chose à ajouter à mon commentaire sur votre texte s’il vous plaît partagez-le moi !


Je commence avec l’épreuve numéro 3 : “Le marché”


[UtM] Anticias:


[VB] Swain:


[AVA] Lou:


[SnKR] Cielle:


[KHS] Chandini:


[Me] Nikita:


[ILK]Ludwig:



[CI] Adaryon:


[MAD] Juliette:


[NRP]Pazou:


[TE] Eli:


[Es AI:


[LS] Nikita:


[OT] Ithen:


BàT [Es] Kaoren:


BàT [Es] Triaire:


BàT [NRP] Silivren:



Pfiou ! Il y en avait des chose à dire ! J’ai adoré cette épreuve 3 !! La consigne était ma préférée et les productions sont quand même encore bien au-delà de mes attentes !
Les votes vont être très difficiles pour moi car entre le talents pour l’écriture, les différents styles et les grandes idées de chacun, même si le nombre de texte est plus petit qu’aux autres éditions, la barre est vraiment placée haute ! Vous avez roxxé du poney et je tiens à féliciter chacun des participants pour avoir réussi ce challenge en moins de 24h !

Des bisouilles ! J'vais essayer de continuer pour les autres épreuves mais l'air de rien ça prend un petit peu de temps ^^
Sona de VB !
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Kaoren
Invité
Jeu 19 Mar - 21:42
Holà, fervents admirateurs de la prose d’autrui – et, pour certains, de mon admiration de la prose d’autrui – si vous êtes descendus dans cet unique sujet de l’interflood que ça fait un an que je soutiens qu’il mériterait presque une section à part entière, c’est pour lire des commentaires ! Plein de commentaires ! Et plus ils sont gros, plus vous aimez ça ! Alors comme d’habitude, je vais faire gros !

Pour ceux qui me connaissent, je ne me présente pas – c’est parfaitement logique – et pour ceux qui me connaissent pas, j’ai acquis une certaine réputation de faire des gros pavés de commentaires à chaque édition où j’ai le courage de le faire, à savoir une fois sur deux à la louche, et j’ai pris l’habitude d’orienter ceux-ci non pas sur des textes dans leur globalité, mais plutôt sur des passages ou des tournures que j’ai bien aimés. Les raisons sont multiples : déjà, c’est super dur de tourner proprement une critique négative, donc je préfère me concentrer sur des trucs sur lesquels je suis sûr de pouvoir dire du bien – oui, je suis un peu lâche sur ce point – ensuite parce que ça m’assure de jamais vraiment faire doublon avec d’autres commentaires qui pourraient avoir un avis similaire au mien sur certains textes, et enfin, et c’est la raison la plus importante, parce que j’ai tendance à m’égarer à une vitesse folle quand il s’agit de parler d’un texte entier et je suis beaucoup plus à l’aise pour décortiquer quelque chose d’un peu restreint. Me demandez jamais mon avis sur le Seigneur des Anneaux, en somme. D’autant que je les ai pas lus.

Hélas, me demanderez-vous, comment m’assurer de rendre justice à tous les textes si certains sont très bons dans leur globalité mais n’ont aucun passage exceptionnel que je puisse prendre à part ? Eh bien, je sais pas trop, à vrai dire. Vous allez régulièrement me voir diverger totalement de la phrase que j’aurai prise pour parler du reste du texte, mais il y a des fois ou tant pis, je vais juste laisser les commentaires des autres se charger de faire des jolis compliments à ma place. En somme, comprenez bien que ce n’est pas parce que je n’ai pas trouvé de phrase à mettre ici que j’ai pas aimé le texte – en l’occurrence, le meilleur exemple est celui de Silivren, qui n’est pas dans mon commentaire, mais que j’ai mis dans mon podium à côté – et inversement, pour la partie plus négative, ce n’est pas parce que j’ai décelé une jolie tournure que l’entièreté du texte m’a parlé.

D’ailleurs, j’en profite pour ajouter que des tournures peuvent obtenir ma faveur pour des raisons comprises de moi seul, entendre par là que j’ai tendance à tomber dans l’interprétation. Et parfois, à mon grand dam, dans la surinterprétation. Vous êtes prévenus.

Donc, pour l’occasion, j’ai décidé de commencer par l’épreuve 4, parce que c’est la mienne et que j’avais déjà commencé à la lire, et… c’est déjà deux bonnes raisons. Il va sans dire que mes commentaires sont garantis AVEC SPOILERS, et que je vous encourage donc à lire l’épreuve au préalable. Et que même si c’est pas pour lire mon commentaire, je vous y encourage quand même, parce qu’il y avait quand même des belles choses, et aucun texte vraiment en-dessous.

Et sur ce : Enjoy Saint-Denis !




« Deux fauteuils jadis resplendissants se faisaient face. » - Quon (OT)
Quoi de mieux pour entamer ce commentaire exagérément littéraire qu’une bonne figure de style qu’on a tous apprise et oubliée pour certains ? Nous avons là affaire à une très belle métonymie, qui permet d’introduire la situation du texte d’une façon à la fois très concise et très complète.
L’idée, c’est qu’on désigne les deux protagonistes – Quon et Kibriel – par leurs fauteuils se faisant face. D’une part, on a immédiatement une image assez nette de la situation présente, avec les deux personnages qu’on devine donc assis face à face – même si ça fait un brin répétition avec la phrase précédente qui aurait pu être tournée autrement en conséquence – mais aussi de la situation passée, car avec cette assimilation entre les fauteuils et les personnages, le qualificatif "jadis resplendissants" prend naturellement un sens plus subtil. Si on visualisait déjà le fait que ces rencontres entre les deux protagonistes, ou d’autres au même endroit, ont dû être fréquentes en raison de l’usure que l’on devine sur les fauteuils, le tout donnant déjà un certain caractère au lieu dans lequel se trouve le personnage qui devient un centre où des affaires ont l’habitude d’être conclues, la lecture de ce passage me donne également le sentiment que l’aspect jadis resplendissant s’applique également aux personnages, et en fait à l’ambiance globale qui pèse entre eux.
Cela ne signifie pas nécessairement que les deux se connaissaient avant, mais il y a tout de suite un caractère plus terne à leur rencontre, comme si l’un, l’autre ou les deux étaient devenus de plus en plus sévères ou sérieux en la matière. Il faut attendre la suite du texte pour comprendre ce qu’il en est vraiment, mais dès la lecture de cette phrase – qui arrive très tôt, à l’entrée du deuxième paragraphe – on peut deviner un énorme morceau des sentiments aversifs qui stigmatiseront le dialogue entre les deux personnages. On peut même pousser l’interprétation jusqu’à imaginer que cette aversion vient de l’usure, comme le caractère terne des fauteuils. Mais bon, à partir du moment où je pars dans l’interprétation, comme mentionné dans l’introduction, vous êtes libres de me suivre ou de me lâcher.

« Tant qu’ils parlaient, tant qu’ils l’écoutaient, c’étaient de précieux instants de vie qui s’accumulaient. » - Meylan (CI)
En général, quand on veut donner une belle chute à son texte, on essaie de l’annoncer pour qu’elle semble pas tombée de nulle part, mais toujours de façon assez obscure pour éviter que le lecteur la devine complètement avant qu’elle tombe. C’est un exercice d’équilibre vraiment compliqué, auquel je ne me risque moi-même que très rarement – c’est pour ça qu’il se passe jamais rien dans mes textes – mais du coup, quand je vois quelqu’un s’y essayer et pondre une phrase comme celle-ci de Meylan, je tire mon chapeau.
Lorsque cette phrase arrive, on la lit comme un nouveau trait de caractère du personnage de Meylan, qui serait une sorte d’attachement à la vie, au point de profiter de ses derniers instants malgré le fait qu’ils n’aient rien d’agréable. C’est un sentiment qui peut sembler curieux de prime abord, mais Meylan est déjà une curiosité dans sa personnalité mystique, lyrique et oserais-je dire fantaisiste. Là, je ne sais pas si je suis aidé par le fait que c’est un personnage que je connais déjà bien à force de le voir apparaître dans d’autres éditions de l’interforum, et qui fait que cette phrase me semble assez naturelle pour ne pas vraiment m’éveiller le doute sur sa véritable signification, mais j’imagine que la seule lecture du comportement qu’elle adopte pendant tout le début du texte – totalement paniquée et inquiète pour sa vie, normal – suffit à voir dans cette phrase l’ancre d’un nouveau morceau plus profond de sa personnalité. Et du coup, c’est un passage relativement marquant, puisqu’on apprend quelque chose de significatif sur le personnage qu’on suit, ce qui fait qu’on peut garder cette phrase ou son idée en tête jusqu’à la chute.
Quand vient cette dernière, on découvre que Meylan n’était en fait pas une simple victime, elle avait un tour bien cruel dans sa manche, et elle vient de le mettre à exécution. On comprend alors que les précieuses secondes de vie dont elle avait besoin étaient celles nécessaires à sa prière, et que la phrase qu’on avait lue avant faisait parfaitement sens sans signifier ce que l’on croyait – comme dans une bonne chute, quoi. Mais le véritable tour de force, selon moi, réside dans le contraste entre la première impression et la réalité. Si on pouvait voir Meylan comme une personne attachant de l’importance à la vie, d’après la formulation de la phrase telle qu’on l’avait lue, cette information est démentie au même instant où elle prouve exactement le contraire en faisant tuer de sang froid tous ses agresseurs, et faire coïncider ces deux points provoque une chute deux fois plus grande. Et l’impact y est, Meylan devient terrifiante à souhait, la "transformation" marche vraiment bien.

« Je viens de vous dire que je ne voulais pas !! » - Sofia (UTM)
Celle-ci, je sais absolument pas si c’est un hasard de l’avoir mise là où elle est. Mais au pire, j’en profite pour parler du reste du texte qui est bien aussi.
Ici, on a un tribunal intérieur comme parabole du dilemme personnel – Eschyle appelait ça l’Aréopage, Kant le Innere Gerichtshof, moi je choisis le "Dilemmier" – où se pose la question de si Sofia est bel et bien responsable de la mort de son aimé. Et pour le coup, dans la plaidoirie délatrice du juge, j’aime beaucoup l’idée qu’il pose la question "Reconnaissez-vous les faits ?", parce que dans l’esprit de Sofia, au premier stade du jugement, il n’est pas vraiment question de savoir si ce qu’elle a fait est légitime ou non, de s’inventer des arguments et des circonstances atténuantes, ou quoi que ce soit. Le premier acte est de seulement accepter qu’elle ait pu commettre l’acte, quelque chose qui est déjà mortellement difficile à encaisser pour elle. Et de fait, c’est malin d’avoir glissé sur cette phrase très canonique des juges de première instance, mais ça ne s’arrête pas là – attention, on entre dans la partie interprétation.
Juste derrière, après une seconde occurrence de la question "Vous reconnaissez donc les faits ?", Sofia répond ça, "Je viens de vous dire que je ne voulais pas !!". Et là, si on avait lu ça la première fois comme une supplication dans laquelle elle jurait n’avoir pas voulu de la mort de son fiancé, la deuxième fois peut prendre un tout autre sens grâce à l’ambiguïté entre les différentes fonctions possibles de l’imparfait. On peut encore une fois lire qu’elle ne voulait pas tuer son fiancé, mais tournée comme l’est la phrase, on peut aussi se dire que c’est une réponse plus directe à la question du juge dans laquelle elle affirme ne pas vouloir reconnaître les faits. Ou plus exactement… on lit un peu les deux. Et selon moi, ça apporte beaucoup – parce que normalement, un double-sens, ça me fait à peine sourire – parce que les deux idées semblent comme assimilées l’une à l’autre dans la confusion de Sofia. Et de fait, à ce stade, en lançant une réponse on ne peut plus cohérente, elle semble en marge de perdre la raison. Je pense que, plus encore que les deux points d’exclamation, c’est la raison qui m’a fait ressentir son cri jusqu’au fond de mes tripes à la lecture.

« Si vous avez un problème avec le fait que je sois une aristocrate de grande noblesse que ce soit de naissance ou par mariage, je vous prie de bien vouloir vous plaindre à Dieu et non à vos “Lénine” et “Staline” qui clairement, ne semblent avoir rien fait pour vous, vu l’état de cet endroit. » - Savina (LS)
C’est pas souvent, que je sors la Sérénissime dans mes commentaires, parce que le plus souvent, c’est juste drôle et on comprend facilement pourquoi. Et en soi, ce texte était bien parti pour atterrir dans la même veine, à décrire une aristocrate méprisante qui s’indigne des doléances des pauvres et de leur sale éducation, avec possiblement une touche de préciosité pour placer un peu de contraste entre ce qu’elle dit et ce qu’elle fait finalement – le genre de personnage dont on peut facilement se moquer, en somme. Mais là, j’avoue que j’ai été plutôt scotché par cette réplique. En fait, elle est à la fois en dehors des réalités, à la fois cruellement juste. Si, c’est possible.
D’un côté, l’autrice ne trahit absolument pas son personnage : Savina demeure hautaine, fière simplement d’avoir une meilleure condition, acerbe à souhait dans sa tirade, et méprisante au point de sortir un argument à base de "allez vous plaindre à" qu’on peut naturellement traduire dans son cas par "je peux rien pour vous et j’en ai pas grand-chose à faire". Mais de l’autre côté… j’avoue que Savina me devient assez sympathique. Elle remet sa condition à Dieu, suggérant d’ailleurs que c’est lui qui est meilleur que Lénine ou Staline plutôt que de dire que c’est elle qui vaut mieux que les pouilleux, et elle fait preuve d’une clairvoyance assez remarquable en effectuant la comparaison. Elle n’a pas besoin de savoir qui sont Lénine et Staline – et en fait, elle ne le sait pas – pour leur retourner un soufflet admirable : ils sont pas si différents de Dieu quand on les regarde d’en bas, ils viennent en aide seulement à ceux qui ont eu la chance de recevoir leur bénédiction par quelque concours de circonstances, et tant pis si les autres crèvent au-dessous. Et le pire, c’est que l’argument est même pas vraiment imparable, on pourrait – dieu merci – trouver des choses à redire. Mais il est clairement frappant. Et ça cumulé au reste, ça fait que je me mets à apprécier quelque peu une belle enflure pour le reste du texte parce qu’elle a joliment joué du pouvoir des mots.

« Si les mots avaient des ailes, ils ne perleraient pas sur les joues de l’ivoirienne. » - Afya (TE)
Dès que j’ai lu cette phrase, j’ai su que ce serait d’elle que je parlerais. Et pourtant c’était la première. Et dieu sait s’il y en a eu un tas d’autres derrière pour me faire douter de mon choix. À vrai dire, j’aurais pu faire un commentaire de la même taille rien qu’avec des phrases d’Afya. Donc, comme je vais pas réussir à vous le cacher longtemps, je le dis d’emblée : ce texte, c’était mon gros coup de cœur de l’épreuve. Et je me demande si je préfère finir premier ou voir ce texte me prendre la place. Ça te dit pas, un petit ex-aequo ?
Ici, un peu comme chez Quon, on a une petite perle de concision dans l’introduction du texte, avec une première phrase – un incipit, comme j’espère que vous savez que ça s’appelle depuis mes commentaires sur Just Married – qui plonge dans l’ambiance du texte en redéfinissant un morceau entier de son contexte. Le sens de la métaphore n’a pas besoin d’être immédiatement compréhensible, même s’il se paie le luxe de l’être – on dit que les mots libèrent, mais en vrai, ils pèsent – pour que l’idée soit transmise à travers les connotations : on commence un caractère léger, avec la mention des ailes, et ça s’effondre sur quelque chose de beaucoup plus lourd avec les larmes sur les joues. Mais si ce n’était qu’une métaphore parmi tant d’autres – parce que pour le coup, il y en a tant d’autres dans ce texte – je m’arrêterais pas pour en causer si longuement.
La tournure de la phrase, au-delà de simplement nous faire part de l’idée derrière cette image présentée sur un ton qui laisse entendre l’opinion hostile d’Afya à son sujet, nous fait également et insidieusement comprendre la façon dont le tout s’est développé chez celle-ci. On devine qu’elle l’a vécu comme une désillusion, qu’on lui avait dit quelque chose dans le genre des mots ailés, qu’elle a essayé de le vérifier par elle-même – intentionnellement ou non – et qu’elle a découvert combien ça pouvait être faux, et que maintenant elle pleure. En une quinzaine de mots qui d’aucun point ne se séparent, c’est tout le développement introspectif qui l’a menée à ce point dans ses pensées, qui nous est relaté. On n’a pas encore eu besoin de nous raconter ce qu’il s’est exactement passé pour qu’on comprenne très précisément dans quel état d’esprit se trouve la pauvre Afya.
Je sais pas si j’arrive à rendre justice à combien je trouve cette phrase à la fois assez belle et remarquablement efficace, donc dans le doute, je vais en commenter une autre, mais je suis le plus sérieux du monde en affirmant qu’elle m’aurait sans doute poussé à écrire ce commentaire si j’en avais pas trouvé le courage.

« Je n’ai pas le temps de continuer ma phrase. Je bondis, attrape une poutre à bout de bras et me hisse avec force grognements. » - Winter (MAD)
La première fois que j’ai découvert Winter, à l’édition d’Esquisse me semble-t-il, j’étais sorti de son texte avec l’idée que c’était vraiment sympa, mais hélas grandement bridé par la limite de mots. Et cette fois-ci n’y a pas coupé.
Son personnage a vraiment quelque chose d’unique dans son comportement, il y a toujours ce petit revirement inattendu qui se glisse au milieu de la narration, et qui me pousse à vouloir comprendre le personnage plus en profondeur. Dans ce texte, on pourrait citer la façon dont elle se sort de son guêpier, avec une audace qu’on pourrait prendre pour de l’inconscience totale quand elle propose au Sire de Chatellus de lui donner les plans de Quartas. Et dans les faits, ça ressemble même pas à de la moquerie ou quoi que ce soit. C’est juste pas la phrase que tu aurais attendue d’elle, et c’est vraiment le genre de choses qui la rend difficile à cerner et qui me fait adorer essayer de le faire.
Bon, du coup, tant que je cause de ça, petite parenthèse avant de re-transitionner sur la citation – si, si, c’est bien d’elle que j’ai prévu de parler – j’aime beaucoup la façon dont Winter a saisi le sujet et l’idée du pouvoir des mots. Sa petite voleuse est censée se tirer de sa situation en usant de mots, on lui demande des faits, mais il s’avère qu’elle s’en sort plutôt avec des connotations, en détournant son discours pour attendrir – ou endurcir, selon comment on le prend – le cœur de De Chatellus, et le persuader plutôt que le convaincre. Je trouve que c’est vraiment une belle manière de montrer le pouvoir des mots, puisque c’est bel et bien d’eux qu’il est question plus que de la vérité qui se cache dessous. Mais l’émotion est un peu coupée par la limite de mots à la fin, une nouvelle fois. S’il y avait eu la place, ç’aurait sans doute rendu le tout encore plus prenant de voir le discours se prolonger pour finir d’immerger dedans et développer plus longtemps la réaction du Sire de Chatellus. Voilà, fin de la parenthèse.
Donc, disais-je, le caractère unique de Winter et la narration à base de tournures assez surprenantes. Eh bien la citation que j’ai sélectionnée me plaît beaucoup dans ce genre. Je pense que n’importe qui aurait écrit quelque chose avec l’action d’entendre un bruit, d’entrevoir une silhouette ou de ressentir une présence, suivie de l’action de se réfugier. Chez Winter, ce n’est pas le cas. On vient de sortir du "Et si… ?" prononcé par le personnage, et on nous dit qu’elle n’a pas le temps de terminer sa phrase et qu’elle bondit sur une poutre, et seulement après, on nous évoque l’arrivée du danger. Du coup, la chose s’apparente beaucoup plus à un réflexe, comme si elle agissait avant que la narration nous ait relaté ses raisons d’agir. D’ailleurs, vu qu’on est dans la continuité de son "Et si.. ?" qui était l’émergence d’une supposition quant à la cachette de ce qu’elle recherche, on peut même initialement penser qu’elle bondit vers l’endroit auquel elle vient de songer, l’empressement ou une sorte d’instinct l’ayant prise avant qu’elle termine sa phrase. Et on ne comprend vraiment qu’elle est montée se réfugier qu’après coup, après avoir eu le temps de demander quelle mouche pouvait bien l’avoir piquée. C’est comme un chat qu’on verrait bondir en réaction à un bruit que lui seul a entendu, si vous voyez l’idée. Et inscrit comme ça dans le rythme du texte, ça fait super bien marcher la scène visuellement, tout en ajoutant au caractère de Winter cette petite touche d’instinct qui justifie ses décisions presque systématiquement inattendues. Vous voyez, c’était important, comme citation.

« Je marquais une pause, observant et jaugeant l’assistance qui se présentait à moi. » - Yoligan (RR)
J’ai pas forcément accroché au texte de Yoligan, mais il m’a prouvé que d’autres s’en chargeraient à ma place. L’écriture n’est certes pas aussi piquante, lyrique ou profondément symbolique que ce que d’autres participations que j’ai pu lire, parce que ce n’est manifestement pas l’idée, mais elle est maîtrisée avec une justesse remarquable. C’est vraiment le genre de cas où je trouverais pas de critique plus constructive que "c’est pas mon style" tout en reconnaissant combien savamment c’est écrit. Tout est à sa place, la situation est bien posée, la tirade vraiment bien ficelée, la chute parfaitement amenée… j’ai rien de plus à redire, donc allons-y pour une petite illustration.
La phrase que j’ai choisie est surtout là pour mentionner la construction des premiers paragraphes du texte, et la façon dont ils nous introduisent dans le sujet. Dans le premier, on commence par nous évoquer le peuple solarkien – et par extension le monde de Solarii – puis une ville et des hauts-parleurs qui hurlent le début du discours du deuxième paragraphe. Dans le troisième, on zoome vers les fenêtres, puis directement vers l’intérieur des enceintes radio, desquelles sort la suite du discours dans le quatrième paragraphe. Et, seulement au cinquième, apparaît pour la première fois la première personne, on arrive sur le personnage. Visuellement, c’est impeccable – imaginez ça dans un film et vous comprendrez pourquoi après avoir réalisé combien ça vous semble naturel – et très adapté à une histoire se déroulant dans un univers qu’on ne connaît absolument pas : on a un balayage rapide de ce à quoi ressemble l’univers dans sa globalité, puis on recentre petit à petit l’action sur le personnage en décrivant au passage les différentes strates de la situation à travers les différentes échelles de taille de l’image, grâce aux discours venant ponctuer ces descriptions, et s’y fondant parfaitement qu’ils semblent faire partie du décor sonore.
Et il y a ce "Je" retardé. En lisant le paragraphe, je me demandais si l’auteur allait prendre le parti de garder le personnage hors-champ tout le long – ce que j’aurais trouvé intéressant aussi, et assez audacieux, ces deux adjectifs allant souvent de pair – mais en arrivant enfin sur l’introduction du personnage, ça m’a réservé plusieurs bonnes surprises.
Déjà, le fait qu’il arrive tout à la fin du zoom progressif semble le placer au-dessous de tout, ce qui sied assez bien à sa posture soumise – dont il se défera au fur et à mesure de sa tirade – mais néanmoins assez influente pour s’adresser au monde entier à travers les hauts-parleurs qui retransmettent sa voix.
Ensuite, le personnage apparaît juste après son "exorde", si je puis dire, entendre par là toute la partie où il ne parle pas de lui-même mais du monde qui l’entoure – il ne commencera à parler de lui-même que dans le paragraphe qui suit directement, quand je vous disais que c’était bien ficelé. Là encore, on a un contraste entre le personnage et le reste du monde, qui chacun sont sujets à une part du discours, et c’est vraiment intéressant de le présenter comme ça pour mener sur la fin du texte , après que Yoligan ait développé dans sa tirade que les deux sujets sont en fait liés dans le même combat, et que le condamner pour ce qu’il a fait est accepter de condamner son monde – quand je vous disais que c’était VRAIMENT bien ficelé.
Et enfin, un point peut-être un peu plus mineur mais qui me plaît bien, c’est le fait que la première personne apparaisse pour la première fois avec une phrase commençant par "Je marquais une pause". C’est comme si on avait le caractère humain qui venait de rattraper le personnage, qui était pendant les paragraphes précédents plus proche d’une image, et ça ajoute une énième dichotomie entre l’être et le symbole, qui rend le tout plus naturel à lire, ça lui évite d’avoir l’air d’un surhomme.
Voilà, je pensais pas en causer tant que ça, de celle-ci, mais j’ai vraiment saisi certains des points que j’ai évoqués au fur et à mesure que je les ai écrits. Je pense qu’il me faudrait encore deux ou trois relectures pour déceler toutes les subtilités du texte, il est vraiment de ceux qui sont d’une précision si chirurgicale que tu sais plus pourquoi tu ressens ce que tu ressens au bout d’un moment tant les bonnes idées forment une toile unie et indiscernable.

« Je n’avais même pas eu le courage de les appeler comme ça en face, putain. » - Neil (KHS)
Là encore, une phrase pour illustrer l’ambiance globale du texte, parce que j’ai trouvé le parti pris intéressant : celui d’assumer son univers jusqu’au bout. Kobe High School, comme son nom l’indique, c’est un forum RP dans une High School – nommée Kobe – et les intrigues qui s’y déroulent sont souvent des histoires très personnelles de personnages comme vous et moi. Des qui n’ont pas du tout leur place dans l’univers de Metro. Et face à cela, il y aurait pu y avoir deux façons évidentes de garder une certaine harmonie : adapter les personnages de Kobe à l’univers de Metro, ou adapter l’univers de Metro aux personnages de Kobe. Mais Neil ne fait ni l’un, ni l’autre, pour nous donner à la place un texte dépourvu de cette harmonie, et lui préférer quelque chose de plus réaliste, de plus naturel, et tristement de plus tragique. On n’enlève pas les petites histoires entre lycéens ; elles ont toujours de l’importance aux yeux des personnages, simplement noyées dans quelque chose qui les dépasse. Et cette phrase que j’ai sélectionnée illustre pas mal cette idée-là : le personnage de Neil, aux portes de l’enfer, qui s’offre à ce qui sera la dernière des introspections qui ponctuaient certainement son quotidien de jadis. Quelque chose qui n’a l’acabit que d’une connerie d’ado’, ne pas trouver le courage de dire à ses amis qu’ils sont ses amis, et qui vient le hanter là où ça devrait être le cadet de ses soucis.
J’ai déjà l’impression de me répéter un brin, parce que je ne sais pas quoi souligner d’autre que le fait que ça offre au texte une ambiance assez unique, qui accentue bien le fait que les personnages sont à des lieues de leur monde, et qu’ils n’ont pas vraiment leur place dans celui-ci. Et je pourrais tirer des arguments similaires de littéralement n’importe quel morceau de conversation entre Neil et ses amis, ou même de ses introspections, parce que c’est le texte entier qui respire cette ambiance, et s’avère une véritable réussite dans cette dimension.

« Je ne sais pas ce que je préfère : les entendre ou craindre leurs prochaines paroles ? » - Sona (VB)
Pour l’occasion, à défaut de pouvoir utiliser le pouvoir des mots avec son personnage – qui n’a pas d’excuse pour s’être lancé dans cette épreuve, parce qu’on connaissait l’intitulé et que lancer une muette dans un sujet pareil, c’est osé – Sona nous décrit une fresque très amphigourique se peignant autour de celle-ci. Pendant tout le début du texte, il est difficile, sinon impossible, de déterminer ce qu’il est en train de lui arriver. Est-elle bel et bien confrontée aux Invocateurs comme elle semble le penser, est-elle seulement prisonnière d’un lot de ruffians du métro moscovite comme le suggérerait l’idée qu’on s’est faite de l’épreuve à travers la plupart des autres participations, ou est-elle carrément en train de délirer comme le grand trouble dans sa narration pourrait l’indiquer ? Même la conversation semble se faire dans sa tête, elle ne sait plus si on lui parle ou si on s’est glissé dans son esprit, et elle-même ne peut pas parler autrement qu’en pensant.
Si on continue à progresser dans le texte, l’hypothèse des invocateurs semble se vérifier, mais celle du délire mental n’est jamais vraiment à exclure, notamment parce que Sona finit par ne jamais répondre – à part "SILENCE", qui met d’ailleurs fin à la narration, ce que je trouve vraiment bien pensé puisque ce à quoi elle demande de faire silence est ce qui se trame dans ses songes, et donc la narration, vu qu’elle est à la première personne. Mais il y a aussi la phrase que j’ai sélectionnée qui me conforte dans cette idée d’une façon assez élégante. "Je ne sais pas ce que je préfère : les entendre ou craindre leurs prochaines paroles ?", un dilemme lancé à un moment où on n’est déjà plus certain que c’en soit vraiment un, simplement parce qu’il se pourrait que les deux alternatives soient en fait la même. Si, effectivement, ce ne sont que des voix dans sa tête engendrées par quelques délires, il est probable que les paroles qu’elle entend sont celles qu’elle craint et concrétise dans ses songes par conséquent. En plus d’accentuer le caractère onirique, ou plutôt cauchemardesque en l’occurrence, ça donne vraiment l’impression que Sona tourne juste en rond. Au-delà de la tourmente qu’on nous décrit, c’est une tourmente qu’on nous fait ressentir à travers ce dilemme qui pourrait s’avérer insoluble, voire totalement insensé. Et ça marche.




Et voilà ! J’espère que ce premier jet de cinq mille mots vous a plu – pas tout à fait cinq mille, mais quand j’aurai fini la conclusion, ce sera probablement le cas – et que ça vous incitera à lire les suivants et à me vouer un culte comme tant d’autres l’auront fait avant vous, parce que je commence à manquer de fidèles pour me servir mon thé à la noix de muscade. Si ça vous a pas plu, rassurez-vous, il se pourrait que je n’arrive pas à commenter les six épreuves d’ici la fin des deux semaines – parce que le télétravail, on dirait pas, mais c’est quand même éprouvant – et si c’est simplement parce que vous en avez marre de me voir lancer des trucs entre parenthèses à tout bout de champ – ou devrais-je dire entre tirets – alors je suis au regret de vous annoncer que j’ai pas prévu de changer ça, ‘faut pas tiret sur la corde non plus.

Allez, à bientôt pour une prochaine épreuve que je prendrai le temps de choisir sagement d’ici-là !
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Luna NRP
Invité
Lun 23 Mar - 20:54
Je vais partager un avis qui n’engage que moi et donner des petits compliments ou des remarques aux autres.
Je suis plus douée pour détailler ce que je n’aime pas que d’expliquer ce que j’aime. Un « j’aime » signifie parfois plus que trois lignes décrivant ce qui ne marche pas.
Je ne suis pas la lectrice-β de l’année.
Épreuve 1 : Dernier souffle

[Ilukaan + SNK]:

[Esquisse + Metro]:

[La Sérénissime + Valoran’s Battlefront]:

[Kobe High School + Madelle]:

[Chroniques d’Irydaë + Terrae]:

[Under The Moon + Ostium Tenebris]:

[Damned Town + NanoRP]:

Épreuve 2 : Apokalipsis segodnja

[SNK + ES]:

[Madelle + Ilukaan]:

[Métro + Damned Town]:

[Ostium Tenebris + Kobe High School]:

[Valoran’s Battlefront + Under The Moon]:

[Terrae + La Sérénissime]:

Épreuve 3 : le marché
Under the moon:

Valoran’s Battlefront:

La nouvelle Avalon:

SNK Rebirth:

Kobe High School :

Métro:

Ilukaan:

Irydaë:

Ostium Tenebris:

Terrae:

Esquisse:

La Sérénissime:

Nanorp:

Damned Town:

Madelle:
Sergueï Zinovieva
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Mar 24 Mar - 12:02
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Hello 07

Ici Nikita sous le déguisement d'une chauve tatouée.
Déjà oui, je m'excuse de la présentation manquante, je l'ai carrément oublié tant j'étais en stress avec cette épreuve :'(

Pour la fin, "le père ou l'enfant" concerné Nikita. Il a vécu sans père et est absolument terrifié à l' idée de l'être et de faire les mêmes erreurs (donc se barrer car c'est un brave lâche !). La question de Baba Yaga, pourrait être reformulé comme ça "Tu veux être père ou rester un enfant ?"
Dans le sens où Nadya a eut leur enfant (malgré tous les efforts de Nikita pour l'éviter) et avec cette question Baba Yaga propose de lui révéler où non. Mais elle oriente la conversation sur Piotr et Inna, sachant très bien qu'il choisira le père car il est inlove de Piotr à donf.
Mais du coup, par cet habile manipulation, Baba Yaga fait choisir à Nikita le chemin de la paternité, de lui même.

VOILÀ, j'espère que ça éclaircit ta lanterne et encore une fois désolé pour la présentation manquante :'(
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Luna NRP
Invité
Mar 24 Mar - 13:11
La fin est mignonne en fait ! C'est dommage qu'elle m'ait échappé. Merci pour ta réponse.

Pas de souci pour la présentation manquante, j'ai pas eu trop de mal à comprendre que Nikita aimait beaucoup invoquer Baba Yaga à tord et à travers, qu'il était en couple, etc. mais ça m'aide à retenir le personnage pour la lecture. Je crois avoir déjà lu ta présentation à l'ancien interfo ou sur une autre épreuve maintenant que j'y pense...
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Kaoren
Invité
Mar 24 Mar - 16:14
Au vu de l’affluence de commentaires dédiés à l’épreuve 1 de ces derniers jours, on pourrait être tenté de penser que j’allais en choisir une autre, pour coiffer tout le monde sur le poteau, lancer mon avis le premier et surfer sur la tendance avant même qu’elle devienne une tendance. Mais la vérité, c’est que voir tant de commentaires que je ne pouvais pas lire de peur de me faire spoiler, ça m’a poussé à m’intéresser à cette épreuve. Donc aujourd’hui, je me range avec le peuple et je soutiens les valeurs de la démocratie – bien que l’administration de forum RP en soit rarement un bon exemple.

Si vous voulez mon avis sur le ressenti global de cette épreuve – et si vous lisez ce commentaire, je vois pas vraiment ce que vous pourriez vouloir d’autre – c’est resté plutôt en demi-teinte, il y avait un tas de bonnes idées qui m’ont laissé le sentiment qu’elles auraient pu être mieux exploitées. Après, plus les éditions de l’interforum défilent, plus je réalise que j’ai toujours un peu ce sentiment en lisant les mini-RPs, donc c’est pas forcément très constructif comme critique. Mais voilà, peut-être que ça a seulement manqué d’un duo se démarquant radicalement pour adoucir mon jugement global. Il faut dire qu’on était moins nombreux cette édition qu’à d’autres, et que le thème a été un peu rongé par la distribution des personnages qui jouaient dessus – c’est pas évident de donner de l’enjeu au fait qu’il n’y a qu’un masque pour deux personnes quand, sur sept duos, t’en as trois où l’un des deux personnages ne craint pas ou peu le gaz, et deux où la question de qui portera le masque semble réglée dès le deuxième post parce que l’un des deux personnages n’est pas plus attaché à sa vie que ça. Mais comme je l’ai dit, il y a eu de bonnes idées, et ça tombe bien parce que c’est ce que je suis venu relever.

Et comme d’habitude, gare aux spoilers ! Il en grouille une meute dans ce commentaire, et ces saletés sont encore pires que les mutants des tunnels de Metro.




« Je n'avais ni la force de la maintenir levée ni la conviction de m'en prendre à cet homme. » - Sofia (UTM)

Oui, j’ai déjà parlé de Sofia dans le commentaire précédent. Mais j’avais pas noté qu’elle faisait à la fois la 4 et la 1. Alors on arrête de se plaindre et on apprécie sa prose une deuxième fois. Même si du coup, comme elle avait dit un truc l’autre fois comme quoi j’avais super bien analysé et tout, j’ai le stress de pas être à la même hauteur cette fois.
Exactement de la même façon que la fois précédente, c’est une ambiguïté – non plus grammaticale, mais cette fois sémantique – qui me fait beaucoup apprécier cette phrase. J’ai peur de répéter un peu tout ce que j’ai dit la dernière fois sur les double-sens dont un sens déteint sur l’autre, pour donner une phrase confuse décrivant un état d’esprit confus ou parce que le fait présenté est difficile à accepter pour le narrateur, mais c’est la même chose que je ressens cette fois-ci. Ici, l’ambiguïté est sur le mot "conviction" ; on a d’un côté la conviction relative à ce que Sofia doit ou devrait faire, le bien-fondé de l’acte qu’elle envisage – est-elle certaine de vouloir s’en prendre à cet homme qui semble se dévouer pour l’aider ? – et de l’autre côté la conviction relative à ce qu’elle est en train de faire, la certitude de savoir à qui elle s’en prend – est-elle en train d’essayer de faire du mal à l’homme devant elle ou plutôt, si on interprète un brin, de se faire du mal à elle-même en se tourmentant ? Et là encore, ça montre assez bien le sentiment de désorientation qu’elle a par rapport à la situation : elle ne porte pas les vampires dans son cœur, car ceux de son univers lui ont laissé de mauvais souvenirs – là-dessus, Ostium Tenebris et Under the Moon se sont bien trouvés – mais de l’autre côté, elle est manifestement en train de se faire sauver la vie par un vampire qui ne montre absolument rien de haïssable à part un peu de saleté et des faux plis sur ses vêtements.

***

« Elle aurait voulu le secouer, lui dire de chercher, que c'était lui l'adulte, qu'elle était fatiguée de devoir toujours tout porter. » - Pricie (TE)

Tout le monde l’a noté en commentaires, dans ce mini-RP, c’est la petite Pricie qui se comporte en personnage mature et le grand Adaryon qui se laisse guider et retrouve espoir grâce à elle. Cependant, je reste sur l’impression que c’est un rien plus subtil que ça. Personnellement, en suivant Pricie, je n’ai pas nécessairement eu l’impression de voir comme une adulte dans un corps d’enfant – sauf peut-être au moment où elle se met à établir les principes de la combustion du lithium-ion parce que bon dieu qui élève sa gamine comme ça ? – mais vraiment une petite fille suivant sa fougue idéaliste pour proposer des idées qui le sont tout autant mais qui s’avèrent fonctionner à la fin. Le meilleur exemple, c’est l’utilisation du masque – j’en profite pour répondre à Lunatique qui se souvenait plus de quand il apparaissait : arracher le filtre pour le placer devant la fuite de gaz, ce n’est pas une réflexion qui me paraît mature, ça frise même l’inconscience. Personne ne penserait à ça, parce que personne n’envisagerait une seconde de détruire un objet aussi salutaire que le masque à gaz sur un plan qui pourrait échouer de plein de façons, comme la présence d’une autre fuite de gaz, ou le fait que le filtre puisse mal se caler dans la fuite existante et laisser du gaz s’infiltrer malgré tout, ou encore le fait que le filtre puisse être mal arraché et perdre une de ses composantes essentielles dans l’opération. Personne n’envisagerait ça, sauf une gamine qui ne pousse pas la réflexion jusque-là. C’est pareil quand il s’agit de faire exploser le loquet de la trappe, il faut être sacrément optimiste pour penser que ça puisse marcher, parce qu’un tas d’autres facteurs pourraient intervenir, comme le fait que le gaz, comme suggéré par Pricie elle-même, ait de grandes chances d’être inflammable.
Du coup, j’en reviens à la citation, qui affermit mon propos. Pricie y évoque l’idée qu’Adaryon devrait se comporter en adulte, ou du moins en la vision que Pricie se fait d’un adulte, sur lequel un enfant devrait toujours pouvoir compter pour le sortir d’une mauvaise situation. Et j’aime beaucoup la façon dont le caractère enfantin de cette réflexion se marie avec un air déjà désabusé porté par les derniers mots : "fatiguée de devoir toujours tout porter". Et au final, dans cette phrase, on saisit mieux la nature de la relation entre Pricie et Adaryon. Ce n’est pas un enfant qui fait ce que devrait faire un adulte et un adulte qui fait ce que devrait faire un enfant, c’est simplement – quoique subtilement – un enfant qui pousse un adulte à retrouver une forme d’espoir et reprendre les choses en main, en essayant de lui montrer comment faire. Et d’ailleurs, c’est peut-être moi qui vois des allégories partout, mais quand je vois la petiote s’endormir à moitié après avoir été agrippée par un Adaryon ayant retrouvé la force de courir pour les sortir de leur situation désespérée, ça me donne juste le sentiment qu’elle a terminé son rôle dans cette histoire sitôt que l’espoir est revenu.
Je finis de développer l’idée avec la prochaine citation, parce que sinon je vais plus rien avoir à dire. En tout cas, Terrae, sur les deux épreuves que j’ai lues pour le moment, vous avez déchiré. Il est peut-être venu le jour de votre deuxième palme d’or ?

« L’issue s’entrebâilla avec douceur et les bouts de lumière, magique, s’accrochèrent avec théâtralité autour des deux corps, comme pour les féliciter d’une victoire qui n’aurait jamais pu être gagnée. » - Adaryon (CI)

Le point de vue de l’adulte, maintenant, qui passe au fil du récit d’une froideur macabre et fataliste à un optimisme ravivé, pour s’achever sur cette scène riche en lumière et en magie. Toujours en lien avec cette vision plus naïve de la réalité que Pricie a transmise à Adaryon, j’aime beaucoup la façon dont cette phrase se termine sur l’idée que la victoire n’aurait pas pu être emportée, et que les deux personnages l’ont arrachée dans un élan de "ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait", car c’est bel et bien ce qu’il s’est passé. Depuis le début, Adaryon est persuadé que toute tentative est vouée à l’échec, et Pricie ne le sait pas ou ne peut pas s’en convaincre, ce qui la pousse à tenter des choses plus désespérées les unes que les autres avec l’espoir qu’elles ne sont pas désespérées – c’est bon, vous suivez ? – et c’est pour ça que je tenais à revenir sur cette nuance qui ne semble pas si grande entre l’idée que Pricie serait la plus mature des deux personnages et mon propre point de vue. En lisant ce texte, j’ai au contraire souvent l’impression que cette maturité est le fardeau qui empêche le dénouement de la situation, et qu’il faut l’aide d’une petite fille pour s’en sortir. C’est presque comme si Pricie avait invité Adaryon dans un autre monde où le fatalisme n’existe pas, et les adultes peuvent tirer les enfants de n’importe quelle situation. Et présenter les choses de cette façon me donne tout un tas d’autres idées d’interprétations symboliques d’autres détails du RP, mais je vais m’en tenir là.

Cependant, vous vous souvenez peut-être que dans l’introduction, j’ai mentionné n’avoir pas trouvé de duo s’étant radicalement démarqué dans cette épreuve, et être resté sur l’idée qu’un tas de bonnes idées auraient gagné à être mieux exploitées. Et à côté de ça, si vous avez vous-mêmes lu ce RP, vous n’êtes peut-être pas convaincu par mon argumentaire, et continuez de défendre que Pricie se comporte comme une enfant mature. Et à vrai dire, vous n’avez pas vraiment tort, et c’est quand même un point que je vais souligner bien qu’ils soit plutôt négatif, simplement pour que les autres commentateurs visualisent mieux la divergence de nos points de vue : il y a un peu des deux. Et à vrai dire, je ne sais même pas vraiment dans laquelle des deux directions les auteurs ont voulu se tourner. Un certain nombre d’éléments semblent conforter ma version, comme j’espère vous en avoir convaincu, mais d’autres ont plutôt tendance à, par exemple, donner de la maturité à Pricie, comme la richesse de son vocabulaire ou de ses tournures – dans le genre de "Il y a une sortie par là, une bouche d'égout condamnée mais pas assez pour empêcher le détenteur d'une clef de l'ouvrir !" – ou bien le fait qu’elle concède au début le masque à Adaryon, prête à faire face à la mort, ou encore sa fameuse combustion de lithium-ion que j’ai mentionnée précédemment. Et tous ces passages m’ont fait grincer des dents, simplement parce que les deux façons de lire le texte sont contradictoires et que j’avais choisi la mienne, et tous les éléments confortant l’autre résonnent alors comme des étrangetés, voire des erreurs. Et pour le coup, c’est pas une histoire d’alchimie entre les deux joueurs, parce que celle-ci a été remarquable. Ce sont juste des détails, à droite à gauche, qui m’ont laissé parfois le sentiment que le texte ne savait plus où il allait. Mais ça va, je chipote, le rendu final était vraiment bien.

***

« Parler me brûle la gorge et la cage thoracique, les larmes me montent aux yeux mais je les essuie d’un geste vif. » - Mitsuki (KHS)

La Mitsuki de ce RP est un peu le versant sombre de la Pricie du précédent. Cette fois, on a bel et bien affaire à une jeune fille d’une maturité hors de propos, qui fait face à la cruelle fatalité de sa situation et demeure prête à l’endurer. Son idée de porter le masque à tour de rôle est on ne peut plus sensée, et la lueur d’espoir qu’elle porte à travers celle-ci n’est qu’une flammèche menaçant de s’éteindre à chaque instant, et finissant tristement par le faire. J’avais bien prévenu, pour les spoilers ?
Ceci étant, un point que j’aime beaucoup dans l’écriture de Mitsuki, un peu similaire à ce que j’avais commenté sur Neil dans l’épreuve 4, c’est que malgré la détermination dont elle semble se parer, on sent bien qu’elle est à peine capable de l’encaisser et qu’elle finit immanquablement par laisser ressurgir la jeune fille normale de Kobe High School qu’elle est. Notamment, quand elle se retrouve aux portes de la mort, ses pensées vont à ses amis, et le fait qu’elle essaie de se convaincre qu’elle ne manquera pas à ces derniers résonne avec un goût très amer, et c’est difficile de la croire. Quand je lis ça, je me dis qu’elle s’invente cette volonté d’esprit elle-même – et ça marche, mais en demi-teinte.
La structure de la citation que j’ai choisie décrit assez bien cet état d’esprit de la Mitsuki qui essaie de persuader qu’elle tiendra le coup alors qu’elle est sur le point de flancher. La phrase commence par décrire la conséquence dangereuse du gaz à travers son corps qui commence à la brûler, puis enchaîne sur une conséquence moins grave avec les larmes qui coulent, et termine sur la façon dont Mitsuki gère cette conséquence secondaire en s’essuyant les larmes. De fait, le tout se termine sur une fausse note optimiste, puisque la jeune fille se montre capable d’encaisser le problème mineur, mais elle élude le problème majeur. La façon dont on suit ses pensées à travers cette phrase, c’est un peu ce qu’il se passe quand vous êtes devant un examen beaucoup trop dur et que vous faites la seule question facile pour vous rassurer. Mais en plus extrême.  Et je m’excuse d’avoir massacré la poésie de l’instant.
Au final, et comme dans le reste du RP, on en ressort avec une petite Mitsuki dans des bottes beaucoup trop grandes pour elle, et on dirait presque qu’elle n’arrive pas à se l’avouer. Et franchement, niveau empathie, j’aime autant dire que ça me l’a mise très profondément en travers de la gorge de lire la fin de son dernier post.

« Elle refuse aussi de reconnaître pourquoi soudainement Mitsuki est devenue un poids sur son dos. » - Ellyn (MAD)

Bon, celle-ci, j’imagine que certains l’ont décelée également, parce que ça crève les yeux qu’elle est trop belle. Mais vous me connaissez, je suis pas du genre à m’arrêter à la première apparence, et je m’en vais disserter sur pourquoi elle est encore plus belle.
Globalement, j’ai adoré le traitement du personnage d’Ellyn en tant qu’étrangère totale au monde et à la situation dans lesquels elle s’est retrouvée plongée. Au-delà du simple fait qu’elle ne sache pas ce qu’est un masque à gaz, il y a ce côté un peu dans la lune de ses réflexions qui semblent indiquer qu’elle se déconcentre parfois même du danger pour essayer de comprendre ce dans quoi elle est fourrée. Typiquement, la première fois qu’elle demande le masque à Mitsuki, elle vient de se laisser surprendre par sa propre respiration qu’elle a oubliée parce qu’elle pensait à autre chose. Ce sont des petits détails discrets qui permettent de tisser un personnage qui, bien que parfaitement sensé, se retrouve régulièrement à côté de la plaque. Et il y a un passage avec lequel je trouve que ça marche particulièrement bien.
Quand Mitsuki accepte de se sacrifier pour sauver Ellyn, cette dernière semble totalement tomber des nues. Mais elle demeure irrémédiablement attachée à la vie, aussi ne refuse-t-elle pas l’offre, tout en restant admirative devant l’acte de la petite fille qui se tient devant elle. À ce moment-là, on a un décalage assez brusque entre les mœurs des deux personnages, toutes deux parfaitement louables – ce n’est pas parce qu’Ellyn accepte de garder la vie sauve au détriment de celle de Mitsuki qu’elle ne lui voue pas un profond respect – mais étrangères l’une à l’autre. Ellyn me fait alors penser à un personnage médiéval, le genre qui n’a pas lu mille et un romans où le héros se sacrifie pour le bien commun, et qui ne voit pas dans le comportement de Mitsuki quelque élan d’héroïsme puéril, mais l’admire au contraire avec la plus grande des sincérités. Et si elle commence par se dire qu’elle "en serait bien incapable", plus attachée à la vie qu’elle est, et par conséquent un rien plus pragmatique, elle finit par se prouver le contraire dans une scène que je trouve émotionnellement remarquable. Et qui nous ramène – enfin – à la citation.
L’idée la plus évidente de la phrase est la façon très euphémisée dont on nous dit qu’Ellyn refuse de reconnaître la mort de Mitsuki – tout en nous révélant cette dernière, encore qu’on peut s’en douter dans le post précédent – et à travers laquelle la narration semble elle-même ne pas accepter cette tragédie. À côté de ça, il y a la connotation du poids, qui laisse entendre par un jeu d’associations combien cette idée est lourde à porter pour Ellyn. Et avec tout ce que j’ai dit au paragraphe précédent, on a un point très important : elle refuse de considérer Mitsuki comme un poids, là où sa mentalité jusqu’ici aurait été de se soucier de sa vie d’abord. Elle qui aurait jadis accepté de vivre en laissant la petite fille mourir, refuse désormais d’abandonner son corps déjà probablement mort, même au péril de sa vie. Ce contraste, immense et assez soudain, entre les deux tempéraments successifs du personnage, est à mes yeux une réussite remarquable du RP. Et j’aime beaucoup le fait qu’on passe non pas d’un personnage mauvais à un personnage bon, mais d’un personnage bon à un personnage meilleur, ça rend l’attachement immédiat et la progression vraiment prenante.

En supplément, j’ajouterais bien un petit parallèle entre le RP entre Mitsuki et Ellyn et celui entre Pricie et Adaryon, parce qu’on retrouve beaucoup de choses en commun dans la structure de l’histoire – tellement que je me demanderais presque si les deux duos se sont pas entendus, mais j’imagine qu’à ce stade, c’est pousser mon imagination trop loin – mais je pense que c’est globalement assez évident à la lecture de mes deux – enfin, quatre – paragraphes, donc je laisse libre cours à votre sens de l’interprétation. Et si vous pensez que ça ressemble à une technique de fourbasse pour pas avoir à le faire moi-même et m’économiser un morceau de commentaire, attendez de voir la suite.

***


« Il se crut en devoir de l'encourager » - Varègue (ES)
« Ne pas attaquer les autres. Faire confiance. » - Sergueï (ME)

Je me permets de mettre ces deux-là ensemble parce que j’ai à peu près les mêmes choses à dire sur les deux. J’vous avais prévenus, pour la fourbasserie.
Le RP entre Sergueï et le Varègue a ça d’intéressant qu’il est l’un des seuls à faire vraiment s’opposer les deux personnages – avec celui entre Salluste et Thresh, mais bon, on va dire que celui-ci est un cas un peu particulier – et paradoxalement celui où les deux personnages se ressemblent le plus. Ce sont deux humains ayant perdu une partie de leur humanité au profit d’un esprit plus pragmatique et adapté à une mentalité de survie. De fait, chacun a de quoi passer pour un monstre aux yeux de l’autre, et c’est d’ailleurs ce qu’il se passe – j’aime beaucoup le fait que le Varègue finisse par comparer Sergueï à un mutant, d’ailleurs, et utilise le mot "inhumains" pour caractériser ses cris d’agonie, c’est dans la même lancée, comme s’il essayait de se convaincre que ce n’est pas lui le monstre.
Et au début du RP, les deux personnages sont prisonniers de la même mentalité : leur survie leur importe plus que tout, mais il s’efforcent d’être un peu humains, et c’est exactement ce qui se reflète dans les deux phrases que j’ai prises. Le Varègue voit les encouragements qu’il prodigue à Sergueï comme un devoir – qu’il accomplit toutefois spontanément, ce qui montre quand même une certaine bonne volonté de sa part – tandis que Sergueï voit l’action de faire confiance comme quelque chose qu’elle a promis à son frère – ce qui fait qu’elle accorde sa confiance sans s’en convaincre elle-même, mais elle s’efforce de faire comme si. Du coup, malgré l’entraide mutuelle, dès le début, on a une atmosphère extrêmement tendue grâce à ce genre de phrases, qui décrivent des bonnes actions avec des formulations transpirant des facettes plus mauvaises. Et de fait, quand le conflit éclate, on n’est même pas vraiment surpris, et pour ainsi dire, j’ai même du mal à déterminer à quel moment il éclate ou qui en est le vrai responsable. Surtout que le Varègue, qui a tenté de porter le premier coup, se convainc lui-même du bien-fondé de son acte dans un songe qui frise la démence.
Et tant que j’en suis à parler de ce RP, j’envoie une petite dédicace à ses scènes d’action, qui sont franchement bien mesurées rythmiquement et globalement très prenantes. Je suis pas friand de ce genre de choses d’habitude, mais c’est uniquement parce que c’est quelque chose que je trouve si difficile à toiser que je m’en satisfais très rarement – c’est pour ça qu’il se passe jamais rien dans mes textes – mais du coup, quand j’en vois une qui marche aussi bien que celle-ci, je ne peux que rester admiratif.
Vous êtes sûrs que je peux pas mettre ce RP dans mon podium en prétextant que je vote pour Metro ? Ce sera pas pour déplaire aux organisateurs, au fond.

***

« Elle faisait en sorte de se taire et de bouger au plus vite, sans laisser le temps à une quelconque panique de la gagner, mais c'était de plus en plus difficile à mesure que les minutes irrespirables s'écoulaient. » - Pidge (ILK)

Quoi de mieux pour achever ce commentaire exagérément littéraire qu’une bonne figure de style qu’on a tous apprise et oubliée pour certains ? Nous avons là affaire à un très bel hypallage, et si vous avez une impression de déjà-vu, c’est normal, c’est parce que j’ai C/C depuis mon commentaire précédent comme un rascal.
Ici, l’idée tourne autour de l’adjectif "irrespirables". Le choix de l’adjectif, ici, provoque un double-sens entre l’atmosphère toxique, donc irrespirable au sens propre, et l’atmosphère anxiogène, irrespirable au sens figuré. Le fait que ces deux points semblent ainsi assimilés fait résonner le tout comme une accumulation des raisons pour Pidge de se laisser aller à l’impulsivité – la panique – dont elle se défend, ce qui donne une meilleure sensation de comment elle ressent le truc. Mais ce n’est pas tout, le choix d’avoir apposé l’adjectif aux minutes qui s’écoulent plutôt que d’avoir simplement parlé d’une atmosphère irrespirable qui pesait ajoute encore un petit quelque chose – c’est ici que se trouve l’hypallage, d’ailleurs, pour ceux qui auraient pas suivi, c’est juste le fait d’apposer un adjectif sur un autre nom que celui auquel on l’aurait naturellement rattaché. Simplement, l’ajout de cette notion de temps qui s’écoule vient encore contribuer à ce sentiment d’accumulation, puisque les minutes écoulées s’accumulent – arrêtez-moi si je vous perds. Et du coup, on sort avec l’idée d’un compte à rebours avant le craquage émotionnel, et je réalise que mon commentaire de citation est un peu nul en comparaison des précédents parce qu’en fait je décris des trucs assez évidents. J’crois que je voulais juste placer le mot "hypallage", en fin de compte. Mais ça empêche pas la phrase d’être jolie, même si mon compliment l’est un peu moins par conséquent.




Et je m’arrête là-dessus, car vous constaterez vous-mêmes que je commence à manquer de matière. Ou d’énergie, faut voir. En tout cas, j’espère que ça vous aura plu autant que le précédent si le précédent vous a plu et plus que le précédent si le précédent vous a pas plu, mais pas plus que le précédent si le précédent vous a plu parce que ça voudrait dire que j’étais dans une forme particulièrement élevée et qu’il va falloir que je me démène d’autant plus pour rester au niveau, et j’ai peur de pas avoir le courage d’encaisser ça.

Il s’est écoulé neuf jours depuis que j’ai commencé mes commentaires – commencé à lire les textes pour mes commentaires, j’entends – donc sachant qu’il reste huit jours avant la fin des votes, on peut espérer que j’en aie commenté deux de plus d’ici là. Donc, rendez-vous pour le prochain numéro, portez-vous bien, et prenez exemple sur Alec en n’oubliant pas de sortir votre beagle une fois de temps en temps malgré le confinement !
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Neil KHS
Invité
Jeu 26 Mar - 16:12
Avant de faire mes retours sur les épreuves pendant que je lis tout ça, je tiens à remercier Kaoren pour son avis qui me touche beaucoup, d'autant plus qu'écrire ce texte m'a prise aux tripes étant donné le contexte dans lequel je mettais mon personnage, avec les enjeux qui suivait. J'ai fini avec les larmes aux yeux devant le sacrifice de mon petit idiot de Neil...

Si d'autres parmi vous ont apprécié (ou non, chacun son avis !), je vous remercie de m'avoir lu également ! Encore un grand bravo à tout ceux qui ont participé !


Je félicite les copains de Kobe au passage, vous avez assuré grave et vous me devez un paquet de mouchoirs ! <3 Merci Metro de nous avoir invité, et merci à Gueorguï de chez vous, que j'ai inséré dans mon RP sans lui avoir l'occasion de lui demander ! (mais me fallait le grand chef du coin, l'est baraqué en plus alors.... désolée si je lui invente un côté impitoyable qu'il n'a pas! )

Allez, à mon tour de m'y mettre o/ I love you

Epreuve 6 :


Artemis - La Sérénissime:

Andrei - Metro:

Fiora - Runeterra:

Ophélia - Irydaë:

Anoushka - Avalon:

Nyriel - Ostium Tenebris:

Amy - Totem Emblem:

Alice - Damned Town:

Djeryn/Siegfried - Nano RP:

Chris - Under the Moon:

Feliciano - Ilukaan:

Arndt - SNK Rebirth:

Mealladh - Madelle:

Audebert - Esquisse:

Autres épreuves à suivre !
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Neil KHS
Invité
Ven 27 Mar - 0:32
C'est encore moi, voici la suite des petits avis suite à la lecture de l'épreuve 5 !! Bravo à tous pour vos inventions <3

Epreuve 5 :

Oskar - Irydaë:

Rosario - Nano RP:

Mickaëlle - La Sérénissime:

Luke – Damned Town:

Rich - Avalon:

Liam - Ostium Tenebris:

Isolde - Esquisse:

Dimitri - Under The Moon:

Tiago - Terrae:

Alfred - Ilukaan:
Katerina - SNK  Rebirth:

Juliette - Madelle:

Katya - Métro:

Sejuani - Valoran’s Battlefront:

Oskar - Irydaë:
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Rich AVA
Invité
Sam 28 Mar - 1:59
Coucou. Alors, je suis mauvaise élève, je ne vais pas poster ici mon vote. Je tiens juste à répondre à Neil.

Merci beaucoup pour ton commentaire qui fait chaud au coeur. Et, je te rassure, moi aussi je déplore la limite de mots parce que mon premier jet du texte faisait presque 600 mots de plus... Et justement dans cette partie, on voyait Talbot rendre Rich fou et le menacer d'un bon coup de pieds aux fesses (pour être polie). De même, l'intervention du professeur était plus développée. Quoi qu'il en soi, je me suis bien amusée et je suis contente que cela plaise ^_^
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Luna NRP
Invité
Sam 28 Mar - 14:34
Épreuve 4 : le pouvoir des mots

Je ne l’ai pas précisé plus tôt mais je me doute bien que l’exercice ne coule pas forcément de source et que beaucoup de choses dépendaient de l’inspiration du moment et des soucis. Mes commentaires servent à partager ce que j’ai ressenti ou compris. Mes commentaires sont à prendre sans trop le prendre à cœur. À aucun moment, je ne souhaite vous faire vous sentir mal.
Métro:
Ostium Tenebris:
Chroniques d’Irydaë:
La nouvelle Avalon:
Under the Moon:
La Sérénissime:
Nanorp:
Terrae:
Esquisse:
Damned Town:

SNK Rebirth:
Madelle:
Ilukaan:
RPG rebirth:
Kobe high School:
Valoran's Battlefront:

Épreuve 5 : faire feu de tout bois !

Chroniques d’Irydaë:
NanoRp:
La Sérénissime:
Damned Town:
La nouvelle Avalon:
Ostium Tenebris:
Esquisse:
Under the Moon:
Kobe high School:
Terrae:
Ilukaan:
SNK Rebirth:
Madelle:
Métro:
Valoran's Battlefront:

Je n'ai pas trouvé l'inspiration pour l'épreuve 6 : Le bout du tunnel.
J’en profite pour féliciter tous les participants et doublement ceux qui ont participé pour plusieurs épreuves, ce n’était pas une mince affaire.

Félicitations à tous !
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LeFollet
Invité
Sam 28 Mar - 15:17
Bonjour à tous !
Ayant lu les épreuves 1, 3, 4 et 5, je voulais féliciter quelques textes en particuliers qui ont attiré mon attention. Dans l'ensemble, j'ai trouvé les participations très bonnes, aucune ne m'a particulièrement déplue même si j'ai des critères très stricts et que je m'attache plus facilement à certains styles d'écritures que d'autres.

Passons donc à mon petit palmarès de lecture ! Evidemment, c'est purement subjectif et je peux avoir mal compris certaines choses ou lu de travers (c'est ce qui arrive quand on décide d'écrire ses commentaires au cours d'une insomnie).

Mon coup de cœur : Swain VB - Epreuve 3:

D'autres Baba Yaga de talent : Ludwig(ILK) et Ithen(DT) - Epreuve 3:

Âmes de poètes : Silivren(NRP), Mey(Cl) et Afya(TE) - Epreuve 4:

Mini-Rps en vrac - Epreuve 1:

Coup de cœur invention : Onyx (ES) - Epreuve 5:

Bon courage à tous pour les lectures et les votes !
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Piu[Te]
Invité
Sam 28 Mar - 17:33
Coucou, Ici PiuTe, vous m’avez sans doute croisée dans les précédents espaces commentaires comme Philémon Mashimoto, Midori Sawamura, Clara Delmonte, et sans doute d’autres vu que j’ai la mauvaise habitude de m’inscrire sur le fo’ après et avant les interfos (et de tout commenter). Ou sur l’épreuve 4 en tant qu’Afya. Ce coup-ci j’ai clairement pas le temps et l’énergie pour tout lire mais j’vous fait des bisous tout doux et j’remercie tous ceux que j’ai lu pour l’énergie et le réconfort fourni, vous êtes tops et je me suis régalée.
Je vous partage comme d’habitude mes notes pour faire mes votes relues pour qu’elles soient lisibles. Ce n’est que mes impressions, et clairement j’peux ne pas accrocher à des textes qui plairont énormément à d’autres et vice-versa, j’peux passer à côté du sens de beaucoup de choses en ce moment #teamfatigue.
Merci à tous ceux qui commentent. Les gens vous êtes trop tooooops ! MERCI !

Epreuve 1
Damned Town et Nano RP:

Under the Moon et Ostium Tenebris:


Terrae et Chronique d’Irydaë:

Kobe High School et Madelle:

La Sérénissime et Valoran’s Battlefront:

Esquisse et Métro:

Ilukaan et SNK Rebirth:


Epreuve 2

J’ai énormément de mal à faire un classement sur cette épreuve car tous les textes m’ont vraiment plus ! Merci :D
Terrae et La Sérénissime:

Valoran’s Battlefront et Under The Moon:

NanoRP et Chronique d’Irydaë:

Ostium Tenebris et Kobe High School:

Métro et Damned Town:

Madelle et Ilukaan:

SNK Rebirth et Esquisse:


Épreuve 4

J’y ai participé en tant qu’Afya (beaucoup trop de persos jpp) et j’ai eu beaucoup de mal à l’écrire, du coup j’vous dis bravo à tous parce que tous les textes étaient chouettes et personnels et que j’vous ai trop trouvé tops et pleins d’imagination là où j’en manquais.

Andreï pour Métro:


Mina pour Ostium Tenebris:

Mey pour Chronique d'Irydae:


Danika pour la Nouvelle Avalon:

Sofia pour Under The Moon:

Savina pour La Sérénissime:

Silivren pour Nano RP:

Kaoren pour Esquisse:

Casey pour Damned Town:

Irène de SNK Rebirth:

Winter pour Madelle:

Edel pour Ilukaan:


Yoligan pour RPG Rebirth:

Neil pour Kobe High School:



Sona pour Valoran's Battlefront:
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Ithen DT
Invité
Sam 28 Mar - 20:25
Bonsoir à tous les commentateurs (et à tous les champions de cet interforum aussi !)

Ici Ithen de Damned Town, je ne viens pas pour déposer de commentaires (j'ai bien souvent de gros coups de cœur autour desquels je blablaterais bien trop --"), mais plutôt pour remercier de toute la force de mon petit cœur les lecteurs qui ont pris le temps de se pencher sur mon texte. J'ai mis un temps fou avant de venir zyeuter ce coin là de l'interforum et toute cette bienveillance redonne du courage pendant cette période de lecture/vote hero  !

Je voulais également éclaircir un peu les coins d'ombre de mon texte qui ont pu poser problème à Sona, de chez Valoran's Battlefront (si jamais tu repasses par ici :D). Ayant posté juste avant minuit, je n'ai pas pris autant de temps que je l'aurais voulu pour apporter les explications nécessaires, surtout du côté des références que j'ai pu faire au contexte du forum. Je viens me rattraper !
Je dépose le contexte ici pour plus de clarté dans mes propos, j'ai un don pour m'emmêler les pinceaux... :

Paradis, Enfers, Terre, tout est réalité. Damned Town est une ville immense, perdue quelque part on ne sait où. Les humains qui commettent un péché s'y réveillent, comme après un long sommeil, aux pieds des marches de la Mairie, recouverts d'une petite couverture. Les déchus, exclus de leurs terres d'origines, y sont envoyés pour s'y racheter. De par la présence de la reine des anges, Haelyn, et d'un roi démon, Dragon, les anges et les démons cohabitent avec tout ce petit monde dans la ville, se livrant une guerre ouverte, sans violence, car interdite, mais sans merci.

Des lois restreignent les actes des habitants, notamment pour éviter que les divins ne s'entretuent et ne blessent les humains dans cette lutte. Il est ainsi interdit à quiconque de mourir ou de se livrer publiquement bataille au sein de la cité. J'ai lu dans la plupart des textes de la troisième épreuve que la violence était souvent présente mais, dans mon cas, j'ai préféré l'éviter pour coller aux lois de Damned Town : Baba Yaga ne pouvait pas menacer mon personnage de le faire souffrir ou de le tuer puisque ça lui était tout simplement interdit. J'ai cherché à le faire comprendre dans mon texte, sûrement de façon maladroite, en parlant notamment de cette fameuse fontaine : en explorant les mythes de Baba Yaga, j'ai appris que notre ogresse se considérait comme la gardienne d'une fontaine de la vie et de la mort, et je me suis dit qu'explorer ce côté pouvait être intéressant à aborder dans mon texte. J'ai donc décrit le bassin comme étant brisé pour symboliser l'impossibilité de la mort à exercer son emprise à Damned Town.

J'espère ne pas t'avoir plus perdu.e avec mes explications, j'ai beau me comprendre je sais que ce n'est pas toujours évident de suivre le fil de ma pensée :D

Beaucoup de cookies et de courage à tout le monde pour surmonter le marathon de lecture <3
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Mitsu Te
Invité
Sam 28 Mar - 20:29
Bonjour à tous !

Pour la première fois de ma vie, je vais poster ici. Parce que jusqu'à maintenant, j'ai toujours été une fervente lectrice des Interfos, mais je me contentais d'aller faire mon top dans mon coin, et de venir ici voir ce que les gens pensaient des textes de nos Terraens. Alors du coup, aujourd'hui est un sacré grand jour, puisque je vais enfin partager ça au monde entier aux participants de l'interfo, qui ont bien le droit de savoir ce que j'ai un peu pensé de mes lectures !

En tant que participante aux épreuves, vous m'avez probablement déjà croisée en tant que Mitsuki, Allen ou Hideko, toujours pour Terrae. #pasassezd'uneviepourallersurd'autresforums

Il me reste l'épreuve 6 à lire, et j'en suis désolée (je n'arrive pas à trouver le courage Crying). Je vais essayer de faire de mon mieux pour être à la hauteur de tous ces commentateurs super doués.

Evidemment, je le précise, mais mon avis compte pour... mon avis. Il n'est représentatif de rien, et n'engage que moi.

EPREUVE 1 :

KHS + MA:

LS + VB:

UTM + OT:

ES + ME :

CI + TE :

DT + NRP :

IL + SNK :

EPREUVE 2 :

NRP + CI :

OT + KHS :

MA + IL :

ME + DT :

SNK + ES :

VB + UTM :

EPREUVE 3 :

UTM:

VB:

AVA:

SNK:

KHS:

Metro:

ILK:

Irydae :

Cosmin:

Te:

Es:

LS:

NRP:

DT :

EPREUVE 4 : (je tiens à préciser que mon avis pour cette épreuve n'est absolument pas à prendre en compte, compte tenu de la difficulté que j'ai éprouvé à lire cette épreuve... Le thème ne m'a vraiment, vraiment pas inspirée, et j'en suis terriblement désolée, vraiment)

Metro:

OT:

Irydaë:

AVA:

UTM:

LS:

NRP:

Terrae:

DT:

Es:

SNK:

Madelle:

ILK:

RPG Rebirth:

KHS:

VB:


EPREUVE 5 : (et je crois que j'en peux plus d'écrire mes commentaires depuis 2h, pour qu'en plus ils soient d'une qualité médiocre - mais bon, là c'est l'épreuve 5, et contrairement à l'épreuve 4, j'ai beaucoup aimé la lire)

Iry:

NRP:

DT:

OT:

UTM:

KHS:

Te:

SNK:

Me:

VB:


Et si j'ai oublié des textes, je suis vraiment, vraiment désolée, j'ai vraiment essayé de faire au mieux !

Si un jour je trouve le temps (et surtout le courage) de lire l'épreuve 6 avant la fin des votes, je vous partagerai à nouveau mes votes... Mais j'avoue que le thème, comme pour la 4, m'emballe très peu, et repousse ma lecture :( (je suis naze je sais)

En tout cas, j'espère que mes commentaires feront des heureux, parce qu'après tout pourquoi les partager sinon...

Et une fois encore, mon avis n'engage que moi.

Merci à Metro pour cette nouvelle occasion de tous se retrouver !
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Sili NRP
Invité
Sam 28 Mar - 21:52
Bonjour à vous ! Pas de commentaire de ma part, avec le télétravail d'enseignant, je n'ai vraiment pas eu le courage. J'avais juste besoin de faire un retour sur les commentaires de mes textes.

Je voulais déjà vivement remercier ceux qui ont pris le temps de commenter mes textes. Le Follet, ton commentaire sur le texte de Viholvä m'a rendue les joues aussi rouge que la flamboyance dont il est si fier. Merci ! <3

Je sais pourtant que ce personnage est complexe, et vous êtes nombreux à me faire part d'une certaine dose d'incompréhension, et j'espère quand même que la lecture a été agréable. Il se peut que je m'amuse trop avec ce personnage car j'aime notre langue française, il est tout indiqué pour jouer avec, et ne fais en définitive que rendre plus compliqué un personnage déjà fort complexe.

Je voulais plutôt revenir sur le texte de Rosario. Déjà, sans aucune vexation de ma part, il n'y a pas de cliché dans ce texte. Ou alors, ma vie, mon héritage sicilien, est un cliché en lui-même. Ma grand-mère sicilienne m'a dit, rien que cette semaine, d'un ton solennel, grave, que c'était problématique que mon stock de parmesan chute aussi rapidement car il est, et je reprends ses mots, "l'Ingrédient de notre cuisine". Ayant encore en tête l'interforum et mon texte, j'ai bien rigolé en aparté.

La cuisine n'est pas une invention simple, pas pour moi. Pas pour cette vision que j'en ai hérité de mes racines siciliennes. Pas quand j'ai connu, toute mon enfance, l'amour de ma grand-mère dans ses plats. Pas quand, adulte et vivant désormais seule, j'ai à mon tour appris à cuisiner, à réellement cuisiner, pour retrouver les saveurs de mon enfance et cet amour que j'y percevais. Les nanites pourront vous le témoigner, cette quête du parmesan, je leur ai rabattu les oreilles sur notre discord plus d'une fois (et celle de l'encre de seiche introuvable à Halloween, quelle horreur).

Alors, non, réaliser des pâtes à la sauce n'est pas simple.  Pas dans cette cuisine. Parce qu'une sauce à l'italienne, ça se prépare avec du temps, avec de l'attention, avec de l'amour. Avec l'idée, derrière, de faire plaisir à ceux qui vont les manger. Parce qu'une sauce à l'italienne, c'est tout un héritage de savoir-faire, de famiglia, d'amour encore une fois, et c'est aussi le rappel du soleil, des cigales et de l'accent chantant. Neil de KHS a senti ce que je voulais vous transmettre en ces temps troublés, à défaut de pouvoir offrir ma cuisine.

Maintenant que j'y pense, j'aurai peut-être dû expliquer ce point plus longuement dans mon HRP. Choisir la cuisine italienne n'a pas été anodin pour moi, même si j'ai axé mon texte sur de l'humour, dans l'objectif de faire rire et d'offrir de la joie au son de la Tarantelle ~.
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Kaoren
Invité
Dim 29 Mar - 14:04
Bon, avant toute chose, je tiens à remercier ceux et celles qui m’ont remercié pour mon commentaire, parce que ça fait plaisir de faire plaisir, aussi vrai que c’est redondant d’être redondant. Et je savais absolument pas qu’Afya était jouée par notre Piu internationale, je précise avant qu’on aille me poursuivre pour favoritisme. Surtout qu’avec les deux podiums que j’ai filés à Silivren à côté de ça, ça va pas s’arranger.

Je tiens également à remercier ceux qui ont commenté mon texte, parce qu’avec tout ça, j’en viens presque à oublier que j’en ai écrit un. Merci Lunatique, qui me rends même hommage en ajoutant une citation dans ton commentaire ! Merci Piu’, que j’aurais d’ailleurs dû remercier au paragraphe précédent ! Et merci Mitsu’, tant pour le compliment sur mes analyses "terriblement pertinentes" que celui sur mon texte de concours ! (Et t’en fais pas si tes commentaires sont moins fournis, je le dis et le répète, mais le plus important reste de rassembler un maximum d’avis. Toutes mes analyses partent d’un sentiment du genre "c’est agréable à lire" ou "c’est beau", le reste, c’est du luxe, même si ça a tendance à devenir une drogue dans mon cas.)

Ceci étant, me voici de retour pour l’épreuve 5 ! Et j’aime autant vous le dire tout de suite, je vais avoir beaucoup de mal à la commenter. Quand j’ai commencé à lire l’épreuve, avec la participation d’Irydaë, j’en suis sorti avec le sentiment que c’était excellent, globalement très drôle, mais j’ai beaucoup de mal à décortiquer l’humour et j’ai pas réussi à en tirer une citation à commenter, même pour parler du texte entier. Alors j’ai enchaîné avec la participation de Nano RP, rebelote. Alors j’ai enchaîné avec celle de la Sérénissime, dix de der. Alors j’ai enchaîné avec celle de Damned Town, et… y’aurait quoi après dix de der ? Bref, tout ça pour dire que j’ai trouvé un certain nombre de participations géniales, mais j’ai beaucoup plus de mal à saisir pourquoi. Enfin, je sais pourquoi, c’est parce qu’elles sont drôles. Mais je sais pas pourquoi. Et des cinq personnes que j’ai mises sur mon podium – parce que chez Esquisse, on en met cinq pour départager les ex-aequo, une technique qu’on a sournoisement piquée à Madelle, que je remercie – seules deux apparaîtront dans ce commentaire. Du coup, si vous voulez en savoir plus, vous pouvez aussi aller stalker notre sujet de votes sur Esquisse. Moi, je suis le p’tit lapin blanc.

Mais trêve d’excuses, car je n’ai pas prévu pour autant de vous laisser repartir sans une bonne dose de gros pavés explicatifs pour expliquer la position d’une virgule dans la phrase d’un tel ! Alors, comme d’habitude, spoiler alert – même si à ce stade, vous devez avoir lu la plupart des textes que vous vouliez lire, je rappelle que les votes se terminent dans trois jours – et on est partis !

PS : Oui, cette fois, j’ai mis des spoilers. D’habitude, vu que je parle de phrases plutôt que de textes, j’aime pas trop laisser voir en un coup d’œil la liste des textes dont j’ai parlé pour pas laisser un a priori sur mon avis global, surtout qu’il a des chances d’être assez faux comme mentionné plus tôt. Mais là, avec tout le monde qui met des spoilers, j’ai un peu peur de m’imposer en prenant la moitié de l’espace du sujet. Et en plus, je réalise que ça me permet d'espacer un peu mes commentaires en sautant une ligne entre les paragraphes sans scinder la forme. Donc j'essaie, et vae victis. Ça n'a rien à faire dans le contexte, mais ça rend bien.



Liam (OT):

Isolde (ES):

Joy (KHS):

Tiago (TE):

Alfred (ILK):

Kate (SNKR):

Juliette (MAD):



Et voilà ! Bon, vous aurez remarqué qu’il ne reste plus beaucoup de temps avant la fin des votes, et il est tout à fait envisageable que je n’arrive pas à sortir le quatrième commentaire promis avant la deadline. Donc si vous continuez de suivre après, j’essaierai de quand même le lancer quitte à avoir un ou deux jours de retard, mais pour ce qui est de la suite, j’aurai peut-être plus de mal à me motiver à lire et commenter les deux dernières épreuves en sachant qu’il y aura moins de gens pour écouter mon avis une fois que la fin de l’interforum aura sonné.

En attendant, j’espère que ça vous a plu, encore une fois ! Pour ceux pour qui ce sera mon dernier commentaire, je suis quand même heureux d’avoir terminé sur un gros coup de cœur – vous me direz, j’en ai eu pas mal dans cette épreuve, mais là encore plus – et pour les autres, je vous donne rendez-vous pour le prochain ! Il sera soit sur l’épreuve 2, soit sur l’épreuve 6, mais peut-être aussi sur l’épreuve 3. C’était très utile, comme information, ça.
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Paz NRP
Invité
Dim 29 Mar - 20:14
Bonjour ici !

Je n'aurais pas le courage de commenter tous les textes comme certains ici, mais j'ai envie de commencer par dire deux choses à ceux qui ont posté avant moi pour le faire (ou après hein, tout pareil) : bravo, parce que ça prend du temps et que c'est pas un exercice forcément évident, et merci, parce que ça fait vraiment plaisir d'avoir des avis sur nos textes.

Donc comme je disais (ou que j'ai pas encore dis mais je le dis maintenant, voilà), moi je viens juste donner pleins de remerciements <3 Déjà merci Sona, Luna et Mitsuki pour vos commentaires sur mon texte, l'objectif avec Pachou est toujours de faire rire et ça fait plaisir quand c'est réussi ! (E Sona, on trouve rarement Pachou "adorable" sur NRP mais merci, ça fait plaisir de voir que tout le monde a pas envie de lui taper dessus xD) (Et un merci spécial à Mitsu pour avoir mentionné l’œuf du dernier interfo haha, je me demandais si certains se souviendraient.)

Ensuite merci et bravo à tous ceux qui ont posté un texte (ou plusieurs pour les plus courageux !), soit dans les épreuves soit dans la BàT. Je ne peux pas prétendre avoir accroché avec tous vos textes mais ils ont le mérite d'avoir tous apporté quelque chose à cette grande réunion qu'est l'interforum et j'espère que tout le monde aura pris autant de plaisir que moi à l'écrire ou même plus en fait, parce que moi j'ai bien galéré sur la fin.

Bravo aussi à ceux qui ont lu et voté, parce que franchement, c'est la partie la plus difficile et que lire autant de textes, c'est pas rien !

Et enfin, merci à Métro d'avoir organisé cette édition, parce que c'est du boulot et qu'on attend toujours cet évènement avec impatience, donc ça doit mettre bien la pression aussi ! ^^ Donc chapeau Valya et tout le staff de l'interfo pour Métro <3

Voilà, c'est déjà pas mal, maintenant j'ai hâte de voir les résultats et de savoir qui va succéder aux nanites !! tomatoe
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