| | Lun 16 Mar - 22:30 Oh ! Bonjour et bienvenue dans LA zone commentaire ! Que puis-je faire pour toi Jeune Otaku en manque de Shojo ? Hmmm Tu es là pour la collector des commentaires de l'épreuve 1 ? Ne bouge pas je vais te la chercher ! Mais sois averti ! Bien qu'il s'agisse d'une première édition, il s'agit là d'un avis complètement faussé d'un pauvre fou qui n'a rien fait d'autre que de lire les épreuves. Ses commentaire sont basés sur le ressenti après la lecture plus que dans le fond ou la forme ! Tu es toujours intéressé ? Très bien... Voici la VHS de présentation des épreuves.
IL + SNK : J'aime bien votre RP. la collaboration entre les deux personnages se fait presque tout seul, bien qu'il viennent d'univers différents. L'évolution de l'urgence devient intéressante avec un Garret cherchant de manière plus aggressive au fur et à mesures des post et une Katie essayant de survivre comme elle peut en donnant son coup de main est satisfaisant. Un détail, mais c'est du pinaillage pure et simple, c'est la connaissance de Garret des Stalkers qui fait se demander si le perso en a déjà croisé dans le monde de SNK. Mais dans l'ensemble je suis même déçu que la limite de post et/ou de mot ne vus fassent pas RP un peu plus longtemps. Mention honorable à la menace supplémentaire pour rajouter un peu plus de péripétie que le simple gaz toxique.
ES+ME : Dès les premiers poste le ton est donné, on sent que la collaboration va être un peu dure avec les deux loustics ! Un souci que je souligne tout de suite, bien qu'esthétique, est présent dans les post de Flavien c'est les paroles et la narration qui sont de la même couleur. Quand je relis les posts en diagonale (Allez y huez moi!) pour revoir ce qui m'a marqué c'est difficile de relire les dialogues. Après, mais ça se corrigera avec le temps, c'est les quelques fautes d'orthographe. Tout le monde en fait et je laisserais les grammar nazi te frapper, je te récupère après pour soigner tout ça.
Bon revenons à ce RP ! La courte tension que vous construisez est palpable, et vos actions sont racontées de manière bien coordonnée, ce qui monter que vous avez réussi a vous mettre d'accord sur le déroulement. Ce RP est sympa à lire, et l'action qui est dedans nous garde en haleine. Et la cerise sur le gâteau, alors qu'on se dit ces mots interdits "Bon il se sont battus, CA POUVAIT ETRE PIRE POUR EUX..." , vous nous ajoutez les mutant. J'ai le même sentiment que précédemment, je serais ravi de lire une version plus longue de votre RP !
KHS + MA : La première chose qui m'a sauté aux yeux et qui m'a fait plaisir dans ces temps reculés, c'est la cohérence utilisée par Madelle. En effet, ce détail de ne pas savoir ce qu'est la masque à Gaz n'est peut être rien, mais ça respecte le style médiéval/fantastique qu'Ellyn a employé et ça c'est cool. Tout au long du RP, j'ai bien aimé ce sentiment d'espoir faiblissant au fur et à mesure de votre avancée. Avec la bravoure d'Ellyn, la tendresse et la gentil de Mitsuki chez Kobe High School, donne une superbe alchimie, rendant frustrante la fin que vous avez écrit tellement je voulais voir les deux personnages s'en sortir. C'était un joli RP avec de rare fautes, mais qui ne brise en rien l'immersion de votre cauchemar dans ce tunnel.
CI+TE : J'avoue que la curiosité concernant votre avancée m'a fait lire votre rp au fur et à mesure et donc ce ne sera pas vraiment une réaction à chaud, mais j'ai beaucoup apprécié votre RP. Entre Adaryon et Pricie, j'ai trouvé touchant le fait qu'ils se serrent réciproquement les coudes, pour donner la fin que nous avons. GG les gars j'ai trouvé votre RP trop rapide, j'en veux plus avec vos personnages !
UtM+OT : Premier souci dès le post d'Aidan : l'esthétique de ton post cache tes dernières phrases. C'est un peu gênant pour la lecture, mais j'adore ton fond vampirique ! La collaboration difficile entre la maniaque Sofia et le vampire Aidan rend le duo sympathique à suivre dans une scène pourtant terrible. Ce rp lent, avec cette soudaine accélération lors de l'explosion est très satisfaisante à lire, donnant un certain équilibre à votre RP. J'ai bien aimé vous lire et j'attend avec hâte votre prochaine collaboration.
DT+NRP J'ai eu le même souci qu'avec le RP de CI : ma curiosité m'a trahi, me faisant lire vos RP au fur et à mesure au lieu d'un coup. Du coup ce que j'en tire : Un intérêt particulier à votre RP, Rajoutant un long paisible de discussion entre les personnages. Le conte que vous m'avez offert était fort sympathique à suivre, et je regrette même qu'il ne soit pas plus long. La présentation de Tanis au dernier m'a cependant un peu dérouté mais la surprise était bonne et pleinement acceptée.
Et Voilà ! Toujours intéressé ? Comment ça il aide pas les participant pour qu'ils s'améliorent ? Bien sur que non ! Il est trop idiot pour ça ! Allez Prend la collector, et surtout n'hésite pas avec la porte, elle galère un peu !
Thresh vit le client s'envoler par la fenêtre sous les bruits d'un pigeon, stupéfait. |
| Mar 17 Mar - 0:06 Coucou tout l'monde ! C'est la première fois que je fais des commentaires, normalement je ne lis même pas les épreuves pour une raison bien simple : Je déteste lire ! Mais là j'me suis dit que j'allais faire un effort quand même, et pour faire ça en douceur je commence par l'épreuve que je connais le mieux, le bout du tunnel ! Commentaires - Epreuve 6Alors, dans mes critères, je suis un fervent adepte du principe de dualité, alors je mettrai toujours une qualité et un défaut que j'ai trouvé au texte ! Même si c'est le meilleur texte du monde, je mettrai un "trop parfait" dans les défauts et je serai sérieux !! Ensuite, puisque j'ai vu d'autres qui ont fait ça et que j'aime le principe, une citation du personnage. Et enfin, je finirai avec mon ressenti global ! PS : Si le ressenti ne vous revient pas, dites-vous qu'il vient de l'esprit de quelqu'un qui, à la base, déteste lire n'importe quel écrit =P Et avant toute chose, mon ressenti global sur l'épreuve : Cette épreuve était très intéressante à mettre en place, notamment pour moi puisque mon personnage s'y prêtait absolument et j'ai adoré la faire parler d'elle-même. Après, je me dis que cette épreuve comportait le gros piège du "Je vais parler de mon passé et rien ne va justifier ni mon isolement, ni pourquoi je ressasse". Tomber dedans n'est pas éliminatoire pour moi, mais c'est très dommage ! Je tiens également à préciser un détail important : Je compte l'orthographe et la syntaxe comme des critères, mais je suis bien conscient que certaines personnes ont plus de mal que d'autres avec ça et le but n'est absolument pas de leur renvoyer ce défaut dans la gueule. Il s'agit pour moi simplement d'un critère à valoriser, comme à mentionner lorsque piste d'amélioration il y a, mais en aucun cas je ne blâme la personne derrière l'écran pour quelconques lacunes ; on a tous nos difficultés et c'est normal. On commence donc dans l'ordre ! - Artemis (LS):
Qualités : Très jolie plume, enchaînement fluide entre les mots, très forte démarcation du caractère du personnage. Défauts : Deux paragraphes trop longs, une fin un peu trop subite à mon goût Citation :C'est frustrant d'être une femme dans un monde d'hommes. Je suis capable, je sais faire ... Ressenti : J'ai eu du mal à la première lecture à tout comprendre, notamment lorsque Angelo arrive à la fin, j'ai dû remonter la page pour ressaisir qui il était, mais je n'exclue pas que le problème vienne de moi. J'ai aussi trouvé que ça manquait d'organisation, mais en même temps, il s'agit là des pensées de quelqu'un qui s'embrouille soi-même et finalement, ça peut s'avérer très à propos. Par rapport à la mise en contexte, j'ai l'impression que tu es un peu tombée dans le piège de cette épreuve, puisqu'en tant que lecteur, je n'ai pas compris pourquoi Artémis était seule, ni pourquoi Angelo apparaît à cet instant-ci, ni même où elle se situe. Je trouve que c'est dommage !
- Andrei Volkovar (Metro):
Qualités : Mise en situation ++, beaucoup d'émotion, vocabulaire original Défauts : Quelques fautes d'accords ci et là, des tournures parfois alambiquées, Andrei meurt à la fin =( Citation : Je crois que tout ce qui importe, c’est de savoir ce que l’on doit faire avec ce qu’on a entre les mains. De notre temps. De notre amour. De nos capacités. Mais surtout de notre amour. Ressenti : Tu m'as fait serrer ce petit coeur qui est le mien, ton patriarche est très attachant et tu m'as touché là où je suis le plus sensible : le drama. J'adore le drama, et là, j'ai eu ma dose de drama. J'espère juste que c'était pas une fausse mort, sinon c'est no balls 8D
- Fiora (VB) :
Qualités : Fin ... inattendue mais c'est cool ! texte amusant, personnage extravagant au possible Défauts : Quelques maladresses d'orthographe et de syntaxe Citation : J'ai refusé d'être manipulé, d'être un point, de servir les intérêts autres que les miens, ce qui a condamner mon père à une mort certaine. Ressenti : Hop ! T'es totalement en vocal avec moi pendant que j'écris ça, mise en abîme de fouuuu. Alors, ton texte ... il est bien. Sans déc, j'aime beaucoup l'image de Fio qui est toute seule en plein monologue avec un type on sait pas qui c'est. En fait, pour tout te dire j'étais sur le point de te dire "Euh ... les consignes c'est qu'elle est toute seule", mais ça m'a arraché les mots de la bouche. Une lecture agréable en soi, j'en ai presque oublié que tu as failli tomber dans le piège de la non-justification, mais comme même ton personnage ne le sait pas, ou du moins, essaye de supposer, je passe là-dessus !
- Tessa (KHS):
Qualités : Texte très vivant, très clair Défauts : Court au niveau des descriptions, "très à propos" Citation : Il y a tellement de choses que j’aimerais faire. Voir mon neveu grandir, trouver enfin ma voie et planifier mon avenir avec plus de certitudes ... Ressenti : Je ne me suis pas ennuyé dans ton texte, entre les dialogues coupés par de brèves introspections de Tessa, ça rend le tout très dynamique et facilite grandement la lecture. Mon cerveau de non-lecteur t'en remercie ! Là où c'est dommage c'est que tu t'es limité(e) aux consignes sans aller chercher plus loin, d'où le "très à propos", à vrai dire, c'est "trop à propos". Ton texte est tombé dans le piège que j'ai mentionné en début de post, celui de ne pas mettre assez de contexte et de se contenter de la partie "souvenirs et regrets". C'est dommage puisque je suis sûr que tu avais matière à faire, avec un personnage comme le tien !
- Ophélia [Iry]:
Oui bon je vais pas me commenter moi-même non plus, hein ... je vais juste donner mon impression sur ce que j'ai fais : je suis content de mon texte comme de l'épreuve, je pense être bien tombé. Mon principal regret se situe sur la fin, où j'aurais voulu accentuer les émotions positives de mon personnage mais où les mots me manquaient et qui donne cette impression d'adrénaline miracle bâclée.
- Anoushka (NA):
Qualités : Mise en situation, Drama + Défauts : Quelques répétitions et fautes Citation : Tu sais Sha… Tu étais drôlement lourde à transporter quand tu étais complètement bourrée. Mais tu étais tellement adorable Ressenti : Un texte pour le moins mignon, j'aime la sensibilité de ton personnage à cet instant et le fait que tu ne mettes pas de barrières à ses pensées pour les atténuer. C'est une épreuve abordée de manière assez classique, mais efficace, de toute manière, pour beaucoup de textes il s'agit de personnages mis face à la mort et c'est effectivement la situation qui suscite le plus d'émotion. En somme, bravo à toi !
- Nyriel (OT):
Qualité : Jolie plume Défauts : Compréhension, tournures de phrase parfois trop profondes Citation : Qui avait dit que le temps rendait sage ? « Je n’ai jamais été sage, » se répondit-il à lui-même. Ressenti : Ton texte m'a beaucoup parlé. Pourquoi ? Parce que je retrouve beaucoup de mon style dans le tien, mais le problème, c'est que mon style, je m'y noie. Il y a beaucoup de métaphores, beaucoup d'images très belles, mais parfois, on s'y perd et quand bien même j'aime l'aspect mélodique de ton épreuve (qui au passage, s'accorde très bien avec ton personnage), je ne peux pas m'empêcher de me dire : il y en a de trop. Mais un beau texte reste un beau texte !
- Amy (Te):
Qualités : Mise en situation, exploitation du background du perso Défauts : Je sais pas si c'est moi ou ton personnage, mais j'ai eu du mal à déceler ses émotions, à les ressentir dans ton texte, pourtant je sais qu'elles sont là, j'ai juste l'impression que le ton aurait pu être plus puissant. Citation : Game over, Gabriel Tu en fais le thème de ton texte, évidemment que j'allais prendre ça. Ressenti : Alors déjà j'ai la chance de connaître ton perso de Terrae, alors je sais directement de quoi il s'agit lorsque tu parles d'un mystérieux fantôme qui lui parle dans sa tête. C'est injuste, mais ça te fait un avantage considérable dans mon coeur par rapport aux autres ! J'ai beaucoup aimé ta manière d'expliquer chaque chose, histoire de bien justifier son arrivée dans une station abandonnée, comme j'ai aimé la manière dont tu fais resurgir Gabriel pour lui dire "fuck off". Le message est puissant dans les faits, mais je ne saurais que trop répéter que ton texte pourrait être plus vivant encore.
PS : Je sais pas si tu me reconnaîtras, mais je ne vais pas te dire qui je suis si non ! Sache juste que t'as un rp avec moi et ... que je suis en retard je crois ^^'
- Alice (DT):
Qualités : Très bonne interprétation du personnage, personnalité sortante Défauts : Récit monotone, Manque de contexte Citation : Je suis Alice Green, bordel ! Je me bats pour ma liberté. Si on me met à terre, je me relève Ressenti : D'abord, je tiens à m'excuser, j'ai énormément de mal avec la narration à la deuxième personne. Ce n'est pas de ta faute, mais ton texte a, pour moi, mal commencé, ce n'est pas un reproche, je sais que ça peut plaire à d'autres personnes que moi, mais tu n'as juste pas eu le bon public, ici.
Par rapport au texte, je trouve qu'il manque de "couleur", on en apprend beaucoup sur le passé de Alice, sur son caractère. Mais au niveau de la profondeur, on ne sait pas pourquoi elle est dans un trou, et à la fin du récit, finalement, elle se relève et s'en va. Je trouve que ça manquait d'éléments présents, même si je sais que finalement, eh bien tu as respecté la consigne de l'épreuve. Je pense que ça aurait vraiment été bien d'envisager autre chose qu'un simple ressassement de ce qui a été. C'est pour moi un défaut important, puisque que rendre un récit vivant le rend agréable à lire, même si je ne dénigre absolument pas ta manière d'écrire et l'interprétation de ton personnage (qui est au passage très réussie), alors bravo à toi tout de même !
- Djerin (NRP):
Qualités : Mise en situation +++, texte très descriptif Défauts : Trop de concret, pas assez d'introspection, quelques maladresses de syntaxe/d'orthographe Citation : Je n'ai pas trouvé de phrase qui m'a vraiment marqué, malheureusement, normalement je prends des phrases qui résument bien le personnage, hors, je n'ai pas trouvé beaucoup de pensées de Djerin et donc je n'ai pas réussi à choisir une phrase pour lui. Désolé ... Ressenti : Comme dit au-dessus, c'est dommage pour une épreuve où le développement de personnage est l'essentiel, de se contenter d'un regard de l'extérieur. Ton texte est très parlant, il est très graphique, mais malheureusement, on loupe le thème du personnage qui se rappelle de son passé, regrette, s'attriste, ou au contraire s'égaye. Je trouve ça vraiment dommage de louper cet aspect puisqu'il compose l'intérêt même de cette épreuve, même si ton texte sait trouver ses points forts ailleurs.
- Chris (UtM):
Qualités : Mise en situation +, descriptions Défaut : OMG LA TAILLE DES PARAGRAAAAAAPHES (en vrai ça va, mais c'est un peu lourd) Citation : Vingt ans qu’il était coincé de ce foutu trou à rats. Et ça n’avait jamais été facile, surtout pour quelqu’un dont les souvenirs du monde étaient encore présents. Ressenti : Je n'ai pas grand chose à dire sur ton texte, il est complet, remplit les attentes de l'épreuve, même si je pense qu'un peu plus d'introspection aurait été nickel. A défaut de te faire un argumentaire sur pourquoi je n'ai pas grand-chose à redire, je vais me contenter de te dire que c'est un joli texte que tu nous as fais là ! Ah et si, tout de même, belle interprétation du personnage comme je l'ai imaginé, le portrait dressé de lui correspond exactement à ce à quoi on s'attend.
- Feliciano (ILK):
Qualités : Emotion +++, jolie plume, espacement des paragraphes parfaits (pour moi) Défauts : Passage un peu abrupte du positivisme au chagrin Citation : « Tu as gagné espèce de bouffon, t’es fier ? Tu l’as fait en premier, tu es mort avant moi... ». Ressenti : Pourquoi cette citation ? Parce qu'elle m'a mis des larmes dans les yeux. Tu passes du temps à construire, expliquer la relation qui lie Feliciano à son jumeau et en conclusion, tu détruis ça en faisant découvrir le cadavre du premier à son frère. C'est horrible, c'est triste, c'est touchant et moi, ça m'a frappé de plein fouet, j'ai adoré ça.
Tu peux te vanter de ton texte, car pour moi, dans cette épreuve, il est l'un de ceux qui mérite le plus d'être dans les numéros 1. En fait, je ne me soucie même pas de la mise en situation, le tempérament de Feliciano semble coller avec un caprice du genre "explorer la grotte sombre pour aucune raison". C'est d'autant plus navrant de penser qu'au final, il est mort pour un jeu et ça, c'est extrêmement dur, mais ça fait tout ton texte et pour cette chute-là, tu es devenu l'un de mes favoris. Merci à toi.
- Arndt:
Qualité : Efficace Défaut : Trop concis Citation :Il aimait son sourire, ses manières, ses contrariétés. Il aimait tout chez elle. Et elle... Elle ne l'aimait pas Ressenti : Déjà, et très sérieusement, j'apprécie que ton texte ne soit pas long, ça me repose dans mes lectures et je t'en suis très reconnaissant. Malheureusement, quand bien même ça me soulage, ça enlève de la profondeur hypothétique à ton texte qui en a le plein potentiel. J'ai adoré l'idée d'un amour non réciproque, ça change de l'amant à qui l'on dit "adieu, je t'aime, bleeegh ..." Il y a de quoi développer là-dedans et je trouve ça dommage que tu n'aies pas exploité le nombre de mots à leur plein potentiel car je suis sûr qu'il y avait moyen de faire quelque chose, non pas d'intéressant, mais de captivant.
- Mealladh (Mad):
Qualités : Très complet, descriptions +, introspection + Défauts : Quelques répétitions, parfois confus, "trop à propos" Citation : Le Follet allait mourir ici, de faim, d'ennui peut-être. Il le savait. Il s'en fichait. Ressenti : Comme indiqué dans les défauts, je me suis un peu perdu dans ton texte, est-ce que c'est parce que je suis un abruti ? Va savoir ! En tout cas, j'ai apprécié ton texte, bien qu'il soit un peu trop dans les clous à mon goût. Je pense néanmoins que tu as réussi tes descriptions, tu as réussi le sentiment d'indifférence insolente de ton personnage et tu as réussi à susciter de l'empathie pour ton personnage. La seule chose que je rajouterais à ton texte, c'est du vivant, pas que des souvenirs. Belle participation !
- Audebert (Es):
Qualités : Interprétation, Incarnation et Retranscription, le tout en +++ Défauts : Très dur à comprendre, trop focalisé sur les rimes, un peu lourd Citation :Car de tous mes récits, il manque un élément ![...]Car ce dont je ne me souviens pas, c'est vous. Ressenti : On ne t'en demandait pas tant. C'est incroyable un récit aussi long tout en alexandrin et en rimes. Je suis sûr que ça a dû te demander un sacré effort de rédaction, ou peut-être que tu y es habitué, mais en tout cas, pour le temps que tu as dû y consacrer, je DOIS te féliciter.
Malheureusement, dans cette épreuve où je pense que la profondeur est essentielle, je trouve que le poème n'était pas la meilleure forme pour l'aborder. Les vers ne décrivent pas aussi bien que le font les lignes, et, en leur travers, ton texte a perdu du sens, il a perdu de l'intérêt, une rime ne devenant plus qu'une rime, une partie d'une mélodie et non un élément du passé d'Audebert. On écoute une chronique de son passé, oui, le thème est raccord, on retrouve notamment la solitude dans la citation que j'ai inscrite plus haut. Mais tout ça est, je trouve, gâché par ce qui aurait dû faire la force de ton texte, son style. Il est très compliqué, mais alors extrêmement compliqué de pouvoir allier la beauté des mots à leur profondeur, tu m'aurais demandé ça, j'aurais répondu "pour moi, c'est impossible". Mais tu as relevé le défi et pour ça, tu as tout mon respect.
Et j'ai fini ! Merci à vous tous pour ces participations, n'oubliez pas que ce ne sont là que mes avis, j'ai peut-être des goûts de chiotte et je n'ai pas spécialement cherché à être objectif. Dites-vous qu'une opinion vaut ce qu'elle vaut, vous pouvez être d'accord avec moi, pas d'accord, c'est de votre ressort ! Quoi qu'il en soit, et je ne mens même pas en disant ça, c'était un certain plaisir que de vous lire ! Je continuerai peut-être sur les autres épreuves si je trouve la motivation, en attendant, bisous à vous tous !! |
| Mar 17 Mar - 11:59 Hi Alors, pour commencer, je tiens déjà à remercier Métro pour cette nouvelle édition de l'Interforum. C'est toujours un plaisir que d'y participer ! Et puis, cette fois, j'ai put participer autant pour mon forum (Nouvelle Avalon) que pour Ostium Tenebris. Donc, j'avoue, je suis toute contente Je félicite tous les champions de toutes les épreuves, mais aussi le staff de chaque forum qui généralement s'organise pour trouver les champions, gérer les votes, etc. Bon courage d'ailleurs pour cette-dernière étape Et enfin, je remercie tout particulièrement Sofia de UtM pour notre mini-rp ! A présent, je vous avoue, je ne me suis jamais essayée à commenter des écrits ou des textes. Alors, ça va être une première dans la mesure de mes disponibilités. Tout ce qui sera dit, n'est que mon ressenti en fonction de mes goûts. Ah et, merci Thresh pour ton retour sur notre rp à Sofia et moi. Pour le code, m'en suis rendu compte oui : à partir du 3ème poste ^^" j'ai alors corrigé le tir mais j'allais pas demander au staff de Métro, qui a déjà assez à gérer, d'éditer mes trois autres messages pour remplacer mon padding-bottom de 100 à 200 lol ^^" Me suis dit que "pas grave, me ferais taper sur les doigts par les lecteurs" *tend le bâton pour se faire battre mais essaie de soudoyer avec un cookie quand même* Sur ce, les commentaires ! (bordel, faut que j'apprenne à faire court oO) Je vais commencer par l'Épreuve 1 car outre d'avoir participer à cette épreuve, ben, commencer par le début c'est parfois plus facile /pan/ ! Avant d'y aller "cas par cas", je dois dire que quand j'ai lu l'énoncé au tout début : j'ai eu un peu peur. En fait, au départ, je craignais de voir le même genre de rp se développer un peu partout. Je me disais "Ah... Un huit clos avec une seule porte de survie ? Aïe... On risque d'avoir surtout de l'opposition" ... C'est une des raisons qui m'ont fait choisir "Aidan" pour le miens, qui a un côté très "gentleman/pacifiste". Mais finalement, quand j'ai lu les épreuves après avoir fini la mienne, j'ai été contente de voir que je m'étais trompée ! :D ▬ DT + NRP J'ai pris plaisir à lire ce rp, à essayer de deviner la nature de Stanéria. Et puis, Alec... Un beagle ? Un petit beagle ? Mais c'est jouer la carte du cute sentimentaliste là ! Et j'aime beaucoup la chute. ^^ ▬ CI + TE J'ai trouvé intéressant comment les personnages, au final, se complètent mais se reflètent aussi. Celui qui devrait être l'adulte semble, sous l'effet de la peur, retomber en enfance. Je veux dire, Adaryon nous semble alors fragile quant Pricie dégage une maturité plus forte que son âge le supposerait (même si teintée par une sorte de fatalité). Honnêtement, c'est l'évolution de cet aspect qui m'a entraîné dans votre rp et m'a fait l'apprécier. ▬ KHS + MAD bon, je commence à pas mal connaître l'univers de Madelle à force de lire leur contexte et leurs news XD Aussi, comme Thresh avant moi, j'ai trouvé trés sympathique la façon dont Ellyn maintient son rapport avec son univers pour ne pas seulement être happé dans le monde contemporain mit en place par Mitsuki. Et puis, leur entraide est touchante et la fin... Mon dieu, la phrase de fin me laisse un frisson. ▬ LS + VB Quand j'ai vu que le rp c'était Salluste à l'ouverture, je me suis dit "mon dieu, où est mon sirop car je vais encore rire je le sens... et avec une bronchite, ça va pas le faire" XD Et le pire : c'est que j'avais raison XD Déjà, en voyant VB et LS me suis dit "le masque à gaz dans leurs univers ? euuuuuh"... Alors, GG Salluste pour cette sublime description. Mais surtout, j'ai beaucoup aimé comment Tresh a alimenté le côté complètement fou de ce rp. Ce côté totalement décalé que la fin permet de comprendre. Certains diraient que justifier comme ça c'est de la facilité, mais je ne pense pas. Cela donne au contraire toute sa saveur au burlesque, et un contexte pour expliquer une rencontre de base complètement improbable avec un élément clef de l'épreuve complètement uchronique : le masque. J'ai adoré, je ne le cache pas. ▬ ES + ME J'avoue, j'aime beaucoup la plume des joueurs d'Esquisse (enfin, j'ai encore jamais lu une mauvaise plume chez eux oO) ... Mais aujourd'hui encore, j'ai du mal à vraiment comprendre l'univers d'Esquisse. Donc, en un sens, que Flavien est adapté son personnage pour l'adapter à l'univers de son partenaire rp, c'est quelque chose que j'ai apprécié car ça m'a offert un contexte que je pouvais mieux comprendre et donc, mieux m’immerger dans votre rp. En un sens, il est plus proche de ce que je m'attendais à avoir dans cette épreuve à l'origine mais finalement, comme c'est le seul du genre ça le rend encore plus agréable. Car j'ai aimé être vraiment entraîné dans l'ambiance et l'univers de Métro qui m'est peu familier ^^ ▬ IL + SNK Je n'ai qu'un seul regret pour votre rp. car niveau rythmique, ambiance, progression, survie : tout y est pour moi. Juste, je regrette que vos personnages soient dans l'univers de Metro et non dans celui d'Ilukaan ou de SNK. La mention du métro moscovite et des stalker par le personnage de Garrett fait qu'au final j'ai compris que c'était l'univers de Métro et ça m'a, je l'avoue déçu. Au départ je croyais que vous étiez dans l'un des deux univers, probablement même plus dans celui de SNK (la magie pouvant expliquer un déplacement dimensionnel accidentel pour Ilukaan ? /pan/) mais coincé dans un passage souterrain avec du titan souterrain aux trousses (les bruits contre la pierre m'ont fait pensé ça) ... donc, pour le coup, c'est le seul regret que j'ai : ne pas avoir put frôler un peu le contexte et l'univers de vos forums respectifs. Après, je vous félicite car je crois que l'IRL vous a forcé à rusher pour terminer donc, forcément, ça a du vous mener à des concessions j'imagine. En tout cas, encore une fois, bravo à tous ! Voter ne va pas être facile lol Je verrais si j'ai le temps de faire ça pour les autres épreuves Et je rappelle que tout ces avis n'engage que moi :D |
| Jeu 19 Mar - 0:26 Bimbamboum ! C’est Sonouille de chez VB et comme toujours depuis l’édition 4, je viens donner mes petites réactions sucrées et à chaud de ma première lecture des différentes érpeuves. Et comme d’hab le même couplet : je ne sais pas tout et ne prétends pas donner la vérité, juste un avis humble et je suis toujours d’avoir les réponses ou des explications des auteurs ! Si vous avez quelque chose à ajouter à mon commentaire sur votre texte s’il vous plaît partagez-le moi ! Je commence avec l’épreuve numéro 3 : “Le marché” - [UtM] Anticias:
La première épreuve entame exactement comme je l’aurai souhaité : on a un personnage qui s’en sort intelligement, en empêchant Baba Yaga de gagner en la faisant ne plus poser de questions. C’est bien vu, c’est malin de sa part. A ce stade je ne sais pas si beaucoup ont eu l’idée mais j’apprécie que le personnage ai son petit plan et joue un peu un « contre la montre ».
Le petit moment légèreté: La petite parenthèse sur les cheveux verts et les questions moins thrash de Baba Yaga ça donne de la profondeur au texte. On se dit vraiment que la sorcière joue avec sa proie en lui laissant des gages plus simples, des question auxquelles on pourrait penser lorsque nous, on joue en vrai au jeu « tu préfères » sans essayer de tuer nos copains.
- [VB] Swain:
Je vais pas être objectif avec mes membrinous mais tant pis. De toutes façon je ne l’étais déjà pas ! Swain démontre pour moi qu’il maîtrise vraiment son personnage. La distance qu’il met entre ce qui est précieux et ce qui est essentiel est … brr. J’ai eu mal quand il a souffert, mais encore plus quand il a gagné. Tout sacrifier pour le pouvoir et pour Noxus. Ca c’est du chef ! C’était glaçant et j’ai été ravi que tu nous représentes avec ta maîtrise de mots !
Le petit moment frisson : tu aurais juste pu dire Béatrice. Mais ce que j’ai apprécié (enfin on se comprend) c’est que Jericho brise lui-même la nuque de Béatrice, ne laissant pas Baba Yaga agir par elle même. Il montre sa détermination et le fait que, à ce moment-là il sait[ qu’il a déjà gagné et les pouvoirs de Baba Yaga.
- [AVA] Lou:
J’adore les textes qui me permettent de découvrir un univers mais aussi et surtout d’entrer un peu dans la tête du personnage. Et franchement là je suis con-quis ! Ici tout ne tourne pas autour de Baba Yaga mais de la réflexion et de la prise de conscience d’Engel. Tu prends le temps d’installer le contexte et l’esprit du personnage : certes il y a moins de questions mais elles sont pertinentes et apportent quelque chose au récit. Un grand bravo pour mon premier coup de cœur de cet IF !
Le petit moment fascination : Ta description … juste waouh ! Honnêtement ça m’a donné envie de venir plonger avec elle. L’ambiance retranscrite est juste génial, j’avais l’impression de contempler les fonds marins au ralenti avec le personnage. Et j’ai aimé ça !!
- [SnKR] Cielle:
On frise le hors-sujet mais pour moi la limite n’est pas dépassée et c’est donc une franche réussite ! La thème est traité un peu différemment de ce que j’attendais : moi qui espérais des surprises, je ne suis pas déçu ! Beaucoup de descriptions, un seul choix à faire pour le personnage mais dieu qu’il est maîtrisé ! L’idée de base est vraiment chouette et le style correspond très bien au texte ce qui donne un ensemble très réussi ! La tension installée dans le texte se ressent aussi dans l’écriture et ça donne vraiment un aspect de jeu pour savoir qui traque ou est traqué.
Le petit moment tension: La toute petite phrase « Quelques secondes d’un silence qui sonnait faux » est ma toute préférée du texte je pense, plus encore que la toute dernière qui n’est pas loin dans le classement. Elle fait remonter la tension et représente pour moi toute l’ambiance pesante installée pendant le texte et ça c’est savoureux !
- [KHS] Chandini:
Bon alors première chose j’ai envie de serrer la louloute dans mes bras parce que les voyages scolaires c’est jamais rigolo quand ça foire. Ce texte m’a perturbé car j’ai senti des changements d’ambiance très brusques. Je pense que c’est voulu on a une ambiance très lourde qui s’installe et puis boum « chier comme si c’était épicé ». Et là on se demande quoi, on relit. Puis on accepte et on continue de lire le texte avec un peu de confusion. Les accents étaient mis sur certains choix qui paraissaient moins lourds, … En fait je ne suis pas sûr d’avoir compris le but de ces constructions mais si Chandini veut bien m’expliquer ça me ferait plaisir ! Je pense que j’étais simplement trop pris dans le côté sérieux que pour apprécier les blagues.
Le petit moment philosophie :La fin est probablement ma partie préférée du texte : à partir de la question entre l’ami ou la lumière, on garde une seule ambiance, celle avec les pensées profondes du personnage et de la réflexion qui part vers quelque chose de plus philosophique. Pour moi cette question ainsi que « préfères tu mourir d’ennui ou vivre sans pouvoir ?» était très réussie et les deux m’ont parues pertinentes et bien tournées.
Petit ajout bonus : j’aurai bien aimé voir un ami arriver pour la résolution de son dernier choix mais je comprends qu’avec la fin ouverte que tu as voulu nous laisser ça n’était pas forcément compatible.
- [Me] Nikita:
Alors j’ai lu, j’ai aimé, je suis allé prendre mon goûter. J’ai relu. J’ai aimé. Mais il n’y avait plus de gaufre pour recommencer le cycle alors je rédige. Sona du futur ajoute que non, avant de rédiger j’ai fini par décide de toute ta fiche, et j’ai adoré aussi! En bref tu étais déjà dans mes favoris avant suite à nos rencontres dans les derniers IF mais là je suis définitivement conquis. Donc comme qui dirait : « s’il te plaît, apprends moi les maths en russe ! »
Dès le départ j’ai aimé la distance que prends le personnage en rencontrant Baba Yaga. Ce détachement sied à merveille à Nikki : je n’aurais jamais imaginé un personnage fumer avec l’ogresse mais quand c’est lui ça paraît tellement naturel !
La question « Qu’est-ce que tu as préféré, au fait, les hommes ou les femmes ? Enfin, la Femme que tu as aimé ou l’Homme que tu aimes ? » a fait appel à des échos très personnels de ma vie et je tiens à applaudir la profondeur que tu as su mettre dans ce texte. C’est vraiment impressionnant de voir à quel point, derrière tout le détachement que veut prendre le personnage, il y a un fond puissant.
Le passage ou Baba Yaga lance « le père ou l’enfant ?» était tout aussi particulier. Même sans connaître bien Nikki, on ressent que quelque chose d’important se produit, l’atmosphère devient lourde et pourtant, aucune question n’est vraiment posée explicitement. Pour moi cette manœuvre-ci est celle qui, de toute les Baba Yaga lues jusqu’à présent m’a le plus convaincu. Je me suis vraiment laissé avoir par ses manipulations et j’ai ressenti un petit quelque chose d’indescriptible pendant la lecture.
Un petit moment d’hébétement: « Il n’a été question que de toi » Je suis littéralement resté bouche-bée ! Puis je suis allé chercher mon goûter et en relisant, au même endroit j’ai à nouveau eu cette réaction. Tout le texte m’a plu mais pour moi c’est là son apogée ! J’ai pas de mot. Juste envie de savourer le texte à nouveau. Les deux petites questions n’étaient pas loin tant je les trouvais intéressantes et pertinentes, ta Baba Yaga était superbement interprétée. Chapeau bas !
- [ILK]Ludwig:
Un texte plus léger et à la lecture plus aisée aussi. J’ai souris tout du long en voyant cette Baba Yaga s’amuser avec bien plus « d’absurdité ». Ici point de menace de mort ou de torture psychologique, elle ressemble plus à un enfant farceur qui prend plaisir à embêter une personne plus sérieuse qu’elle à a se jouer de son agacement. Le rendu est super efficace, ça met le sourire au lèvre et en même temps on se rend compte que le pauvre sorcier n’aurait pas pu faire autrement et on se dit « heureusement que c’est lui et pas moi ».
Le petit moment rire idiot : J’ai vraiment réagit comme Ludwig, fasciné par l’image que je me faisais du joli ruban, j’aurais aussi pu me faire piéger et cela m’a vraiment amusé de me sentir roulé dans la farine comme lui avec une ruse aussi simple. - [CI] Adaryon:
Ce texte c’est pour moi un sacré tour de force, une belle leçon d’écriture et de maîtrise. On peut dire que ce n’était pas le choix de la facilité mais pour moi, cette narration fonctionne, bien qu’elle demande beaucoup de concentration pour le lecteur. J’ai relu quelques fois le texte pour m’en imprégner et ne suis pas certain d’en avoir compris toutes les subtilités. C’est un véritable tour de force que de réussir à entremêler de la sorte deux pans d’histoire.
Le petit moment mise en abîme Je sais pas si c’est que moi mais juste après avoir lu « recommencer la partie » bah j’ai repris le texte au début pour le relire avec les nouvelles clés de lecture. Du coup je trouve que c’est vraiment intelligent comme construction pour le texte et l’effet de piège est mis en avant.
- [MAD] Juliette:
Ton texte m’a fait un peu pensé à un conte ou un mythe, non pas dans la forme mais dans ce qu’il s’y passe. Le héros qui profite de la perfidie du monstre contre lui et qui le bat à la loyal, le monstre qui s’enferme tout seul avec son jeu. Tout le monde avait cette consigne mais c’est dans cet écrit-ci que j’ai le plus eu cette sensation sans savoir l’expliquer.
Le petit moment sadisme Elle a gagné. C’est certain mais elle continue de jouer avec Baba Yaga. J’ai trouvé ce moment étrangement agréable à lire. Déjà les noix de coco j’étais comme « PEF ! HAHA ! DANS TES DENTS ! » mais avec la suite j’ai vraiment continué de savourer ! L’autre petit point que j’ai aimé c’est de comprendre les choix de Baba Yaga dans ses réponses et qui se dit « je vais éviter le piège et hop c’est dans la po… wait ?! »
- [NRP]Pazou:
Quelle surprise : j’ai adoré le texte de Pazou ! Ca m’a fait plaisir de retrouver ton gentil dragon et ce duel au sommet face à Baba Yaga. Les idées sont bonnes, la situation comique, on est sur un super niveau ! J’aime tout particulièrement sa façon d’appeler Baba Yaga bouffie et de se donner de grands airs face à une petite vieille tout imperturbable qui sait qu’elle est maître du jeu et qui ne prends pas la mouche. Le déséquilibre des demandes entre l’un et l’autre est savoureux aussi !
Le petit moment attendrissant: Le dragon qui hésite sur la nourriture c’était vraiment trop mignon ! Qu’il s’agisse de Bej et Alfred et de sa réponse sans aucun argument mais aussi et surtout le dilemme de l’oeuf ou du tartare ! Vraiment ce dragon est a-do-ra-ble !
- [TE] Eli:
La plume sied vraiment au personnage. De l’énergie à revendre, des majuscules, des phrases efficaces et courtes qui partent dans tous les sens. C’est frais et ça fonctionne bien ! La sensation finale est très agréable, on a l’impression d’avoir passé l’après-midi à jouer dehors. Les petites ref, les histoires qu’on se raconte. On a une petite choupette qui part à 102 % dans son délire !
Le petit moment compassion: Le moment ou Eli assaille la « sorcière » de toutes ses questions ! On s’est tous retrouvé avec quelqu’un (et pas forcément une gamine de 10 hyperactive) qui ne nous laisse pas l’occasion d’en placer une alors que c’est le but !! TAIS TOI ET LAISSE MOI JOUER ! Hum je m’égare ! C’était très réussi et ça m’a un peu rappelé une histoire que je lisais quand j’étais petit avec des sorcières par Rohal Dahl et c’était un bon souvenir !
- [Es AI:
L’Esquisse c’est un univers qui me plaît tout particulièrement ! Ici avec un personnage que je connais peu qui plus est !Pour moi un des bons points c’est le fait que les règles soient fixées : 3 questions, ni plus ni moins. On sait quand ça termine et on attend cette dernière question avec lui car on sait que c’est la dernière pour une bonne raison. Tout comme je l’avais mentionné plus haut, j’aime apercevoir les réflexions du personnage, surtout quand elles font appel à des dilemmes lié à la morale. Ici la crainte de la mort ou bien de la relation entre soi et les autres : un texte avec une jolie profondeur.
Le petit moment esquisséen: « Que préférez-vous : devenir un calpitrin ou une stéréocalide ? » Je pense que je n’aurais pas eu l’idée mais c’était bien vu !! Je propose donc que l’on renomme le chat de Schroddinger, le paradoxe du Calpitrin !
- [LS] Nikita:
J’aime bien le fait que ça ne soit pas par la parole que Nikita se soit défaite de son opposant. Certes elle a réussi à la faire arrêter la partie mais par un biais dérivé. Après si j’avais une petite remarque c’est que j’aurais préféré que l’autre option ne soit pas de mourir mais plutôt, comme cela a été fait plus loin des propositions plus subtiles (« ne jamais m’avoir rencontrée » par exemple).
Le petit moment métaphore: La hyène qui entame son chant. C’était très approprié à l’image que je me faisais de ce qui se déroulait et j’ai trouvé que le nom de hyène était parfaitement adapté au personnage décrit.
- [OT] Ithen:
Je pense être passé à côté de ce texte. Il y a des choses qui m’ont échappé pour en avoir une bonne compréhension. Le paragraphe sur la fontaine de vie et de mort, le commandement qui interdit de mourir ou le fait qu’il n’ait pas le droit de souffrir m’a parue flou. De la même manière j’ai eu du mal à comprendre pourquoi Baba Yaga avait décidé d’arrêter le jeu de façon brusque. Pour le coup je ne sais pas trop quoi dire sur ce texte car je pense sincèrement avoir besoin de quelques explications pour l’appréhender plus correctement. Si tu peux m’aider en m’en faisant ta propre analyse j’en serai ravi car j’ai envie de savourer ce texte comme les autres.
- BàT [Es] Kaoren:
Dans la boîte à texte, j’ai décidé de m’attarder sur l’épreuve de Kaoren que j’ai adorée ! Un personne qui montre à Baba Yaga la stupidité de son jeu et cela me plaît : dès la question 1 il est possible de gagner sans élaborer un plan particulier si l’on réfléchit un peu et qu’aucune règle supplémentaire n’est imposée. J’aime l’humour que tu utilises et le déséquilibre entre les deux personnages. Chaque désillusion m’a amusé et cette Baba Yaga un peu puérile était très drôle. Je n’ai pas grand-chose de plus à dire si ce n’est que ton texte m’a beaucoup amusé et que tu maîtrise parfaitement la langue (mais bon mes compliments tu commences à les connaître).
Le petit moment « J’ai ri mais en fait c’est pas con ! »: Le passage sur le choix de l’erreur ! Et bien pas plus tard que ce midi j’en parlais avec quelqu’un ! Et que cette personne préférait elle ne pas que l’on trouve d’erreur dans son travail car elle estimait avoir assez travaillé comme cela et qu’elle ne souhaitait pas que quelqu’un remette cela en question. Bref : j’ai adoré la blague avec « Es-tu bien sûre de ce choix que te dicte ton instinct qui pourrait s’avérer trompeur ? » mais j’ai aussi trouvé que la réflexion derrière qu’apporte Penrose est intéressante !
- BàT [Es] Triaire:
Un personnage qui n’a rien à perdre face au choix, c’était une présentation osée mais qui fonctionne ! Je n’ai pas particulièrement de commentaires à faire en réalité car je trouve que c’est surtout dans l’idée de base que réside le grand intérêt du texte. Pour moi le pari est réussi car à chaque « dilemme », le Triaire trouve une réponse froide et logique.
Le petit moment « Ah bah comme quoi ! Ah mais en fait non ?! » : Il choisit son amour mais pour une raison qui n’est pas celle du cœur mais celle d’une logique froide. Logique : il a perdu son humanité. C’est froid mais très cohérent. Il veut se battre, il choisit la solution qui l’aide à se battre : il ne connaît pas la peur grâce à son choix. Pour moi c’est un joli petit twist car quand il choisit l’amour je m’étais dit que Baba Yaga avait enfin réussi à lui trouver un vrai dilemme, mais en fait non !
- BàT [NRP] Silivren:
C’est si joli ! Je suis sincèrement attendri par l’histoire que tu nous as raconté. Cette enfant est beaucoup trop mimi ! J’avais adoré te voir parlé de Baba Yaga lors d’une édition précédente (il me semble que c’était toi du moins). Ici j’ai l’impression d’avoir vraiment lu une aventure à taille d’enfant et ce petit rêve d’avenir était très émouvant !
Le petit moment de contemplation : ce rêve pour moi c’est un message si mignon. Une récompense pour une courageuse petite fille qui méritait bien un peu d’espoir. Et le premier qui tente de la tuer aura mon pied dans la bouche ! PAS TOUCHE A ANOUSHKA !
Pfiou ! Il y en avait des chose à dire ! J’ai adoré cette épreuve 3 !! La consigne était ma préférée et les productions sont quand même encore bien au-delà de mes attentes ! Les votes vont être très difficiles pour moi car entre le talents pour l’écriture, les différents styles et les grandes idées de chacun, même si le nombre de texte est plus petit qu’aux autres éditions, la barre est vraiment placée haute ! Vous avez roxxé du poney et je tiens à féliciter chacun des participants pour avoir réussi ce challenge en moins de 24h ! Des bisouilles ! J'vais essayer de continuer pour les autres épreuves mais l'air de rien ça prend un petit peu de temps ^^ Sona de VB ! |
| Jeu 19 Mar - 21:42 Holà, fervents admirateurs de la prose d’autrui – et, pour certains, de mon admiration de la prose d’autrui – si vous êtes descendus dans cet unique sujet de l’interflood que ça fait un an que je soutiens qu’il mériterait presque une section à part entière, c’est pour lire des commentaires ! Plein de commentaires ! Et plus ils sont gros, plus vous aimez ça ! Alors comme d’habitude, je vais faire gros !
Pour ceux qui me connaissent, je ne me présente pas – c’est parfaitement logique – et pour ceux qui me connaissent pas, j’ai acquis une certaine réputation de faire des gros pavés de commentaires à chaque édition où j’ai le courage de le faire, à savoir une fois sur deux à la louche, et j’ai pris l’habitude d’orienter ceux-ci non pas sur des textes dans leur globalité, mais plutôt sur des passages ou des tournures que j’ai bien aimés. Les raisons sont multiples : déjà, c’est super dur de tourner proprement une critique négative, donc je préfère me concentrer sur des trucs sur lesquels je suis sûr de pouvoir dire du bien – oui, je suis un peu lâche sur ce point – ensuite parce que ça m’assure de jamais vraiment faire doublon avec d’autres commentaires qui pourraient avoir un avis similaire au mien sur certains textes, et enfin, et c’est la raison la plus importante, parce que j’ai tendance à m’égarer à une vitesse folle quand il s’agit de parler d’un texte entier et je suis beaucoup plus à l’aise pour décortiquer quelque chose d’un peu restreint. Me demandez jamais mon avis sur le Seigneur des Anneaux, en somme. D’autant que je les ai pas lus.
Hélas, me demanderez-vous, comment m’assurer de rendre justice à tous les textes si certains sont très bons dans leur globalité mais n’ont aucun passage exceptionnel que je puisse prendre à part ? Eh bien, je sais pas trop, à vrai dire. Vous allez régulièrement me voir diverger totalement de la phrase que j’aurai prise pour parler du reste du texte, mais il y a des fois ou tant pis, je vais juste laisser les commentaires des autres se charger de faire des jolis compliments à ma place. En somme, comprenez bien que ce n’est pas parce que je n’ai pas trouvé de phrase à mettre ici que j’ai pas aimé le texte – en l’occurrence, le meilleur exemple est celui de Silivren, qui n’est pas dans mon commentaire, mais que j’ai mis dans mon podium à côté – et inversement, pour la partie plus négative, ce n’est pas parce que j’ai décelé une jolie tournure que l’entièreté du texte m’a parlé.
D’ailleurs, j’en profite pour ajouter que des tournures peuvent obtenir ma faveur pour des raisons comprises de moi seul, entendre par là que j’ai tendance à tomber dans l’interprétation. Et parfois, à mon grand dam, dans la surinterprétation. Vous êtes prévenus.
Donc, pour l’occasion, j’ai décidé de commencer par l’épreuve 4, parce que c’est la mienne et que j’avais déjà commencé à la lire, et… c’est déjà deux bonnes raisons. Il va sans dire que mes commentaires sont garantis AVEC SPOILERS, et que je vous encourage donc à lire l’épreuve au préalable. Et que même si c’est pas pour lire mon commentaire, je vous y encourage quand même, parce qu’il y avait quand même des belles choses, et aucun texte vraiment en-dessous.
Et sur ce : Enjoy Saint-Denis !
« Deux fauteuils jadis resplendissants se faisaient face. » - Quon (OT) Quoi de mieux pour entamer ce commentaire exagérément littéraire qu’une bonne figure de style qu’on a tous apprise et oubliée pour certains ? Nous avons là affaire à une très belle métonymie, qui permet d’introduire la situation du texte d’une façon à la fois très concise et très complète. L’idée, c’est qu’on désigne les deux protagonistes – Quon et Kibriel – par leurs fauteuils se faisant face. D’une part, on a immédiatement une image assez nette de la situation présente, avec les deux personnages qu’on devine donc assis face à face – même si ça fait un brin répétition avec la phrase précédente qui aurait pu être tournée autrement en conséquence – mais aussi de la situation passée, car avec cette assimilation entre les fauteuils et les personnages, le qualificatif "jadis resplendissants" prend naturellement un sens plus subtil. Si on visualisait déjà le fait que ces rencontres entre les deux protagonistes, ou d’autres au même endroit, ont dû être fréquentes en raison de l’usure que l’on devine sur les fauteuils, le tout donnant déjà un certain caractère au lieu dans lequel se trouve le personnage qui devient un centre où des affaires ont l’habitude d’être conclues, la lecture de ce passage me donne également le sentiment que l’aspect jadis resplendissant s’applique également aux personnages, et en fait à l’ambiance globale qui pèse entre eux. Cela ne signifie pas nécessairement que les deux se connaissaient avant, mais il y a tout de suite un caractère plus terne à leur rencontre, comme si l’un, l’autre ou les deux étaient devenus de plus en plus sévères ou sérieux en la matière. Il faut attendre la suite du texte pour comprendre ce qu’il en est vraiment, mais dès la lecture de cette phrase – qui arrive très tôt, à l’entrée du deuxième paragraphe – on peut deviner un énorme morceau des sentiments aversifs qui stigmatiseront le dialogue entre les deux personnages. On peut même pousser l’interprétation jusqu’à imaginer que cette aversion vient de l’usure, comme le caractère terne des fauteuils. Mais bon, à partir du moment où je pars dans l’interprétation, comme mentionné dans l’introduction, vous êtes libres de me suivre ou de me lâcher.
« Tant qu’ils parlaient, tant qu’ils l’écoutaient, c’étaient de précieux instants de vie qui s’accumulaient. » - Meylan (CI) En général, quand on veut donner une belle chute à son texte, on essaie de l’annoncer pour qu’elle semble pas tombée de nulle part, mais toujours de façon assez obscure pour éviter que le lecteur la devine complètement avant qu’elle tombe. C’est un exercice d’équilibre vraiment compliqué, auquel je ne me risque moi-même que très rarement – c’est pour ça qu’il se passe jamais rien dans mes textes – mais du coup, quand je vois quelqu’un s’y essayer et pondre une phrase comme celle-ci de Meylan, je tire mon chapeau. Lorsque cette phrase arrive, on la lit comme un nouveau trait de caractère du personnage de Meylan, qui serait une sorte d’attachement à la vie, au point de profiter de ses derniers instants malgré le fait qu’ils n’aient rien d’agréable. C’est un sentiment qui peut sembler curieux de prime abord, mais Meylan est déjà une curiosité dans sa personnalité mystique, lyrique et oserais-je dire fantaisiste. Là, je ne sais pas si je suis aidé par le fait que c’est un personnage que je connais déjà bien à force de le voir apparaître dans d’autres éditions de l’interforum, et qui fait que cette phrase me semble assez naturelle pour ne pas vraiment m’éveiller le doute sur sa véritable signification, mais j’imagine que la seule lecture du comportement qu’elle adopte pendant tout le début du texte – totalement paniquée et inquiète pour sa vie, normal – suffit à voir dans cette phrase l’ancre d’un nouveau morceau plus profond de sa personnalité. Et du coup, c’est un passage relativement marquant, puisqu’on apprend quelque chose de significatif sur le personnage qu’on suit, ce qui fait qu’on peut garder cette phrase ou son idée en tête jusqu’à la chute. Quand vient cette dernière, on découvre que Meylan n’était en fait pas une simple victime, elle avait un tour bien cruel dans sa manche, et elle vient de le mettre à exécution. On comprend alors que les précieuses secondes de vie dont elle avait besoin étaient celles nécessaires à sa prière, et que la phrase qu’on avait lue avant faisait parfaitement sens sans signifier ce que l’on croyait – comme dans une bonne chute, quoi. Mais le véritable tour de force, selon moi, réside dans le contraste entre la première impression et la réalité. Si on pouvait voir Meylan comme une personne attachant de l’importance à la vie, d’après la formulation de la phrase telle qu’on l’avait lue, cette information est démentie au même instant où elle prouve exactement le contraire en faisant tuer de sang froid tous ses agresseurs, et faire coïncider ces deux points provoque une chute deux fois plus grande. Et l’impact y est, Meylan devient terrifiante à souhait, la "transformation" marche vraiment bien.
« Je viens de vous dire que je ne voulais pas !! » - Sofia (UTM) Celle-ci, je sais absolument pas si c’est un hasard de l’avoir mise là où elle est. Mais au pire, j’en profite pour parler du reste du texte qui est bien aussi. Ici, on a un tribunal intérieur comme parabole du dilemme personnel – Eschyle appelait ça l’Aréopage, Kant le Innere Gerichtshof, moi je choisis le "Dilemmier" – où se pose la question de si Sofia est bel et bien responsable de la mort de son aimé. Et pour le coup, dans la plaidoirie délatrice du juge, j’aime beaucoup l’idée qu’il pose la question "Reconnaissez-vous les faits ?", parce que dans l’esprit de Sofia, au premier stade du jugement, il n’est pas vraiment question de savoir si ce qu’elle a fait est légitime ou non, de s’inventer des arguments et des circonstances atténuantes, ou quoi que ce soit. Le premier acte est de seulement accepter qu’elle ait pu commettre l’acte, quelque chose qui est déjà mortellement difficile à encaisser pour elle. Et de fait, c’est malin d’avoir glissé sur cette phrase très canonique des juges de première instance, mais ça ne s’arrête pas là – attention, on entre dans la partie interprétation. Juste derrière, après une seconde occurrence de la question "Vous reconnaissez donc les faits ?", Sofia répond ça, "Je viens de vous dire que je ne voulais pas !!". Et là, si on avait lu ça la première fois comme une supplication dans laquelle elle jurait n’avoir pas voulu de la mort de son fiancé, la deuxième fois peut prendre un tout autre sens grâce à l’ambiguïté entre les différentes fonctions possibles de l’imparfait. On peut encore une fois lire qu’elle ne voulait pas tuer son fiancé, mais tournée comme l’est la phrase, on peut aussi se dire que c’est une réponse plus directe à la question du juge dans laquelle elle affirme ne pas vouloir reconnaître les faits. Ou plus exactement… on lit un peu les deux. Et selon moi, ça apporte beaucoup – parce que normalement, un double-sens, ça me fait à peine sourire – parce que les deux idées semblent comme assimilées l’une à l’autre dans la confusion de Sofia. Et de fait, à ce stade, en lançant une réponse on ne peut plus cohérente, elle semble en marge de perdre la raison. Je pense que, plus encore que les deux points d’exclamation, c’est la raison qui m’a fait ressentir son cri jusqu’au fond de mes tripes à la lecture.
« Si vous avez un problème avec le fait que je sois une aristocrate de grande noblesse que ce soit de naissance ou par mariage, je vous prie de bien vouloir vous plaindre à Dieu et non à vos “Lénine” et “Staline” qui clairement, ne semblent avoir rien fait pour vous, vu l’état de cet endroit. » - Savina (LS) C’est pas souvent, que je sors la Sérénissime dans mes commentaires, parce que le plus souvent, c’est juste drôle et on comprend facilement pourquoi. Et en soi, ce texte était bien parti pour atterrir dans la même veine, à décrire une aristocrate méprisante qui s’indigne des doléances des pauvres et de leur sale éducation, avec possiblement une touche de préciosité pour placer un peu de contraste entre ce qu’elle dit et ce qu’elle fait finalement – le genre de personnage dont on peut facilement se moquer, en somme. Mais là, j’avoue que j’ai été plutôt scotché par cette réplique. En fait, elle est à la fois en dehors des réalités, à la fois cruellement juste. Si, c’est possible. D’un côté, l’autrice ne trahit absolument pas son personnage : Savina demeure hautaine, fière simplement d’avoir une meilleure condition, acerbe à souhait dans sa tirade, et méprisante au point de sortir un argument à base de "allez vous plaindre à" qu’on peut naturellement traduire dans son cas par "je peux rien pour vous et j’en ai pas grand-chose à faire". Mais de l’autre côté… j’avoue que Savina me devient assez sympathique. Elle remet sa condition à Dieu, suggérant d’ailleurs que c’est lui qui est meilleur que Lénine ou Staline plutôt que de dire que c’est elle qui vaut mieux que les pouilleux, et elle fait preuve d’une clairvoyance assez remarquable en effectuant la comparaison. Elle n’a pas besoin de savoir qui sont Lénine et Staline – et en fait, elle ne le sait pas – pour leur retourner un soufflet admirable : ils sont pas si différents de Dieu quand on les regarde d’en bas, ils viennent en aide seulement à ceux qui ont eu la chance de recevoir leur bénédiction par quelque concours de circonstances, et tant pis si les autres crèvent au-dessous. Et le pire, c’est que l’argument est même pas vraiment imparable, on pourrait – dieu merci – trouver des choses à redire. Mais il est clairement frappant. Et ça cumulé au reste, ça fait que je me mets à apprécier quelque peu une belle enflure pour le reste du texte parce qu’elle a joliment joué du pouvoir des mots.
« Si les mots avaient des ailes, ils ne perleraient pas sur les joues de l’ivoirienne. » - Afya (TE) Dès que j’ai lu cette phrase, j’ai su que ce serait d’elle que je parlerais. Et pourtant c’était la première. Et dieu sait s’il y en a eu un tas d’autres derrière pour me faire douter de mon choix. À vrai dire, j’aurais pu faire un commentaire de la même taille rien qu’avec des phrases d’Afya. Donc, comme je vais pas réussir à vous le cacher longtemps, je le dis d’emblée : ce texte, c’était mon gros coup de cœur de l’épreuve. Et je me demande si je préfère finir premier ou voir ce texte me prendre la place. Ça te dit pas, un petit ex-aequo ? Ici, un peu comme chez Quon, on a une petite perle de concision dans l’introduction du texte, avec une première phrase – un incipit, comme j’espère que vous savez que ça s’appelle depuis mes commentaires sur Just Married – qui plonge dans l’ambiance du texte en redéfinissant un morceau entier de son contexte. Le sens de la métaphore n’a pas besoin d’être immédiatement compréhensible, même s’il se paie le luxe de l’être – on dit que les mots libèrent, mais en vrai, ils pèsent – pour que l’idée soit transmise à travers les connotations : on commence un caractère léger, avec la mention des ailes, et ça s’effondre sur quelque chose de beaucoup plus lourd avec les larmes sur les joues. Mais si ce n’était qu’une métaphore parmi tant d’autres – parce que pour le coup, il y en a tant d’autres dans ce texte – je m’arrêterais pas pour en causer si longuement. La tournure de la phrase, au-delà de simplement nous faire part de l’idée derrière cette image présentée sur un ton qui laisse entendre l’opinion hostile d’Afya à son sujet, nous fait également et insidieusement comprendre la façon dont le tout s’est développé chez celle-ci. On devine qu’elle l’a vécu comme une désillusion, qu’on lui avait dit quelque chose dans le genre des mots ailés, qu’elle a essayé de le vérifier par elle-même – intentionnellement ou non – et qu’elle a découvert combien ça pouvait être faux, et que maintenant elle pleure. En une quinzaine de mots qui d’aucun point ne se séparent, c’est tout le développement introspectif qui l’a menée à ce point dans ses pensées, qui nous est relaté. On n’a pas encore eu besoin de nous raconter ce qu’il s’est exactement passé pour qu’on comprenne très précisément dans quel état d’esprit se trouve la pauvre Afya. Je sais pas si j’arrive à rendre justice à combien je trouve cette phrase à la fois assez belle et remarquablement efficace, donc dans le doute, je vais en commenter une autre, mais je suis le plus sérieux du monde en affirmant qu’elle m’aurait sans doute poussé à écrire ce commentaire si j’en avais pas trouvé le courage.
« Je n’ai pas le temps de continuer ma phrase. Je bondis, attrape une poutre à bout de bras et me hisse avec force grognements. » - Winter (MAD) La première fois que j’ai découvert Winter, à l’édition d’Esquisse me semble-t-il, j’étais sorti de son texte avec l’idée que c’était vraiment sympa, mais hélas grandement bridé par la limite de mots. Et cette fois-ci n’y a pas coupé. Son personnage a vraiment quelque chose d’unique dans son comportement, il y a toujours ce petit revirement inattendu qui se glisse au milieu de la narration, et qui me pousse à vouloir comprendre le personnage plus en profondeur. Dans ce texte, on pourrait citer la façon dont elle se sort de son guêpier, avec une audace qu’on pourrait prendre pour de l’inconscience totale quand elle propose au Sire de Chatellus de lui donner les plans de Quartas. Et dans les faits, ça ressemble même pas à de la moquerie ou quoi que ce soit. C’est juste pas la phrase que tu aurais attendue d’elle, et c’est vraiment le genre de choses qui la rend difficile à cerner et qui me fait adorer essayer de le faire. Bon, du coup, tant que je cause de ça, petite parenthèse avant de re-transitionner sur la citation – si, si, c’est bien d’elle que j’ai prévu de parler – j’aime beaucoup la façon dont Winter a saisi le sujet et l’idée du pouvoir des mots. Sa petite voleuse est censée se tirer de sa situation en usant de mots, on lui demande des faits, mais il s’avère qu’elle s’en sort plutôt avec des connotations, en détournant son discours pour attendrir – ou endurcir, selon comment on le prend – le cœur de De Chatellus, et le persuader plutôt que le convaincre. Je trouve que c’est vraiment une belle manière de montrer le pouvoir des mots, puisque c’est bel et bien d’eux qu’il est question plus que de la vérité qui se cache dessous. Mais l’émotion est un peu coupée par la limite de mots à la fin, une nouvelle fois. S’il y avait eu la place, ç’aurait sans doute rendu le tout encore plus prenant de voir le discours se prolonger pour finir d’immerger dedans et développer plus longtemps la réaction du Sire de Chatellus. Voilà, fin de la parenthèse. Donc, disais-je, le caractère unique de Winter et la narration à base de tournures assez surprenantes. Eh bien la citation que j’ai sélectionnée me plaît beaucoup dans ce genre. Je pense que n’importe qui aurait écrit quelque chose avec l’action d’entendre un bruit, d’entrevoir une silhouette ou de ressentir une présence, suivie de l’action de se réfugier. Chez Winter, ce n’est pas le cas. On vient de sortir du "Et si… ?" prononcé par le personnage, et on nous dit qu’elle n’a pas le temps de terminer sa phrase et qu’elle bondit sur une poutre, et seulement après, on nous évoque l’arrivée du danger. Du coup, la chose s’apparente beaucoup plus à un réflexe, comme si elle agissait avant que la narration nous ait relaté ses raisons d’agir. D’ailleurs, vu qu’on est dans la continuité de son "Et si.. ?" qui était l’émergence d’une supposition quant à la cachette de ce qu’elle recherche, on peut même initialement penser qu’elle bondit vers l’endroit auquel elle vient de songer, l’empressement ou une sorte d’instinct l’ayant prise avant qu’elle termine sa phrase. Et on ne comprend vraiment qu’elle est montée se réfugier qu’après coup, après avoir eu le temps de demander quelle mouche pouvait bien l’avoir piquée. C’est comme un chat qu’on verrait bondir en réaction à un bruit que lui seul a entendu, si vous voyez l’idée. Et inscrit comme ça dans le rythme du texte, ça fait super bien marcher la scène visuellement, tout en ajoutant au caractère de Winter cette petite touche d’instinct qui justifie ses décisions presque systématiquement inattendues. Vous voyez, c’était important, comme citation.
« Je marquais une pause, observant et jaugeant l’assistance qui se présentait à moi. » - Yoligan (RR) J’ai pas forcément accroché au texte de Yoligan, mais il m’a prouvé que d’autres s’en chargeraient à ma place. L’écriture n’est certes pas aussi piquante, lyrique ou profondément symbolique que ce que d’autres participations que j’ai pu lire, parce que ce n’est manifestement pas l’idée, mais elle est maîtrisée avec une justesse remarquable. C’est vraiment le genre de cas où je trouverais pas de critique plus constructive que "c’est pas mon style" tout en reconnaissant combien savamment c’est écrit. Tout est à sa place, la situation est bien posée, la tirade vraiment bien ficelée, la chute parfaitement amenée… j’ai rien de plus à redire, donc allons-y pour une petite illustration. La phrase que j’ai choisie est surtout là pour mentionner la construction des premiers paragraphes du texte, et la façon dont ils nous introduisent dans le sujet. Dans le premier, on commence par nous évoquer le peuple solarkien – et par extension le monde de Solarii – puis une ville et des hauts-parleurs qui hurlent le début du discours du deuxième paragraphe. Dans le troisième, on zoome vers les fenêtres, puis directement vers l’intérieur des enceintes radio, desquelles sort la suite du discours dans le quatrième paragraphe. Et, seulement au cinquième, apparaît pour la première fois la première personne, on arrive sur le personnage. Visuellement, c’est impeccable – imaginez ça dans un film et vous comprendrez pourquoi après avoir réalisé combien ça vous semble naturel – et très adapté à une histoire se déroulant dans un univers qu’on ne connaît absolument pas : on a un balayage rapide de ce à quoi ressemble l’univers dans sa globalité, puis on recentre petit à petit l’action sur le personnage en décrivant au passage les différentes strates de la situation à travers les différentes échelles de taille de l’image, grâce aux discours venant ponctuer ces descriptions, et s’y fondant parfaitement qu’ils semblent faire partie du décor sonore. Et il y a ce "Je" retardé. En lisant le paragraphe, je me demandais si l’auteur allait prendre le parti de garder le personnage hors-champ tout le long – ce que j’aurais trouvé intéressant aussi, et assez audacieux, ces deux adjectifs allant souvent de pair – mais en arrivant enfin sur l’introduction du personnage, ça m’a réservé plusieurs bonnes surprises. Déjà, le fait qu’il arrive tout à la fin du zoom progressif semble le placer au-dessous de tout, ce qui sied assez bien à sa posture soumise – dont il se défera au fur et à mesure de sa tirade – mais néanmoins assez influente pour s’adresser au monde entier à travers les hauts-parleurs qui retransmettent sa voix. Ensuite, le personnage apparaît juste après son "exorde", si je puis dire, entendre par là toute la partie où il ne parle pas de lui-même mais du monde qui l’entoure – il ne commencera à parler de lui-même que dans le paragraphe qui suit directement, quand je vous disais que c’était bien ficelé. Là encore, on a un contraste entre le personnage et le reste du monde, qui chacun sont sujets à une part du discours, et c’est vraiment intéressant de le présenter comme ça pour mener sur la fin du texte , après que Yoligan ait développé dans sa tirade que les deux sujets sont en fait liés dans le même combat, et que le condamner pour ce qu’il a fait est accepter de condamner son monde – quand je vous disais que c’était VRAIMENT bien ficelé. Et enfin, un point peut-être un peu plus mineur mais qui me plaît bien, c’est le fait que la première personne apparaisse pour la première fois avec une phrase commençant par "Je marquais une pause". C’est comme si on avait le caractère humain qui venait de rattraper le personnage, qui était pendant les paragraphes précédents plus proche d’une image, et ça ajoute une énième dichotomie entre l’être et le symbole, qui rend le tout plus naturel à lire, ça lui évite d’avoir l’air d’un surhomme. Voilà, je pensais pas en causer tant que ça, de celle-ci, mais j’ai vraiment saisi certains des points que j’ai évoqués au fur et à mesure que je les ai écrits. Je pense qu’il me faudrait encore deux ou trois relectures pour déceler toutes les subtilités du texte, il est vraiment de ceux qui sont d’une précision si chirurgicale que tu sais plus pourquoi tu ressens ce que tu ressens au bout d’un moment tant les bonnes idées forment une toile unie et indiscernable.
« Je n’avais même pas eu le courage de les appeler comme ça en face, putain. » - Neil (KHS) Là encore, une phrase pour illustrer l’ambiance globale du texte, parce que j’ai trouvé le parti pris intéressant : celui d’assumer son univers jusqu’au bout. Kobe High School, comme son nom l’indique, c’est un forum RP dans une High School – nommée Kobe – et les intrigues qui s’y déroulent sont souvent des histoires très personnelles de personnages comme vous et moi. Des qui n’ont pas du tout leur place dans l’univers de Metro. Et face à cela, il y aurait pu y avoir deux façons évidentes de garder une certaine harmonie : adapter les personnages de Kobe à l’univers de Metro, ou adapter l’univers de Metro aux personnages de Kobe. Mais Neil ne fait ni l’un, ni l’autre, pour nous donner à la place un texte dépourvu de cette harmonie, et lui préférer quelque chose de plus réaliste, de plus naturel, et tristement de plus tragique. On n’enlève pas les petites histoires entre lycéens ; elles ont toujours de l’importance aux yeux des personnages, simplement noyées dans quelque chose qui les dépasse. Et cette phrase que j’ai sélectionnée illustre pas mal cette idée-là : le personnage de Neil, aux portes de l’enfer, qui s’offre à ce qui sera la dernière des introspections qui ponctuaient certainement son quotidien de jadis. Quelque chose qui n’a l’acabit que d’une connerie d’ado’, ne pas trouver le courage de dire à ses amis qu’ils sont ses amis, et qui vient le hanter là où ça devrait être le cadet de ses soucis. J’ai déjà l’impression de me répéter un brin, parce que je ne sais pas quoi souligner d’autre que le fait que ça offre au texte une ambiance assez unique, qui accentue bien le fait que les personnages sont à des lieues de leur monde, et qu’ils n’ont pas vraiment leur place dans celui-ci. Et je pourrais tirer des arguments similaires de littéralement n’importe quel morceau de conversation entre Neil et ses amis, ou même de ses introspections, parce que c’est le texte entier qui respire cette ambiance, et s’avère une véritable réussite dans cette dimension.
« Je ne sais pas ce que je préfère : les entendre ou craindre leurs prochaines paroles ? » - Sona (VB) Pour l’occasion, à défaut de pouvoir utiliser le pouvoir des mots avec son personnage – qui n’a pas d’excuse pour s’être lancé dans cette épreuve, parce qu’on connaissait l’intitulé et que lancer une muette dans un sujet pareil, c’est osé – Sona nous décrit une fresque très amphigourique se peignant autour de celle-ci. Pendant tout le début du texte, il est difficile, sinon impossible, de déterminer ce qu’il est en train de lui arriver. Est-elle bel et bien confrontée aux Invocateurs comme elle semble le penser, est-elle seulement prisonnière d’un lot de ruffians du métro moscovite comme le suggérerait l’idée qu’on s’est faite de l’épreuve à travers la plupart des autres participations, ou est-elle carrément en train de délirer comme le grand trouble dans sa narration pourrait l’indiquer ? Même la conversation semble se faire dans sa tête, elle ne sait plus si on lui parle ou si on s’est glissé dans son esprit, et elle-même ne peut pas parler autrement qu’en pensant. Si on continue à progresser dans le texte, l’hypothèse des invocateurs semble se vérifier, mais celle du délire mental n’est jamais vraiment à exclure, notamment parce que Sona finit par ne jamais répondre – à part "SILENCE", qui met d’ailleurs fin à la narration, ce que je trouve vraiment bien pensé puisque ce à quoi elle demande de faire silence est ce qui se trame dans ses songes, et donc la narration, vu qu’elle est à la première personne. Mais il y a aussi la phrase que j’ai sélectionnée qui me conforte dans cette idée d’une façon assez élégante. "Je ne sais pas ce que je préfère : les entendre ou craindre leurs prochaines paroles ?", un dilemme lancé à un moment où on n’est déjà plus certain que c’en soit vraiment un, simplement parce qu’il se pourrait que les deux alternatives soient en fait la même. Si, effectivement, ce ne sont que des voix dans sa tête engendrées par quelques délires, il est probable que les paroles qu’elle entend sont celles qu’elle craint et concrétise dans ses songes par conséquent. En plus d’accentuer le caractère onirique, ou plutôt cauchemardesque en l’occurrence, ça donne vraiment l’impression que Sona tourne juste en rond. Au-delà de la tourmente qu’on nous décrit, c’est une tourmente qu’on nous fait ressentir à travers ce dilemme qui pourrait s’avérer insoluble, voire totalement insensé. Et ça marche.
Et voilà ! J’espère que ce premier jet de cinq mille mots vous a plu – pas tout à fait cinq mille, mais quand j’aurai fini la conclusion, ce sera probablement le cas – et que ça vous incitera à lire les suivants et à me vouer un culte comme tant d’autres l’auront fait avant vous, parce que je commence à manquer de fidèles pour me servir mon thé à la noix de muscade. Si ça vous a pas plu, rassurez-vous, il se pourrait que je n’arrive pas à commenter les six épreuves d’ici la fin des deux semaines – parce que le télétravail, on dirait pas, mais c’est quand même éprouvant – et si c’est simplement parce que vous en avez marre de me voir lancer des trucs entre parenthèses à tout bout de champ – ou devrais-je dire entre tirets – alors je suis au regret de vous annoncer que j’ai pas prévu de changer ça, ‘faut pas tiret sur la corde non plus.
Allez, à bientôt pour une prochaine épreuve que je prendrai le temps de choisir sagement d’ici-là ! |
| Lun 23 Mar - 20:54 Je vais partager un avis qui n’engage que moi et donner des petits compliments ou des remarques aux autres. Je suis plus douée pour détailler ce que je n’aime pas que d’expliquer ce que j’aime. Un « j’aime » signifie parfois plus que trois lignes décrivant ce qui ne marche pas. Je ne suis pas la lectrice-β de l’année. Épreuve 1 : Dernier souffle - [Ilukaan + SNK]:
Je pense que votre rp aurait gagné à se dérouler dans de vos deux univers. Cela vous a peut-être limité d’ailleurs. Je me suis demandé d’ailleurs pourquoi Pidge s’inquiétait d’avoir un masque défectueux alors qu’elle devait avoir le niveau pour le réparer à coup de baguette magique par exemple. Garrett aurait paniqué et elle aurait ainsi apporté la solution. L’échange a été, je trouve, acceptable mais rien ne l’a particulièrement démarqué des autres à mes yeux. Le geste de s’échanger le masque était mignon et les obstacles sur le chemin de bonnes idées.
- [Esquisse + Metro]:
C’était très amusant de lire vos deux persos menacer de collaborer puis aussitôt engager un dialogue de sourds et un combat de chiffonnés qui finit mal. Vous n’avez pas manqué d’exposer les motivations de chaque personnage dans les messages, aucun débat pour négocier sa survie, la situation n’en était que plus tragique.
- [La Sérénissime + Valoran’s Battlefront]:
J’ai été quelque peu perturbée par le niveau de langage du comte Salluste.^^’ J’ai toutefois trouvé la petite parodie de verset religieuse très amusante. Le duo était très intéressant car le masque n’était à aucun moment l’enjeu du rp. Tresh a magnifiquement transposé son personnage dans l’univers de Metro (dommage que ça n’ait pas pu être les égouts de Venise).
- [Kobe High School + Madelle]:
La peur de Marissa pour sa dragonne ajoutait un peu d’enjeu (c’est toujours mieux quand on a des proches dans la balance – de même pour Mitsuki). J’ai trouvé l’échange mignon entre ces deux personnes solidaires.
- [Chroniques d’Irydaë + Terrae]:
Le premier texte d’adaryon a tout de suite mis dans l’ambiance. J’ai trouvé le geste de Pricie qui refuse le masque si piteusement offert drôle. C’était chouette de voir une utilisation du pouvoir de Pricie. Le décalage entre l’adolescente trop mature pour son âge et le jeune adulte qui panique était drôle aussi (j’avais de la peine pour Pricie) – je sentais aussi la tension. Par contre, la mise en couleur des textes m’a un peu perdu entre les paroles du perso et celles de l’autre qui sont répétées. Et surtout, vous avez complètement omis le masque, je crois qu’il n’est même pas mentionné. « Je… Je n’ai m...même pas appris t-ton nom, mais tu es… Tu es aussi forte que les d-dragons majestueux de m-mon monde, jeune guerrière. Merci pour tout. » C’est mignon.
- [Under The Moon + Ostium Tenebris]:
Mettre un perso maniaque dans la poussière est toujours comique.^^ « Sa chemise, pleine de sueur !? Mais avait-il perdu la tête !? » Les ressemblances entre les deux rps a dû aider, la Nouvelle-Orléans et des vampires dans les deux. Quand on sait que les femmes sont rares dans son univers, le geste de fin d’Aidan n’en est que plus compréhensif, ainsi que son désir de lutter contre son appétit. C’était un chouette échange, avec rebondissements.
- [Damned Town + NanoRP]:
Je n’ai pas pu voter pour celui-ci. Mais j’ai beaucoup aimé comment Tanis s’amusait avec la description de son somptueux corps. Le lien d’Alec pour son chien était touchant. C’est littéralement une épreuve pour savoir si Alec est digne. « Comment un cœur si sombre peut être aussi grand ? »
Épreuve 2 : Apokalipsis segodnja - [SNK + ES]:
Le ton sec de Crevette est délicieux à lire et j’ai pu compatir pour Erika qui se fait malmenée sans beaucoup de raisons mais se défendent un peu quand même. L’intégration de titans m’a également plu. C’était un plaisir d’imaginer l’équipe voler entre les immeubles. J’aurais aimé savoir si les phéromones viennent de l’univers de SNK ou de Métro.
- [Madelle + Ilukaan]:
Je suis triste que le Follet se fasse voler son combat par Nazrim qui a du même coup volé toute la vedette. La mission est troquée pour un combat contre un ours (donc aucune menace de radioactivité, juste un combat contre un ours que les personnages peuvent facilement fuir s’ils en avaient envie). Technique d’appâtement irréprochable.
- [Métro + Damned Town]:
Une bonne entrée en matière, les précisions pour comprendre le rp sont les bienvenues. La présence de Sombres est bien retranscrite. J’ai beaucoup aimé la plume de Mila (petites envolées lyriques pas trop dures à suivre). L’idée d’avoir une mission secrète en plus de la recherche du bois a décuplé ma curiosité.
- [Ostium Tenebris + Kobe High School]:
Je ne savais pas non plus que Métro avait un bestiaire. Le ton était un peu plus léger au début avant de virer au dramatique. J’ai eu envie de lire la fin alternative dans la boîte à textes du coup.
- [Valoran’s Battlefront + Under The Moon]:
Je n’ai pas été inquiète pour Alyssa, dû au fait qu’elle était vampire. Je ne suis pas fan des changements de polices et de tailles. Mais leur rencontre était sympa quand même.
- [Terrae + La Sérénissime]:
J’ai compati pour l’agacement de Mitsuki devant ce perso qui sort une blague de Gauvain sur les gros lapins. Par contre, la fin m’a complètement sorti de l’ambiance. J’ai peut-être loupé des indices mais j’ai trouvé ça très mal amené.
Épreuve 3 : le marché - Under the moon:
Le conte se lit vite et bien. Les règles du jeu sont claires, la conclusion est très sympathique. Je me demande juste si le bracelet à la perle a une signification particulière pour le personnage et l’enchaînement est un peu rapide au milieu mais sinon c’était simple et efficace.
- Valoran’s Battlefront:
La fin n’a pas manqué de me surprendre. C’est un jeu bien sadique qui monte crescendo. L’ambiance horrifique de la guerre et magique de Baba Yaga ressort bien. C’est un peu étrange que Swain n’ait pas utilisé la réponse de Baba Yaga « me donner ce que j’aime plus que ce jeu » pour obtenir ses pouvoirs.
- La nouvelle Avalon:
J’ai trouvé l’introduction trop longue, j’aurais préféré n’avoir que l’essentiel pour comprendre la situation. Il faut attendre neuf paragraphes avant de voir Baba Yaga et trois questions. Engel préfère sa vie sur Avalon sans que je sache si elle se ment à elle-même ou pas.
- SNK Rebirth:
Un peu de réparti mais le personnage n’était à mon avis pas le mieux pour cette épreuve psychologique-ci. Un peu de réparti mais le reste n’est que du combat…
- Kobe High School :
Curieux d’avoir mis ton personnage dans l’univers de Métro alors que rien ne l’obligeait et qu’il n’est exploité qu’au début. Je ne suis pas sure d’avoir compris la fin.
- Métro:
Alors comme ça, on oublie de présenter son personnage en quelques lignes ? x) Et j’ai l’impression d’être idiote parce que je ne suis pas sure d’avoir compris la fin. Est-ce que Inna est tuée ou est-ce que Nikita a tué l’enfant qu’il a eu de Nadya sans le savoir.
- Ilukaan:
C’était assez cocasse. Pauvre Ludwig. (oui, j’ai rien à ajouté x) )
- Irydaë:
Au niveau de la mise en forme, j’ai trouvé cette alternance de gras et de non-gras très perturbante et très facultative. J’ai dû relire une seconde fois pour comprendre à quel moment Baba Yaga fait face au jeune homme et mouais. Bien tenté mais ça n’a pas pris sur moi. :/
- Ostium Tenebris:
Ça m’a fait l’effet d’un petit conte morbide. Dommage que ce soit sans conséquence, il n’y a pas grand chose à développer avec un enfant aussi jeune.
- Terrae:
La tournure est inattendue et m’a plu, autant que le dynamisme d’Elisabeth. Refuser le jeu est parfois plus sage que de jouer. J’aime aussi la fin où Eli est réprimandé et que ce n’est pas la première fois qu’elle pète un plomb. Juste une remarque : « (m)ouais » prend un « s » (c’est comme ça).
- Esquisse:
« Si vous vouliez que les réponses soient cohérentes entre elles, il fallait le préciser au début. Je ne suis pas responsable de vos erreurs de préparation. » Héhé, malin ! C’est une bonne idée d’inventer des mots et de jouer avec le contexte d’Esquisse. La fin est aussi assez surprenante et amusante, dommage pour Al.
- La Sérénissime:
Les russes et l’alcool, une grande histoire d’amour… J’aime beaucoup le conte et l’état progressive de Baba Yaga.
- Nanorp:
J’ai beaucoup aimé. Connaissant bien le personnage, j’ai halluciné de le voir aussi « gentil » avec tout le monde. Le tour que lui joue Baba Yaga est vraiment amusant et joue bien sur ses ambitions de drachouette.
- Damned Town:
Encore une fois, j’aime quand le participant exploite les règles de son univers à l’épreuve. Heureusement que tu précises qu’il s’agit d’un travail d’introspection sinon je n’aurais pas compris pourquoi Baba Yaga s’en va sans qu’il y ait un vainqueur, tu as bien fait.
- Madelle:
C’était sympa, Juliette tend habilement son piège à Baba Yaga.
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Date d'inscription : 15/12/2017
PasseportAge :: 27 ans Patronyme :: YvanovaSurnom :: Seryoga | Mar 24 Mar - 12:02 Hello 07
Ici Nikita sous le déguisement d'une chauve tatouée. Déjà oui, je m'excuse de la présentation manquante, je l'ai carrément oublié tant j'étais en stress avec cette épreuve :'(
Pour la fin, "le père ou l'enfant" concerné Nikita. Il a vécu sans père et est absolument terrifié à l' idée de l'être et de faire les mêmes erreurs (donc se barrer car c'est un brave lâche !). La question de Baba Yaga, pourrait être reformulé comme ça "Tu veux être père ou rester un enfant ?" Dans le sens où Nadya a eut leur enfant (malgré tous les efforts de Nikita pour l'éviter) et avec cette question Baba Yaga propose de lui révéler où non. Mais elle oriente la conversation sur Piotr et Inna, sachant très bien qu'il choisira le père car il est inlove de Piotr à donf. Mais du coup, par cet habile manipulation, Baba Yaga fait choisir à Nikita le chemin de la paternité, de lui même.
VOILÀ, j'espère que ça éclaircit ta lanterne et encore une fois désolé pour la présentation manquante :'( |
| Mar 24 Mar - 13:11 La fin est mignonne en fait ! C'est dommage qu'elle m'ait échappé. Merci pour ta réponse.
Pas de souci pour la présentation manquante, j'ai pas eu trop de mal à comprendre que Nikita aimait beaucoup invoquer Baba Yaga à tord et à travers, qu'il était en couple, etc. mais ça m'aide à retenir le personnage pour la lecture. Je crois avoir déjà lu ta présentation à l'ancien interfo ou sur une autre épreuve maintenant que j'y pense... |
| Mar 24 Mar - 16:14 Au vu de l’affluence de commentaires dédiés à l’épreuve 1 de ces derniers jours, on pourrait être tenté de penser que j’allais en choisir une autre, pour coiffer tout le monde sur le poteau, lancer mon avis le premier et surfer sur la tendance avant même qu’elle devienne une tendance. Mais la vérité, c’est que voir tant de commentaires que je ne pouvais pas lire de peur de me faire spoiler, ça m’a poussé à m’intéresser à cette épreuve. Donc aujourd’hui, je me range avec le peuple et je soutiens les valeurs de la démocratie – bien que l’administration de forum RP en soit rarement un bon exemple. Si vous voulez mon avis sur le ressenti global de cette épreuve – et si vous lisez ce commentaire, je vois pas vraiment ce que vous pourriez vouloir d’autre – c’est resté plutôt en demi-teinte, il y avait un tas de bonnes idées qui m’ont laissé le sentiment qu’elles auraient pu être mieux exploitées. Après, plus les éditions de l’interforum défilent, plus je réalise que j’ai toujours un peu ce sentiment en lisant les mini-RPs, donc c’est pas forcément très constructif comme critique. Mais voilà, peut-être que ça a seulement manqué d’un duo se démarquant radicalement pour adoucir mon jugement global. Il faut dire qu’on était moins nombreux cette édition qu’à d’autres, et que le thème a été un peu rongé par la distribution des personnages qui jouaient dessus – c’est pas évident de donner de l’enjeu au fait qu’il n’y a qu’un masque pour deux personnes quand, sur sept duos, t’en as trois où l’un des deux personnages ne craint pas ou peu le gaz, et deux où la question de qui portera le masque semble réglée dès le deuxième post parce que l’un des deux personnages n’est pas plus attaché à sa vie que ça. Mais comme je l’ai dit, il y a eu de bonnes idées, et ça tombe bien parce que c’est ce que je suis venu relever. Et comme d’habitude, gare aux spoilers ! Il en grouille une meute dans ce commentaire, et ces saletés sont encore pires que les mutants des tunnels de Metro. « Je n'avais ni la force de la maintenir levée ni la conviction de m'en prendre à cet homme. » - Sofia (UTM)Oui, j’ai déjà parlé de Sofia dans le commentaire précédent. Mais j’avais pas noté qu’elle faisait à la fois la 4 et la 1. Alors on arrête de se plaindre et on apprécie sa prose une deuxième fois. Même si du coup, comme elle avait dit un truc l’autre fois comme quoi j’avais super bien analysé et tout, j’ai le stress de pas être à la même hauteur cette fois.Exactement de la même façon que la fois précédente, c’est une ambiguïté – non plus grammaticale, mais cette fois sémantique – qui me fait beaucoup apprécier cette phrase. J’ai peur de répéter un peu tout ce que j’ai dit la dernière fois sur les double-sens dont un sens déteint sur l’autre, pour donner une phrase confuse décrivant un état d’esprit confus ou parce que le fait présenté est difficile à accepter pour le narrateur, mais c’est la même chose que je ressens cette fois-ci. Ici, l’ambiguïté est sur le mot "conviction" ; on a d’un côté la conviction relative à ce que Sofia doit ou devrait faire, le bien-fondé de l’acte qu’elle envisage – est-elle certaine de vouloir s’en prendre à cet homme qui semble se dévouer pour l’aider ? – et de l’autre côté la conviction relative à ce qu’elle est en train de faire, la certitude de savoir à qui elle s’en prend – est-elle en train d’essayer de faire du mal à l’homme devant elle ou plutôt, si on interprète un brin, de se faire du mal à elle-même en se tourmentant ? Et là encore, ça montre assez bien le sentiment de désorientation qu’elle a par rapport à la situation : elle ne porte pas les vampires dans son cœur, car ceux de son univers lui ont laissé de mauvais souvenirs – là-dessus, Ostium Tenebris et Under the Moon se sont bien trouvés – mais de l’autre côté, elle est manifestement en train de se faire sauver la vie par un vampire qui ne montre absolument rien de haïssable à part un peu de saleté et des faux plis sur ses vêtements. *** « Elle aurait voulu le secouer, lui dire de chercher, que c'était lui l'adulte, qu'elle était fatiguée de devoir toujours tout porter. » - Pricie (TE)Tout le monde l’a noté en commentaires, dans ce mini-RP, c’est la petite Pricie qui se comporte en personnage mature et le grand Adaryon qui se laisse guider et retrouve espoir grâce à elle. Cependant, je reste sur l’impression que c’est un rien plus subtil que ça. Personnellement, en suivant Pricie, je n’ai pas nécessairement eu l’impression de voir comme une adulte dans un corps d’enfant – sauf peut-être au moment où elle se met à établir les principes de la combustion du lithium-ion parce que bon dieu qui élève sa gamine comme ça ? – mais vraiment une petite fille suivant sa fougue idéaliste pour proposer des idées qui le sont tout autant mais qui s’avèrent fonctionner à la fin. Le meilleur exemple, c’est l’utilisation du masque – j’en profite pour répondre à Lunatique qui se souvenait plus de quand il apparaissait : arracher le filtre pour le placer devant la fuite de gaz, ce n’est pas une réflexion qui me paraît mature, ça frise même l’inconscience. Personne ne penserait à ça, parce que personne n’envisagerait une seconde de détruire un objet aussi salutaire que le masque à gaz sur un plan qui pourrait échouer de plein de façons, comme la présence d’une autre fuite de gaz, ou le fait que le filtre puisse mal se caler dans la fuite existante et laisser du gaz s’infiltrer malgré tout, ou encore le fait que le filtre puisse être mal arraché et perdre une de ses composantes essentielles dans l’opération. Personne n’envisagerait ça, sauf une gamine qui ne pousse pas la réflexion jusque-là. C’est pareil quand il s’agit de faire exploser le loquet de la trappe, il faut être sacrément optimiste pour penser que ça puisse marcher, parce qu’un tas d’autres facteurs pourraient intervenir, comme le fait que le gaz, comme suggéré par Pricie elle-même, ait de grandes chances d’être inflammable. Du coup, j’en reviens à la citation, qui affermit mon propos. Pricie y évoque l’idée qu’Adaryon devrait se comporter en adulte, ou du moins en la vision que Pricie se fait d’un adulte, sur lequel un enfant devrait toujours pouvoir compter pour le sortir d’une mauvaise situation. Et j’aime beaucoup la façon dont le caractère enfantin de cette réflexion se marie avec un air déjà désabusé porté par les derniers mots : "fatiguée de devoir toujours tout porter". Et au final, dans cette phrase, on saisit mieux la nature de la relation entre Pricie et Adaryon. Ce n’est pas un enfant qui fait ce que devrait faire un adulte et un adulte qui fait ce que devrait faire un enfant, c’est simplement – quoique subtilement – un enfant qui pousse un adulte à retrouver une forme d’espoir et reprendre les choses en main, en essayant de lui montrer comment faire. Et d’ailleurs, c’est peut-être moi qui vois des allégories partout, mais quand je vois la petiote s’endormir à moitié après avoir été agrippée par un Adaryon ayant retrouvé la force de courir pour les sortir de leur situation désespérée, ça me donne juste le sentiment qu’elle a terminé son rôle dans cette histoire sitôt que l’espoir est revenu. Je finis de développer l’idée avec la prochaine citation, parce que sinon je vais plus rien avoir à dire. En tout cas, Terrae, sur les deux épreuves que j’ai lues pour le moment, vous avez déchiré. Il est peut-être venu le jour de votre deuxième palme d’or ?« L’issue s’entrebâilla avec douceur et les bouts de lumière, magique, s’accrochèrent avec théâtralité autour des deux corps, comme pour les féliciter d’une victoire qui n’aurait jamais pu être gagnée. » - Adaryon (CI)Le point de vue de l’adulte, maintenant, qui passe au fil du récit d’une froideur macabre et fataliste à un optimisme ravivé, pour s’achever sur cette scène riche en lumière et en magie. Toujours en lien avec cette vision plus naïve de la réalité que Pricie a transmise à Adaryon, j’aime beaucoup la façon dont cette phrase se termine sur l’idée que la victoire n’aurait pas pu être emportée, et que les deux personnages l’ont arrachée dans un élan de "ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait", car c’est bel et bien ce qu’il s’est passé. Depuis le début, Adaryon est persuadé que toute tentative est vouée à l’échec, et Pricie ne le sait pas ou ne peut pas s’en convaincre, ce qui la pousse à tenter des choses plus désespérées les unes que les autres avec l’espoir qu’elles ne sont pas désespérées – c’est bon, vous suivez ? – et c’est pour ça que je tenais à revenir sur cette nuance qui ne semble pas si grande entre l’idée que Pricie serait la plus mature des deux personnages et mon propre point de vue. En lisant ce texte, j’ai au contraire souvent l’impression que cette maturité est le fardeau qui empêche le dénouement de la situation, et qu’il faut l’aide d’une petite fille pour s’en sortir. C’est presque comme si Pricie avait invité Adaryon dans un autre monde où le fatalisme n’existe pas, et les adultes peuvent tirer les enfants de n’importe quelle situation. Et présenter les choses de cette façon me donne tout un tas d’autres idées d’interprétations symboliques d’autres détails du RP, mais je vais m’en tenir là.Cependant, vous vous souvenez peut-être que dans l’introduction, j’ai mentionné n’avoir pas trouvé de duo s’étant radicalement démarqué dans cette épreuve, et être resté sur l’idée qu’un tas de bonnes idées auraient gagné à être mieux exploitées. Et à côté de ça, si vous avez vous-mêmes lu ce RP, vous n’êtes peut-être pas convaincu par mon argumentaire, et continuez de défendre que Pricie se comporte comme une enfant mature. Et à vrai dire, vous n’avez pas vraiment tort, et c’est quand même un point que je vais souligner bien qu’ils soit plutôt négatif, simplement pour que les autres commentateurs visualisent mieux la divergence de nos points de vue : il y a un peu des deux. Et à vrai dire, je ne sais même pas vraiment dans laquelle des deux directions les auteurs ont voulu se tourner. Un certain nombre d’éléments semblent conforter ma version, comme j’espère vous en avoir convaincu, mais d’autres ont plutôt tendance à, par exemple, donner de la maturité à Pricie, comme la richesse de son vocabulaire ou de ses tournures – dans le genre de "Il y a une sortie par là, une bouche d'égout condamnée mais pas assez pour empêcher le détenteur d'une clef de l'ouvrir !" – ou bien le fait qu’elle concède au début le masque à Adaryon, prête à faire face à la mort, ou encore sa fameuse combustion de lithium-ion que j’ai mentionnée précédemment. Et tous ces passages m’ont fait grincer des dents, simplement parce que les deux façons de lire le texte sont contradictoires et que j’avais choisi la mienne, et tous les éléments confortant l’autre résonnent alors comme des étrangetés, voire des erreurs. Et pour le coup, c’est pas une histoire d’alchimie entre les deux joueurs, parce que celle-ci a été remarquable. Ce sont juste des détails, à droite à gauche, qui m’ont laissé parfois le sentiment que le texte ne savait plus où il allait. Mais ça va, je chipote, le rendu final était vraiment bien.*** « Parler me brûle la gorge et la cage thoracique, les larmes me montent aux yeux mais je les essuie d’un geste vif. » - Mitsuki (KHS)La Mitsuki de ce RP est un peu le versant sombre de la Pricie du précédent. Cette fois, on a bel et bien affaire à une jeune fille d’une maturité hors de propos, qui fait face à la cruelle fatalité de sa situation et demeure prête à l’endurer. Son idée de porter le masque à tour de rôle est on ne peut plus sensée, et la lueur d’espoir qu’elle porte à travers celle-ci n’est qu’une flammèche menaçant de s’éteindre à chaque instant, et finissant tristement par le faire. J’avais bien prévenu, pour les spoilers ?Ceci étant, un point que j’aime beaucoup dans l’écriture de Mitsuki, un peu similaire à ce que j’avais commenté sur Neil dans l’épreuve 4, c’est que malgré la détermination dont elle semble se parer, on sent bien qu’elle est à peine capable de l’encaisser et qu’elle finit immanquablement par laisser ressurgir la jeune fille normale de Kobe High School qu’elle est. Notamment, quand elle se retrouve aux portes de la mort, ses pensées vont à ses amis, et le fait qu’elle essaie de se convaincre qu’elle ne manquera pas à ces derniers résonne avec un goût très amer, et c’est difficile de la croire. Quand je lis ça, je me dis qu’elle s’invente cette volonté d’esprit elle-même – et ça marche, mais en demi-teinte. La structure de la citation que j’ai choisie décrit assez bien cet état d’esprit de la Mitsuki qui essaie de persuader qu’elle tiendra le coup alors qu’elle est sur le point de flancher. La phrase commence par décrire la conséquence dangereuse du gaz à travers son corps qui commence à la brûler, puis enchaîne sur une conséquence moins grave avec les larmes qui coulent, et termine sur la façon dont Mitsuki gère cette conséquence secondaire en s’essuyant les larmes. De fait, le tout se termine sur une fausse note optimiste, puisque la jeune fille se montre capable d’encaisser le problème mineur, mais elle élude le problème majeur. La façon dont on suit ses pensées à travers cette phrase, c’est un peu ce qu’il se passe quand vous êtes devant un examen beaucoup trop dur et que vous faites la seule question facile pour vous rassurer. Mais en plus extrême. Et je m’excuse d’avoir massacré la poésie de l’instant.Au final, et comme dans le reste du RP, on en ressort avec une petite Mitsuki dans des bottes beaucoup trop grandes pour elle, et on dirait presque qu’elle n’arrive pas à se l’avouer. Et franchement, niveau empathie, j’aime autant dire que ça me l’a mise très profondément en travers de la gorge de lire la fin de son dernier post. « Elle refuse aussi de reconnaître pourquoi soudainement Mitsuki est devenue un poids sur son dos. » - Ellyn (MAD)Bon, celle-ci, j’imagine que certains l’ont décelée également, parce que ça crève les yeux qu’elle est trop belle. Mais vous me connaissez, je suis pas du genre à m’arrêter à la première apparence, et je m’en vais disserter sur pourquoi elle est encore plus belle. Globalement, j’ai adoré le traitement du personnage d’Ellyn en tant qu’étrangère totale au monde et à la situation dans lesquels elle s’est retrouvée plongée. Au-delà du simple fait qu’elle ne sache pas ce qu’est un masque à gaz, il y a ce côté un peu dans la lune de ses réflexions qui semblent indiquer qu’elle se déconcentre parfois même du danger pour essayer de comprendre ce dans quoi elle est fourrée. Typiquement, la première fois qu’elle demande le masque à Mitsuki, elle vient de se laisser surprendre par sa propre respiration qu’elle a oubliée parce qu’elle pensait à autre chose. Ce sont des petits détails discrets qui permettent de tisser un personnage qui, bien que parfaitement sensé, se retrouve régulièrement à côté de la plaque. Et il y a un passage avec lequel je trouve que ça marche particulièrement bien. Quand Mitsuki accepte de se sacrifier pour sauver Ellyn, cette dernière semble totalement tomber des nues. Mais elle demeure irrémédiablement attachée à la vie, aussi ne refuse-t-elle pas l’offre, tout en restant admirative devant l’acte de la petite fille qui se tient devant elle. À ce moment-là, on a un décalage assez brusque entre les mœurs des deux personnages, toutes deux parfaitement louables – ce n’est pas parce qu’Ellyn accepte de garder la vie sauve au détriment de celle de Mitsuki qu’elle ne lui voue pas un profond respect – mais étrangères l’une à l’autre. Ellyn me fait alors penser à un personnage médiéval, le genre qui n’a pas lu mille et un romans où le héros se sacrifie pour le bien commun, et qui ne voit pas dans le comportement de Mitsuki quelque élan d’héroïsme puéril, mais l’admire au contraire avec la plus grande des sincérités. Et si elle commence par se dire qu’elle "en serait bien incapable", plus attachée à la vie qu’elle est, et par conséquent un rien plus pragmatique, elle finit par se prouver le contraire dans une scène que je trouve émotionnellement remarquable. Et qui nous ramène – enfin – à la citation. L’idée la plus évidente de la phrase est la façon très euphémisée dont on nous dit qu’Ellyn refuse de reconnaître la mort de Mitsuki – tout en nous révélant cette dernière, encore qu’on peut s’en douter dans le post précédent – et à travers laquelle la narration semble elle-même ne pas accepter cette tragédie. À côté de ça, il y a la connotation du poids, qui laisse entendre par un jeu d’associations combien cette idée est lourde à porter pour Ellyn. Et avec tout ce que j’ai dit au paragraphe précédent, on a un point très important : elle refuse de considérer Mitsuki comme un poids, là où sa mentalité jusqu’ici aurait été de se soucier de sa vie d’abord. Elle qui aurait jadis accepté de vivre en laissant la petite fille mourir, refuse désormais d’abandonner son corps déjà probablement mort, même au péril de sa vie. Ce contraste, immense et assez soudain, entre les deux tempéraments successifs du personnage, est à mes yeux une réussite remarquable du RP. Et j’aime beaucoup le fait qu’on passe non pas d’un personnage mauvais à un personnage bon, mais d’un personnage bon à un personnage meilleur, ça rend l’attachement immédiat et la progression vraiment prenante. En supplément, j’ajouterais bien un petit parallèle entre le RP entre Mitsuki et Ellyn et celui entre Pricie et Adaryon, parce qu’on retrouve beaucoup de choses en commun dans la structure de l’histoire – tellement que je me demanderais presque si les deux duos se sont pas entendus, mais j’imagine qu’à ce stade, c’est pousser mon imagination trop loin – mais je pense que c’est globalement assez évident à la lecture de mes deux – enfin, quatre – paragraphes, donc je laisse libre cours à votre sens de l’interprétation. Et si vous pensez que ça ressemble à une technique de fourbasse pour pas avoir à le faire moi-même et m’économiser un morceau de commentaire, attendez de voir la suite.*** « Il se crut en devoir de l'encourager » - Varègue (ES)« Ne pas attaquer les autres. Faire confiance. » - Sergueï (ME)Je me permets de mettre ces deux-là ensemble parce que j’ai à peu près les mêmes choses à dire sur les deux. J’vous avais prévenus, pour la fourbasserie.Le RP entre Sergueï et le Varègue a ça d’intéressant qu’il est l’un des seuls à faire vraiment s’opposer les deux personnages – avec celui entre Salluste et Thresh, mais bon, on va dire que celui-ci est un cas un peu particulier – et paradoxalement celui où les deux personnages se ressemblent le plus. Ce sont deux humains ayant perdu une partie de leur humanité au profit d’un esprit plus pragmatique et adapté à une mentalité de survie. De fait, chacun a de quoi passer pour un monstre aux yeux de l’autre, et c’est d’ailleurs ce qu’il se passe – j’aime beaucoup le fait que le Varègue finisse par comparer Sergueï à un mutant, d’ailleurs, et utilise le mot "inhumains" pour caractériser ses cris d’agonie, c’est dans la même lancée, comme s’il essayait de se convaincre que ce n’est pas lui le monstre. Et au début du RP, les deux personnages sont prisonniers de la même mentalité : leur survie leur importe plus que tout, mais il s’efforcent d’être un peu humains, et c’est exactement ce qui se reflète dans les deux phrases que j’ai prises. Le Varègue voit les encouragements qu’il prodigue à Sergueï comme un devoir – qu’il accomplit toutefois spontanément, ce qui montre quand même une certaine bonne volonté de sa part – tandis que Sergueï voit l’action de faire confiance comme quelque chose qu’elle a promis à son frère – ce qui fait qu’elle accorde sa confiance sans s’en convaincre elle-même, mais elle s’efforce de faire comme si. Du coup, malgré l’entraide mutuelle, dès le début, on a une atmosphère extrêmement tendue grâce à ce genre de phrases, qui décrivent des bonnes actions avec des formulations transpirant des facettes plus mauvaises. Et de fait, quand le conflit éclate, on n’est même pas vraiment surpris, et pour ainsi dire, j’ai même du mal à déterminer à quel moment il éclate ou qui en est le vrai responsable. Surtout que le Varègue, qui a tenté de porter le premier coup, se convainc lui-même du bien-fondé de son acte dans un songe qui frise la démence. Et tant que j’en suis à parler de ce RP, j’envoie une petite dédicace à ses scènes d’action, qui sont franchement bien mesurées rythmiquement et globalement très prenantes. Je suis pas friand de ce genre de choses d’habitude, mais c’est uniquement parce que c’est quelque chose que je trouve si difficile à toiser que je m’en satisfais très rarement – c’est pour ça qu’il se passe jamais rien dans mes textes – mais du coup, quand j’en vois une qui marche aussi bien que celle-ci, je ne peux que rester admiratif. Vous êtes sûrs que je peux pas mettre ce RP dans mon podium en prétextant que je vote pour Metro ? Ce sera pas pour déplaire aux organisateurs, au fond.*** « Elle faisait en sorte de se taire et de bouger au plus vite, sans laisser le temps à une quelconque panique de la gagner, mais c'était de plus en plus difficile à mesure que les minutes irrespirables s'écoulaient. » - Pidge (ILK)Quoi de mieux pour achever ce commentaire exagérément littéraire qu’une bonne figure de style qu’on a tous apprise et oubliée pour certains ? Nous avons là affaire à un très bel hypallage, et si vous avez une impression de déjà-vu, c’est normal, c’est parce que j’ai C/C depuis mon commentaire précédent comme un rascal. Ici, l’idée tourne autour de l’adjectif "irrespirables". Le choix de l’adjectif, ici, provoque un double-sens entre l’atmosphère toxique, donc irrespirable au sens propre, et l’atmosphère anxiogène, irrespirable au sens figuré. Le fait que ces deux points semblent ainsi assimilés fait résonner le tout comme une accumulation des raisons pour Pidge de se laisser aller à l’impulsivité – la panique – dont elle se défend, ce qui donne une meilleure sensation de comment elle ressent le truc. Mais ce n’est pas tout, le choix d’avoir apposé l’adjectif aux minutes qui s’écoulent plutôt que d’avoir simplement parlé d’une atmosphère irrespirable qui pesait ajoute encore un petit quelque chose – c’est ici que se trouve l’hypallage, d’ailleurs, pour ceux qui auraient pas suivi, c’est juste le fait d’apposer un adjectif sur un autre nom que celui auquel on l’aurait naturellement rattaché. Simplement, l’ajout de cette notion de temps qui s’écoule vient encore contribuer à ce sentiment d’accumulation, puisque les minutes écoulées s’accumulent – arrêtez-moi si je vous perds. Et du coup, on sort avec l’idée d’un compte à rebours avant le craquage émotionnel, et je réalise que mon commentaire de citation est un peu nul en comparaison des précédents parce qu’en fait je décris des trucs assez évidents. J’crois que je voulais juste placer le mot "hypallage", en fin de compte. Mais ça empêche pas la phrase d’être jolie, même si mon compliment l’est un peu moins par conséquent.
Et je m’arrête là-dessus, car vous constaterez vous-mêmes que je commence à manquer de matière. Ou d’énergie, faut voir. En tout cas, j’espère que ça vous aura plu autant que le précédent si le précédent vous a plu et plus que le précédent si le précédent vous a pas plu, mais pas plus que le précédent si le précédent vous a plu parce que ça voudrait dire que j’étais dans une forme particulièrement élevée et qu’il va falloir que je me démène d’autant plus pour rester au niveau, et j’ai peur de pas avoir le courage d’encaisser ça. Il s’est écoulé neuf jours depuis que j’ai commencé mes commentaires – commencé à lire les textes pour mes commentaires, j’entends – donc sachant qu’il reste huit jours avant la fin des votes, on peut espérer que j’en aie commenté deux de plus d’ici là. Donc, rendez-vous pour le prochain numéro, portez-vous bien, et prenez exemple sur Alec en n’oubliant pas de sortir votre beagle une fois de temps en temps malgré le confinement ! |
| Jeu 26 Mar - 16:12 Avant de faire mes retours sur les épreuves pendant que je lis tout ça, je tiens à remercier Kaoren pour son avis qui me touche beaucoup, d'autant plus qu'écrire ce texte m'a prise aux tripes étant donné le contexte dans lequel je mettais mon personnage, avec les enjeux qui suivait. J'ai fini avec les larmes aux yeux devant le sacrifice de mon petit idiot de Neil... Si d'autres parmi vous ont apprécié (ou non, chacun son avis !), je vous remercie de m'avoir lu également ! Encore un grand bravo à tout ceux qui ont participé !
Je félicite les copains de Kobe au passage, vous avez assuré grave et vous me devez un paquet de mouchoirs ! <3 Merci Metro de nous avoir invité, et merci à Gueorguï de chez vous, que j'ai inséré dans mon RP sans lui avoir l'occasion de lui demander ! (mais me fallait le grand chef du coin, l'est baraqué en plus alors.... désolée si je lui invente un côté impitoyable qu'il n'a pas! ) Allez, à mon tour de m'y mettre o/ Epreuve 6 : - Artemis - La Sérénissime:
J'ai trouvé sympa de la voir à moitié s'énerver en repensant à des anecdotes ou à des choses qui peuvent paraître "insignifiantes" entre deux accès de panique. Ça montre bien qu'elle essaye de se changer les idées alors qu'elle est quasi convaincu qu'elle va y laisser la peau. Je garde espoir que le dernier coup derrière la tête ne vient que de Qigang...
- Andrei - Metro:
Ton solo m'a vraiment plongé dans l'univers de votre forum et j'ai l'impression d'avoir été mise devant une scène digne d'un film. La dimension épique et dramatique du héros qui a tout perdu avant le grand combat, qui se sacrifie pour la survie des autres et qui vit ses derniers instants en adressant ses derniers mots au lever de soleil qu'il avait espéré voir avant de mourir. J'en souffre avec lui et ses collègues qui le retrouvent trop tard... ;w;
- Fiora - Runeterra:
J'ai été un peu perdue entre la présentation et l'allusion à son père dans le solo, je pensais qu'elle l'avait tué de plein gré pour laver l'honneur familial mais sans regrets, contrairement à ce que je comprends dans le solo ^^". A côté de ça, j'ai trouvé ça fort, le fait qu'elle se refuse à devenir mère suite à ses duels et au résumé de sa vie, ça a beaucoup de signification mine de rien, elle ne voudrait pas de cette vie pour ses enfants. Et je me demande à qui ce crâne appartient. En tout cas, elle a beaucoup de prestance et de présence cette demoiselle et je n'aimerai pas me trouver à l'autre bout de sa rapière !
- Ophélia - Irydaë:
Les répétitions dans le premier paragraphe donne une dimension pesante à l'ambiance autour d'Ophélia, ça installe le climat direct, sans parler des paragraphes qui suivent. Sa première mort a été juste horrible, sans parler de son reveil... Ca ne ressemble même pas à une deuxième chance, on dirait qu'elle aurait préféré ne jamais se réveiller. Et pourtant, avec les rencontres qu'elle a faite elle a pu trouver un peu de bonheur dans sa deuxième vie. Assez pour trouver le courage d'y mettre un terme en prenant celle du Régisseur, plutôt que de le laisser prendre sa vie. Elle est hypra courageuse !
- Anoushka - Avalon:
L'histoire d'amour inavouée entre les deux alors qu'elles avaient une telle complicité, c'est tragique. Et encore, le mot est faible comparé à la fin du solo ! J'en ai les larmes aux yeux tellement c'est beau et triste à la fois.
- Nyriel - Ostium Tenebris:
Le lien entre Llunaan et Nyx était tellement fort et compliqué, pour l'avoir aimé après tout ce qu'ils ont vécus... Je n'ose pas imaginer dans quel état il doit être et le comprend d'autant plus l'expression "mourir de chagrin" qui prend là tout son sens... Mais leurs âmes se retrouveront dans une autre vie, on y croit <3
- Amy - Totem Emblem:
Han, la présentation ne laissait pas présager quel traumatisme elle avait vécu et j'ai été trop surprise en apprenant ce qui était arrivé ! Elle est tellement cute qu'on imaginerait pas ça ! C'est beau qu'elle ait eu l'occasion de "faire face" à Gabriel et avancer pour sa nouvelle vie !
- Alice - Damned Town:
Je trouve que ton personnage est tellement bien ancré dans son univers que ça donne une dimension toute particulière à l'épreuve que tu as faite. Une ange déchue, réfugiée chez les démons et qui se repend tout au long du texte en retracant le fil de son existence... c'est beau. Juste bravo, et que la suite de son histoire sur Damned Town puisse l'aider à trouver sa place !
- Djeryn/Siegfried - Nano RP:
J'ai l'impression que ton personnage a tellement semé la terreur avec les autres vétérans que ce solo sonne comme s'il cherchait la rédemption. La fin lui offre cet espoir, qu'il le saisisse et en fasse bon usage !
- Chris - Under the Moon:
Pour un dépressif, j'ai trouvé qu'il restait vachement rationnel et même plus lucide que le genre de "ramassis de trous du culs égocentriques" comme tu dis ! xD J'ai eu l'impression d'être dans un thriller le temps de ton post, tenue en haleine pour savoir comment il allait finir... Qu'il s'en sorte, pitié !
- Feliciano - Ilukaan:
Etre complétement perdu dans une grotte pareil et avec aussi peu de lumière, sans parler de l’humidité et du sentiment d’être coincé… Il est juste trop innocent et mignon pour mériter ça !! Et son jumeau, je n’imagine même pas le déchirement à la fin...
- Arndt - SNK Rebirth:
L’amour impossible auquel il s’est résigné mais tout de même accroché… « Je voulais seulement danser dans tes bras pendant des heures... Même si je savais qu'un autre y dansait déjà. » Cette phrase est tellement poignante, qu’elle m’a serrée le cœur. Toute ta façon d’écrire fait transpirer ses émotions sans avoir besoin de mettre de mots dessus, rien que par ses pensées, et je crois que c’est le texte qui m’a le plus touché.
- Mealladh - Madelle:
C’est fou comme ton texte rend Mealladh un peu candide et « enfantin » à la fois. Malgré son tempérament et son instabilité, je me suis attachée à lui. La solitude et la nostalgie qui le gagnent en essayant de se distraire le rendent presque humain. Il mérite bien de retrouver ses volcans ce monsieur <3
- Audebert - Esquisse:
Un personnage qui ne parle et ne pense qu’en vers, c’est assez audacieux comme choix ! Moi qui ne suis pas une habituée des textes en vers ou poèmes aussi longs, j’ai aimé que ce soit facile et fluide à lire. Tu as une jolie prose et, à défaut des adieux qu’il nous fait là, j’espère que ton « père castor » aura bien d’autres histoires à conter !
Autres épreuves à suivre ! |
| Ven 27 Mar - 0:32 C'est encore moi, voici la suite des petits avis suite à la lecture de l'épreuve 5 !! Bravo à tous pour vos inventions <3 Epreuve 5 : - Oskar - Irydaë:
La lecture de l’épreuve commencer très fort avec ton post, j’aime trop le personnage, sa passion de la profession et sa vision de l’éthique xD. Ce qui m’a le plus tué, c’est que ton post rend ses « recherches » hyper épiques, comme s’il y mettait toute son âme avant qu’on ne voit le résultat. « Il avait de l’honneur alors il prit la fuite ». J’aime, j’adore ! Franchement un gros bravo, j’ai bien accroché et j’espère avoir l’occasion de te lire aux prochains interforums !
- Rosario - Nano RP:
Tu nous apportes là une touche de soleil dans les lueurs sombres de la Metro. Rosario me parait être un sacré monsieur, langage bien fleuri, caractère bien trempé et un sacré cordon bleu, j’aime ! On sent bien la passion culinaire et mon moi IRL ne peut qu’apprécier. Mention spéciale à la musique qui accompagne ton post, ça m’a fait sourire tout du long.
- Mickaëlle - La Sérénissime:
Son ingénuosité et sa candeur la rende trop mignonne. Je ne suis pas sure d’avoir compris le fonctionnement de l’objet, mais là voir se hyper comme ça de son invention montre qu’elle est bien fière d’elle ! Et je me dois d’appuyer un truc où je suis complétement d’accord, la bouffe c’est la vie !
- Luke – Damned Town:
En grande amatrice de pièces de théatre, ta petite précision avant le post m’a piquée à vif. Tu respectes bien les codes, ça fait plaisir ! Au dela du côté technique, je me suis prise dans le discours et pensait qu’il était tout de même face à un public, en utilisant la chaussette comme « assistant » pour appuyer son discours… Ma naïveté me perdra, mais en tout cas c’est une invention assez balaise !
- Rich - Avalon:
Linvention est ingénieuse et l’attention envers Talbot est honorable, de même que ça pourrait aider Rich aussi. C’est dommage que la limite de mots soit là, j’aurais aimé voir Talbot grommeler un peu plus pour donner du fil à retordre à Rich haha.
- Liam - Ostium Tenebris:
je ne suis pas du genre à aimer le spoil et pourtant, j’ai du me retenir d’aller voir ce qui se tramait dans ce laboratoire. T’as tellement mis le tease au max que j’ai FAILLI aller voir la fin, tu ne te rends pas compte. Et je dois avouer que je m’attendais à ce qu’il vienne mettre du baume au cœur aux gens, mais les chatons arc-en-ciel qui jouent avec les bubulles c’est trop mignon >///<
- Isolde - Esquisse:
Han, isolde avait un tellement beau projet que j’espérais que ça fonctionne… Mais avec l’Esquisse, y’a trop de possibilités que ça parte en cacahuète et c’est dommage qu’elle ait disparu…
- Dimitri - Under The Moon:
Pour le coup, l’avatar va bien avec le personnage, une saleté ! Et tu le joues bien (à prendre comme un compliment je te rassure). J’ai remarqué que tu as fait un peu le tour du forum hôte pour les mentions que tu fais au contexte des lignes et tout ça, pour avoir fait les mêmes recherches, c’est sympa de s’intégrer dedans hein ? Enfin, moins sympa avec la fin bien amenée d’ailleurs... RIP ! En tout cas invention ingénieuse et si mon Neil était un vampire, en gardant son standing, il aurait surement pû être attiré par ton invention !
- Tiago - Terrae:
Ah les badboy qui n’ont pas la langue dans sa poche, qu’est-ce que j’aime ça. J’avoue que l’invention/magouille est bien trouvée et t’utilise bien son pouvoir pour ajouter du confort à ces tunnels moscovites ! J’ai beaucoup apprécié le cheminement de l’histoire et sa façon de régler sa dette, il a de l’idée et c’est un sacré fourbe !
- Alfred - Ilukaan:
En grande potterhead, j’ai beaucoup apprécié que tout soit bien utilisé, tu connais bien l’univers ça fait plaisir ! :D. J’imagine que c’est normal qu’un élève ne connaisse pas encore le sortilège pour créer un portoloin, mais si jamais, c’est « Portus » ^^. C’est chouette en tout cas qu’il mette sa magie au service des autres pour rendre leur condition de vie plus agréable, même si ça implique qu’il reste toujours dans les parages !
- Katerina - SNK Rebirth:
En lisant la présentation et tout le début de ton solo, je ne soupçonnais pas ce côté si romantique et sensible de la demoiselle. Je dois avouer qu’une machine comme ça est une bonne idée, et même sans toucher tout le monde directement elle a au moins le mérite de faire sourire. Ceci dit je ne m’attendais pas à ce qu’elle se détraque à la fin pour balancer cette phrase de gros dragueur… Ca m’a fait éclaté de rire xD
- Juliette - Madelle:
C’est rare qu’il n’y ait pas de gens sceptiques ou mécontents en jouant à ce genre de loterie, surtout s’ils perdent et je suis contente de voir qu’elle s’en sort ! Mais tout de même, c’est qu’elle propose aux gens de jouer à un jeu dangereux dis donc… Même si ce sont des jolis cadeaux, il ne faudrait pas que ça tombe entre de mauvaises mains !
- Katya - Métro:
Eh bien voilà une demoiselle à l’air bien farouche, ça me fait penser un peu aux infirmières qu’on a pas envie de voir piquer notre bras pour la prise de sang dans les films haha. Heuruesement, elle est plus jolies que celles-ci et plus badass qu’ « effrayante » ! En tout cas c’est génial non seulement parce que c’est hyper important pour limiter de véhiculer des saletés de maladies, mais en plus dans le contexte actuel IRL ça fait une bonne piqure de rappel ! Prévention et plaisir de lire, GG !
- Sejuani - Valoran’s Battlefront:
Encore une demoiselle au caractère bien trempé, mais ce sont ces gens là qui tiennent le coup jusqu’à montrer aux autres de quel bois ils se chauffent ! J4ai bien aimé son invention de bourrine, et l’ours de combat m’a fait aussitôt penser à Yorek dans « A la croisée des mondes ». En plus féroce et moins docile par contre, vu la toute fin. Avec un peu de conviction, ça va marcher !
- Oskar - Irydaë:
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| Sam 28 Mar - 1:59 Coucou. Alors, je suis mauvaise élève, je ne vais pas poster ici mon vote. Je tiens juste à répondre à Neil.
Merci beaucoup pour ton commentaire qui fait chaud au coeur. Et, je te rassure, moi aussi je déplore la limite de mots parce que mon premier jet du texte faisait presque 600 mots de plus... Et justement dans cette partie, on voyait Talbot rendre Rich fou et le menacer d'un bon coup de pieds aux fesses (pour être polie). De même, l'intervention du professeur était plus développée. Quoi qu'il en soi, je me suis bien amusée et je suis contente que cela plaise ^_^ |
| Sam 28 Mar - 14:34 Épreuve 4 : le pouvoir des mots Je ne l’ai pas précisé plus tôt mais je me doute bien que l’exercice ne coule pas forcément de source et que beaucoup de choses dépendaient de l’inspiration du moment et des soucis. Mes commentaires servent à partager ce que j’ai ressenti ou compris. Mes commentaires sont à prendre sans trop le prendre à cœur. À aucun moment, je ne souhaite vous faire vous sentir mal. - Métro:
Ça m’a eu tout l’air d’être un discours motivant à Roi Aragorn, sans trop de possibilité de s’en sortir vivant. Comme c’est un flashback, j’aurais aimé connaître la fin puisque techniquement on s’en sort. Le plus dur aura été pour moi d’identifier la personne qui parlait directement à Andrei. Une fois, cela fait, ça a bien mis en place la motivation d’Andrei.
- Ostium Tenebris:
La mise en place est clair, les personnages identifiables. Je ferais juste une remarque sur le fait que Peacock ne gagne pas tellement grâce à son discours mais grâce à la façon dont il obtient la fidélité de ses hommes (payer dette, respect) mais ça reste bon texte.
- Chroniques d’Irydaë:
J’ai compris assez tôt qu’il y avait anguille sous roche grâce à une précision dans la présentation. Chapeau pour le poème, j’ai d’abord cru que c’était celui qui aurait pu être écrit dans le contexte du forum mais je doute que ce soit le cas finalement. Donc Meylan gagne du temps pour lancer son sortilège, lui-même enclenché par son invocation pensé, à ce que j’ai bien compris.
- La nouvelle Avalon:
Le décors est bien posé. Easting démontre bien ses compétences de chef et elle a bien remis à sa place le chef de meute dans le plus grand calme (et une petite démonstration de force).
- Under the Moon:
Je suis un peu triste que ça finisse sur une note aussi pessimiste.
- La Sérénissime:
L’idée de transposer une riche noble italienne dans le métro communiste est une bonne idée. J’ai beaucoup apprécié son discours absolument méprisant. Par contre je suis très dubitative sur le fait qu’elle ne finisse pas en prison ou qu’elle ait pu parler si longtemps. L’aura de noble ne peut pas agir trop longtemps sur des « fanatiques ».
- Nanorp:
C’était un chouette concours de chants. Je connais le personnage et le langage associé. Les Hiisi font subir trois épreuves à Viholvärakuuna et il s’en sort toujours par sa magie des mots.
- Terrae:
C’était une plaidoirie sympa pour l’institut. Dommage que les mots n’aient eu aucun pouvoir dans ce cas (mais bon, contre une foule en colère, c’est rarement cohérent).
- Esquisse:
J’aime beaucoup comment tu décris le discours des pauvres qui tentent de sauver leur vie avant que Kaoren ne parle à son tour, augmentant ainsi la pression sur le personnage qui n’a rien préparé. Pourtant, il ne défense pas son droit de passer mais celui de tous les autres, c’est une grande démonstration. « Notre procès n’a rien d’un concours de valeur, c’est au mieux un concours de circonstances... »
- Damned Town:
C’est une très bonne idée, l’intervention d’un pnj gentil en contraste avec l’ange médisant. J’ai trouvé tes dialogues vivants. Certes, c’est un peu égoïste contre altruistes mais bon c’est le sujet qui veut ça.
- SNK Rebirth:
J’ai trouvé le pitch de base assez parodique pour ce qu’est – il me semble – l’univers de SNK. Irène joue la carte du contrôle de soi ce qui est pas mal pour surprendre les interlocuteurs.
- Madelle:
Il y a de bonnes idées sur l’exploitation du contexte du forum et du personnage mais je ne comprends pas du tout le geste final du noble face au récit de Winter qui n’apporte aucune preuve à mon sens. Ce que j’ai compris : Winter veut récupérer les plans de la ville pour la sauver, l’humain a les plans de la ville pour la détruire. Elle raconte l’histoire d’une rébellion, elle est dans le palais (de la ville ? Du coup, elle n’est pas rebelle…) Le Protecteur n’était pas inquiet ; nous pouvions tenir presque un mois avec nos ressources, bien assez pour que les soldats d’Hélias ou de Jioky nous viennent en aide. J’ai bien compris qu’elle mentait et était de l’autre côté à faire exploser le palais mais je ne comprends pas.
- Ilukaan:
Je ne suis pas contre un peu moins de violence, ne serait-ce que pour permettre à Edelgard de pouvoir parler (se prendre un coup de pied dans le ventre ou avoir le nez cassé, ce n’est pas top pour l’élocution) mais mettons ça de côté, j’ai bien aimé ces arguments. La situation n’en est pas moins catastrophique pour elle à la fin, c’est dommage.
- RPG rebirth:
Je n’ai rien compris, je suis désolée, c’est dommage. Le plaidoirie a l’air bien mais c’est avec la mise en situation que j’ai du mal. Visiblement, Yoligan est le chef d’un groupe de rebelles jugés pour avoir été pris la main dans le sac sans doute. Une guerre civile menace à cause des inégalités ou de nouveaux voyageurs. Il essaye de convaincre le public plus que les jurés j’ai l’impression. Bref.
- Kobe high School:
Le discours est un peu bref mais j’ai bien aimé toute le cheminement pour pouvoir accéder à ce discours. La fin est un peu gratuite à mon coup. J’imagine qu’il faut prouver sa parole mais dommage.
- Valoran's Battlefront:
Un texte frustrant puisque Sona est elle-même en position frustrante et injuste sans explication. Que fait-elle dans cette pièce ? Le lynchage se conclue par le retour de la harpe et Sona qui « récupère sa voix » et prononce le mot « Silence ». La consigne est respectée mais je suis un peu déçue.
Épreuve 5 : faire feu de tout bois ! - Chroniques d’Irydaë:
J’ai trouvé la phase de fabrication est assez prenante, j’ai beaucoup aimé le ton humoristique sur cet anti-héros. (J’aurais quand même aimé voir des guillemets pour les dialogues.)
- NanoRp:
J’ai aimé, c’était un peu cliché mais tellement passionné que ça passe bien. Et de la bonne nourriture, c’est tout de même une bonne façon de supporter le métro !
- La Sérénissime:
C’était très divertissant aussi, j’aime beaucoup le caractère de Micka qui ose répondre à la voix angélique dans sa tête. La nourriture, j’aime !
- Damned Town:
J’ai bien apprécié la mise en forme théâtrale. J’ai trouvé le discours de vente très divertissant à lire.
- La nouvelle Avalon:
La première chose que j’ai vu est qu’il n’y a pas de paragraphes, je ne sais pas si c’est voulu ou juste le stress de l’épreuve mais je n’ai pas apprécié, surtout le début, heureusement que les dialogues coupent un peu le pavé. Le geste du personnage qui conçoit un objet non pas pour le vendre mais pour aider une personne est louable.
- Ostium Tenebris:
L’invention est assez « démente » mais mal illustrée selon moi au moment où il le montre à son cobaye. J’aurais aimé avoir une explication pseudo-scientifique du bidule projetant du mignon.
- Esquisse:
Invention très maligne qui exploite habilement l’univers d’Esquisse. J’aime beaucoup l’accident de fin qui ajoute une péripétie même si c’est surtout l’explication de la machine que j’ai retenu.
- Under the Moon:
Je suis sceptique sur l’utilité de la machine pour un vampire aux canines fonctionnelles mais la fin était drôle.
- Kobe high School:
J’ai trouvé que l’intention de l’adolescente était mignon tout plein, en adéquation avec le personnage de l'adolescente encore enfant.
- Terrae:
J’ai trouvé le concept bon et le texte bien écrit. Je me demande juste comment Tiago a pu certifié que l’eau était bonne et d’où elle venait mais ça va.
- Ilukaan:
J’ai trouvé un peu dommage que Yelena n’insiste pas plus que ça pour savoir ce qu’il comptait faire de l’amulette, ni qu’il n’y ait pas eu plus de détails ou de péripéties. Au moins la situation est assez claire et bien expliquée.
- SNK Rebirth:
Je ne suis pas emballée par le principe de l’invention. Une imprimante à mots doux pré-enregistrés ?
- Madelle:
Ce sont des machines de rêve que propose Juliette, je me demande si le monde de Madelle propose vraiment des artefacts qui font ça ou si c’est de l’exagération. J’ai pendant tout le texte été assez incrédule, je pense qu’il manque une petite explication ou histoire des artefacts ou plus de détails sur la raison qui empêche d’utiliser les artefacts (contrairement à la coupe d’abondance) ou comment la machine utilise l’artefact. La première machine marche grâce à un miroir et la troisième un livre..
- Métro:
C’est une bonne idée pour un médecin en pleine post-apocalypse de proposer du savon à ses patients. Le suspense et le dialogue sont bien rendus. J'ai bien ri.
- Valoran's Battlefront:
L’histoire se suit bien et j’adore l’idée d’ours habillés en armure comme dans la Croisée des mondes de Pullman.
Je n'ai pas trouvé l'inspiration pour l'épreuve 6 : Le bout du tunnel. J’en profite pour féliciter tous les participants et doublement ceux qui ont participé pour plusieurs épreuves, ce n’était pas une mince affaire. Félicitations à tous ! |
| Sam 28 Mar - 15:17 Bonjour à tous ! Ayant lu les épreuves 1, 3, 4 et 5, je voulais féliciter quelques textes en particuliers qui ont attiré mon attention. Dans l'ensemble, j'ai trouvé les participations très bonnes, aucune ne m'a particulièrement déplue même si j'ai des critères très stricts et que je m'attache plus facilement à certains styles d'écritures que d'autres. Passons donc à mon petit palmarès de lecture ! Evidemment, c'est purement subjectif et je peux avoir mal compris certaines choses ou lu de travers (c'est ce qui arrive quand on décide d'écrire ses commentaires au cours d'une insomnie). - Mon coup de cœur : Swain VB - Epreuve 3:
Ce texte était juste palpitant. Comment le décrire autrement ? La manière de jouer de Baba Yaga est sadique et rusée à souhait, mais Swain n'en est pas moins malin et retors. Les descriptions sont aux petits oignons et les dialogues sont aussi naturels qu'ils sont bien pensés. J'ai toujours trouvé que les dialogues sont les parties les plus difficiles à écrire d'un texte, parce qu'ils ont tendance à être forcés, trop riches ou trop pauvres en informations. Là, la concision se prête au thème et les mots sont choisis avec soin. De toute manière, j'avais déjà remarqué ce personnage lors d'un précédent interforum et je l'avais adoré. Suis-je biaisé ? Peut-être. Mais cela ne retire rien à ton splendide style d'écriture. Au moment où j'écris ces lignes, ce texte est mon favori de toutes les épreuves combinées.
- D'autres Baba Yaga de talent : Ludwig(ILK) et Ithen(DT) - Epreuve 3:
Ludwig ILK Il y a quelque chose que j'attendais de l'épreuve 3 : c'était une Baba Yaga aussi joueuse que sournoise, difficile à cerner. Ce critère a largement orienté mes préférences, et c'est ce que j'ai apprécié dans le texte de Ludwig. Les choix que proposait la sorcière étaient très bien trouvés, plein d'une malice et de jeux de mots très appréciables. Le protagoniste en lui-même m'était de plus sympathique, son caractère était très agréable à lire, mis en valeur par une plume légère et sans prétention. Parfois, inutile de se lancer dans de grandes figures de style pour faire mouche ! Et la fin du texte était adéquate, une "bad ending" qui pour une fois n'avait rien de sanglante, mais une bonne part d'ironie.
Ithen DT Très beau texte, aux descriptions travaillées et à l'ambiance immersive, quelque chose que je n'ai pas retrouvé dans tous les textes malheureusement. Ithen ne fait pas preuve non plus d'une insolence mal placée face à cette ambiance, ce qui la rend d'autant plus inquiétante et bien moins enfantine que les contes dont est tirée cette ogresse, mais il n'en devient pas docile face à la Baba Yaga. Les choix offerts par cette dernière ne m'ont cependant pas convaincue, même si j'ai apprécié que Ithen ne tourne pas son dos à ses valeurs et ainsi à la liberté que remet en cause la sorcière.
- Âmes de poètes : Silivren(NRP), Mey(Cl) et Afya(TE) - Epreuve 4:
Sili NRP L'épreuve était-elle faite pour toi ? Même dans ton HRP tu reconnais n'avoir pu ignorer l'appel de ce thème si voisin à celui de ton personnage. Et tu as bien fait : les mots, tu les manies avec autant de perfection que le Chantemage, ses arguments d'arrogance et de puissance sonnent juste, et tu as même réussi la prouesse de donner une parole presque aussi belle à ses adversaires, chose que les autres textes n'égalent pas. Sans rimes, les mots du dragon et de ses adversaires sont d'une poésie sans faille, ta plume est aussi incisive que ton protagoniste est fier, et l'univers que tu nous présentes là semble aussi passionnant que les mots qu'ils profèrent avec autant d'ardeur. Mes félicitations : plus qu'un texte, c'est une véritable ode que tu nous proclames là.
Mey CI Le choix de la poésie était très bien trouvé pour conter l'histoire du monde de Mey ainsi que son incitation à prendre les armes contre ceux qui ont renié les Architecte. Ce que je trouve néanmoins dommage est que ces mots ne sont que pensés et aucunement parlés, ce qui ne convient guère au thème de la plaidorie pour sauver sa peau. Mais la plume est belle, alors ce texte mérite d'être reconnu. Je tiens à souligner les vers qui m'ont particulièrement fait de l'oeil : "Les Griffons portèrent leur attention bienveillante sur un peuple encore inarticulé. Il reçut la passion de Süns la Flamboyante, la mémoire de son frère, l’Immaculé." Très belles rimes et très belle manière de présenter les Architectes, j'approuve !
Afya TE "Si les mots avaient des ailes, ils ne perleraient pas sur les joues de l’ivoirienne." Voilà comment capter l'attention des lecteurs dès la première phrase ! Très beau texte et très belle plume, sa tirade est d'une poésie nostalgique et douce qui ne m'a pas laissée de marbre. Il était agréable de lire un texte où le protagoniste n'a pas l'arrogance de se savoir vainqueur, et où son monologue est aussi justifié que vain. C'était donc un texte aussi original que plaisant à lire, et je tiens d'ailleurs à attirer l'attention sur ce début de tirade : " Il n’y a pas si longtemps j’étais une couleur vive et chaleureuse, je grandissais dans une palette bigarrée et souvent tumultueuse, les rires et les sanglots s’y mêlaient dans un camaïeux souvent plus joyeux que triste." Je ne suis pas Kaoren et je lui laisse tout l'ingéniosité de savoir débusquer et traiter les plus belles citations, mais je tiens toutefois à dire que cette figure de style sur la couleur, ainsi que ce vocabulaire aussi précis que soutenu, ont définitivement scellé mon choix quant à mon admiration pour ce texte.
- Mini-Rps en vrac - Epreuve 1:
[CI + TE] Sans mentir, je ne suis pas une grande admiratrice des protagonistes adolescents, ce qui est une manière polie pour dire qu'ils me tapent sur le système d'ordinaire. Cependant, j'ai été agréablement surprise en découvrant ces deux personnages, en particuliers Adaryon. Il est attachant sans être pathétique, et il est très bien complété par la bravoure résignée de Pricie. En soi, c'est cette complémentarité et solidarité du duo, ainsi que leurs péripéties, que j'ai appréciée. Le texte n'était pas le plus original de tous ceux que j'ai lu, mais il était léger et agréable à lire. Bravo !
[DT + NRP] Bon, je vais être honnête : ce duo partait déjà avec un bonus de ma part puisque je me suis affectionnée d'Alec lors de l'Interforum d'Esquisse. Mais contre toute attente, c'est surtout le personnage de "la Dame" qui m'a séduite. L'idée de ne dévoiler son identité qu'à la fin était très bien pensé, d'autant qu'à la lecture du HRP en début de RP j'ai justement pensé "Curieux, on ne sait pas vraiment quel type de shaman ou d'esprit est présenté ici." Et ce que je considérais d'abord comme un inconvénient s'est très vite transformé en coup de coeur. Le duo a très bien fonctionné, avec un démon au grand cœur, et un ange aux crocs de vipère, le tout finissant sur une note presque de morale quant à la bravoure d'Alec. Et puis, soyons sérieux deux minutes : qui n'a pas été attristé en imaginant un chiot, seul à attendre son maitre à la sortie de la grotte ? Moi je l'étais.
[LS + VB] Alors sur ce duo, j'avoue être mitigée. J'ai naturellement du mal avec le personnage de Thresh. Son rolliste écrit de manière brillante, si bien qu'elle parvient à la perfection à rendre son Spectre détestable dans son arrogance et sa toute-puissance. J'étais donc étonnée de voir le personnage qui lui faisait face : un nobliaux grande gueule, pas effrayé pour un sou ! Au final, ce RP qui commençait dans le drame s'est fini pour ma part dans le rire - hormis la dernière réponse de Thresh qui fait froid dans le dos. Mes félicitations à Salluste : ta plume a touché la corde sensible de mon rire, et ce n'était pas gagné.
- Coup de cœur invention : Onyx (ES) - Epreuve 5:
L'idée de l'invention pour régler les problèmes de l'Esquisse était une formidable idée, autant que le revirement de fin lié au métal de la jambe du Triaire. J'ai également apprécié le fait que tu en profites pour intégrer d'autres personnages du forum à ton texte, ce qui donne une véritable impression d'utilité et de concret. La chute était bien trouvée, enfin bref : de très bonnes idées pour un texte agréable à lire !
Bon courage à tous pour les lectures et les votes ! |
| Sam 28 Mar - 17:33 Coucou, Ici PiuTe, vous m’avez sans doute croisée dans les précédents espaces commentaires comme Philémon Mashimoto, Midori Sawamura, Clara Delmonte, et sans doute d’autres vu que j’ai la mauvaise habitude de m’inscrire sur le fo’ après et avant les interfos (et de tout commenter). Ou sur l’épreuve 4 en tant qu’Afya. Ce coup-ci j’ai clairement pas le temps et l’énergie pour tout lire mais j’vous fait des bisous tout doux et j’remercie tous ceux que j’ai lu pour l’énergie et le réconfort fourni, vous êtes tops et je me suis régalée. Je vous partage comme d’habitude mes notes pour faire mes votes relues pour qu’elles soient lisibles. Ce n’est que mes impressions, et clairement j’peux ne pas accrocher à des textes qui plairont énormément à d’autres et vice-versa, j’peux passer à côté du sens de beaucoup de choses en ce moment #teamfatigue. Merci à tous ceux qui commentent. Les gens vous êtes trop tooooops ! MERCI ! Epreuve 1
- Damned Town et Nano RP:
Alec : QUELQU’UN QUI CONNAIT LES SYMPTOMES DE L’HYPERCAPNIE. Pardon mais ça m’fait plaiz’ ; j’aime aussi la manière de mettre en valeur sa partenaire de RP Stanéria : le ton de la narration un poil narcissique est chouette, j’aurais p’t’être aimé qu’les allusions au manque d’oxygène soient saisies plus tôt, j’aime la manipulation du perso…. OK je retire pour le manque d’oxygène tout s’explique, j’suis bluffée ! Globalement : J’aime beaucoup le fait que les rôlistes se soient entendus pour fournir une aventure complète, Tanis est un perso hyper intéressant et c’est chouette qu’ils s’en soient servis de la sorte !
- Under the Moon et Ostium Tenebris:
Sofia : J’ai bien aimé le jeu de la maniaque de la propreté. Aidan : le vampire gentleman, l’adolescente en moi approuve. J’aime la chute aussi. Globalement : les univers se mélangent très bien, et j’aime l’histoire narrée.
- Terrae et Chronique d’Irydaë:
Adaryon : Un rythme très sympa dès le premier post, avec les “respire”. La plume est très chouette. J’aime les rôlistes qui mettent en avant leur partenaire. Pricie : deuxième fois que je découvre un terraen sur un interfo, ça craint, mais au moins j’suis toujours autant ravie de découvrir de jolies plumes chez nous. Par contre, j’ai l’impression que les réactions et connaissances de Pricie sont trop matures pour une enfant de 13 ans. Globalement : les deux plumes sont très chouettes mais je sais pas, il manque un truc pour dire qu’elles sont plus que la sommes des deux.
- Kobe High School et Madelle:
Mitsuki : j’aime le fait qu’elle pense à fuir avec le masque mais ne le fasse pas. Ellyn : La fin est propre, j’aime le fait qu’on ne sache pas ce qui arrive… Globalement : ce RP respecte bien la consigne, j’aime le fait qu’on sente la tension monter et qu’on voit les persos se résigner.
- La Sérénissime et Valoran’s Battlefront:
Globalement : j’prends plus le temps de vanter les qualités des deux rôlistes qu’on voit déjà depuis un petit paquet d’interfo. Ce RP leur ressemble, la violence de Thresh, les blagues douteuses de Sallustes. Ca rend bien.
- Esquisse et Métro:
Flavien : c’est l’un des rares esquisséens que je maitrise pas et que je découvre… Et j’espère qu’il y avait du dialogue hors RP parce que prendre le contrôle de son partoche ça fait partie des trucs qui me mettent hors de moi. Du coup dans l’doute j’peux pas profiter de la maitrise ++ de l’univers de Métro. Sergei : Faut vraiment qu’elle trouve une nounou pour Isaac. Les actions sont bien plus propres que sur le précédent interforum, on suit mieux les déplacements. Globalement : je l’attendais tellement ce RP, celui où les gens se battraient réellement pour leur masque. J’suis un peu déçue de la fin apportée par Varègue, après avoir tant galéré pour déplacer le rocher, il y arrive finalement au dernier moment… Par contre j’aime le fait qu’il parte sans se retourner, et faut vraiment que Sergy arrête de prendre si cher en interfo, sinon ça va devenir un running gag “oh mon dieu ils ont tué Sergei !”
- Ilukaan et SNK Rebirth:
Pidge : déjà merci, lire sur un fond clair pour moi c’est hyper agréable, ensuite l’écriture est agréable et on progresse bien dedans, j’aime les touches d’humour entre tirets ou parenthèses mais je ne comprends pas quelle est la différence d’usage entre les deux. “Les minutes irrespirables s’écoulaient” c’est juste la formulation parfaite ! Garet : outch, la présentation est très difficilement compréhensible, mais le RP l’est ! On voit la maîtrise de l’univers de Métro, l'amenée des éléments d’intrigue est chouette! Globalement : un RP plein d’action et sympa à lire, on est pou le coup totalement immergé dans les tunnels.
Epreuve 2
J’ai énormément de mal à faire un classement sur cette épreuve car tous les textes m’ont vraiment plus ! Merci :D - Terrae et La Sérénissime:
Mitsuki : 1 paragraphe et je suis déjà morte de rire, vla le potentiel… LA CHUTE MEUF. Elle est ouf ! Cataldo : j’aime le décalage, par contre le coup de la coppa alors qu’ils viennent chercher des vivres j’ai trouvé ça un peu étrange mais avec la fin apportée ça passe. Globalement : j’aime le ton de ce RP, léger, plein d’humour. Sa chute c’est du grand Mitsu, j’adore !
- Valoran’s Battlefront et Under The Moon:
Varus : le personnage inquiétant, narré par les réactions qu’il provoque presque plus que par ses actions, dans une écriture toujours propre. Lyssa : j’aime ce genre de narration qu’on ne trouve quasi que dans des RPs et des fanfics, ça dynamise et ça apporte un peu de légèreté. Globalement : ce qui me marque de ce RP c’est que malgré des styles TRÈS différents les rôlistes arrivent à raconter une histoire commune avec pas mal de rebondissements. C’est hyper agréable parce que chacun maîtrise extrêmement bien son style et que l’ensemble est plaisant.
- NanoRP et Chronique d’Irydaë:
Luna : +1 pour l’usage du mot circadien (pardon), j’aime la manière d’écrire on progresse facilement dans l’intrigue, c’est agréable ! D’ailleurs j’aime bien le côté rigide du soldat qui doit dealer avec une civile, c’est bien rendu. Luciole : Déjà ça fait plaisir de te revoir ! <3 La description de la fête foraine avec pleins de couleurs et de plantes est top ! Je reste perturbée par les passages de narration en je vers elle. Globalement : CETTE CHUTE LES GARS. Merci, j’m’y attendais pas et c’est ouf, et j’ai beaucoup aimé comment vos plûmes s’accordaient.
- Ostium Tenebris et Kobe High School:
Leana : ref à Monstre et Cie +1 ; le décalage ; la fin héroïque. Milan : La drague en combi de spationaute c’est drôle ! Globalement : Les deux styles se mêlent bien mais mais on sent que les rôlistes se sont fait avoir au piège du mini-RP et ont manqué de place pour amener la fin de ce RP, malgré tout ils en ont trouvé une chouette et cohérente.
- Métro et Damned Town:
Globalement : Pour ce Mini-RP traiter séparément les rôlistes ne fait pas sens, le mélange des univers est particulièrement réussi, chacun continue l’histoire plutôt que de simplement répondre à l’autre. Le rendu final est impec, et bref si j’étais un mini-RP qui marche j’voudrais être celui-ci.
- Madelle et Ilukaan:
Le Follet : un chaotique neutre, déjà la base de la base j’aime j’aime, j’aime même beaucoup ! Et ensuite il est bien joué et bien écrit, c’est très chouette ! Pis j’aime aussi la manière d’aborder le thème. Un très bon rythme de narration, de jolies descriptions, c'est un plaisir à lire. Bon et merci pour tes gentils mots sur Fyfy. :D Nazrim : Pas mal de fautes et des problèmes de construction de phrases qui alourdissent la lecture.. Cela étant j’adore l’adaptation faite de l’univers HP, les sorts choisis et leur utilité, j’ai beaucoup aimé les réactions du perso. Je suis pas full dispo en ce moment sinon je t’aurais proposé de revoir ensemble les fautes courantes et simples à corriger mais je suis certaine que tu trouveras quelqu’un qui acceptera de le faire en continuant à faire du RP (sinon à Terrae on a des gens cools viens nous voir à l’occase oui j’fais du placement de produit déso ) je pense que tu as énormément de qualités pour le rythme, l’apport d’éléments d’intrigue et de l’humour ! Il faut absolument que tu continues le RP et je suis persuadée que niveau en ortho et en grammaire grandira avec le nombre d’histoires que tu écriras. Globalement : je me suis régaler à lire ce RP.
- SNK Rebirth et Esquisse:
Erika : une écriture toujours aussi propre, désolée que tu tombes toujours sur les gens chelous d’Esquisse. J’ai l’impression que c’est à chaque fois mieux que la précédente et j’aime toujours énormément te lire ! Qu’est-ce qui est pire que les mutants de Metro ? Les mutants de Métro croisés aveec les titans de SNK ! Crevette : du grand Crevette dès le premier post jpp tellement je rigole.C’est violent, abrupt et tellement décalé par rapport à la jeunesse apparente du perso. Globalement : J’ai vraiment adoré ce RP qui ne néglige ni l’action ni les interactions entre les persos. Merci.
Épreuve 4
J’y ai participé en tant qu’Afya (beaucoup trop de persos jpp) et j’ai eu beaucoup de mal à l’écrire, du coup j’vous dis bravo à tous parce que tous les textes étaient chouettes et personnels et que j’vous ai trop trouvé tops et pleins d’imagination là où j’en manquais. - Andreï pour Métro:
Les + : la douceur de la première partie. Une plume efficace. Les - : j'ai eu du mal à saisir tout l'enjeu de la situation. Quelles sont les factions ? :/ Au total : Mitigée. Vu que le sujet est fait pour les rats de Métro j'm'attendais à du très bon et j'ai que du bon. #jesaispascommentleformuler
- Mina pour Ostium Tenebris:
Les + : les descriptions ++ , l'humour, le choix des mots, la plume jpp. Les - : Peut-être que ça manque de foule en colère. Au total : j'ai énormément aimé. Le vocabulaire est chouette et chaque mot à du sens et c’est hyper agréable à lire. Tout est imagé. Un régal.
- Mey pour Chronique d'Irydae:
Les + : la chute, les changements de rythme. Les - : c'est un peu déroutant à la première lecture. Au total : j'aime bien, surtout la manière de gagner du temps qui est très joliment écrite.
- Danika pour la Nouvelle Avalon:
Les + : on comprend bien la situation qui est totalement adaptée à l'univers de NA. Les - : des petites fautes Au total : J'aime bien le texte et la situation narrée ; je pense que le discours de Danika n'est pas apaisant et très clivant, il convient très bien à une militaire.
- Sofia pour Under The Moon:
Les + : la mise en scène et la manière d’amener le sujet +++ Les - : au final il n’y a pas vraiment de plaidoyer Au total : J’aime bien ce texte car il sort de ce que l’on demande tout en restant dedans. Personnellement, j’aurais préféré que le premier paragraphe soit explicité dans la présentation pour que la rencontre avec le juge soit plus développée car c’est réellement ça qui m’a plu dans ce texte. PS : j’ai voté coupable, car un grand pouvoir entraîne des grandes responsabilités. #masteràTerraedéso
- Savina pour La Sérénissime:
Les + : le choix d’opposer une comtesse du 15e siècle et des communistes . Les - : des fautes Au total : Je trouve la chute un peu facile, j’aurais aimé plus de challenge, le fait que l’opposition ne soit pas plus développée me laisse un peu sur ma faim mais j’aime beaucoup le contexte.
- Silivren pour Nano RP:
Les + : l’univers, le perso, la plume, le travail des vers. Les - : j’me perds un peu dedans. Au total : J’ai un peu de mal à rentrer dans le texte bien que je me rende compte qu’il est immensément travaillé. J’ai l’impression qu’il me faudra encore plusieurs lectures pour tout comprendre tant il est riche.
- Kaoren pour Esquisse:
Les + : 4e mur cassé, le style, la plume. Les - : j’pense que j’ai tout compris parce que je connais le style esquisséen. Au total : Bon, moi j’adore, je kiffe, je surkiffe, j’aime la morale et tout et tout. Seulement j’suis clairement parti pris, je dirais qu’en restant dans ton style contemplatif ce texte me touche plus que les précédents que j’ai lu de toi. Et non j’veux pas d’un exaequo avec toi, parce que malgré que j’aime énormément ton texte (et que je soies très flattée de ton commentaire) je pense qu’il y a des textes merveilleux dans cette épreuve qui nous supplantent tout deux (okay j’ai tiré à pile ou face pour départager mes 5 préférés d’accord ? On juge pas !)
- Casey pour Damned Town:
Les + : le fond, que l’ange soit plus égoïste que le démon. Les - : changement de voie de narration entre le premier et le 2e paragraphe, des fautes Au total : J’aime le fond, mais pas la forme, les couleurs de Phillipe et Casey sont un peu trop proches et j’me perdais au début. Je pense que ce texte aurait eu besoin d’une relecture de plus pour être pleinement abouti mais il possède tout pour être agréable.
- Irène de SNK Rebirth:
Les + : l’intégration à l’univers de Métro ++ Les - : // Au total : j’aime bien la légèreté du texte, la manipulation, que l’effet d’une parole soit le contraire de ce que demandent ses mots.
- Winter pour Madelle:
Les + : l’impertinence du perso, la plume Les - : // Au total : Bon il y a des textes ou je saurais pas expliquer pourquoi mais la magie opère, je sais pas si c’est dans la manière d’écrire ou dans le thème mais j’me suis retrouvée happée dedans et j’ai adoré.
- Edel pour Ilukaan:
Les + : C’est subjectif mais j’aime les petits paragraphes qui me permettent de bien lire sur un ordi et j’aime bien les fins où le héros ne gagne pas. Les - : quelques fautes. Au total : J’aime bien ce texte où l’on arrive à entrer dans l’UA d’Ilukaan-Métro sans soucis.
- Yoligan pour RPG Rebirth:
Les + : J’ai aimé la mise en situation, la conférence de presse. Les - : de très longs paragraphes. Au total : Je crois que je n’ai pas compris tous les enjeux du discours et que je me suis perdue dans les paroles du protagoniste.
- Neil pour Kobe High School:
Les + : Un bon rythme donné par de nombreuses virgules, l’écriture au présent qui donne de la spontanéité, le tout pour un texte dynamique. CETTE CHUTE. Les - : J’cherche encore. Au total : OK. J’me remets pas de la chute, le texte est plaisant à lire et CETTE CHUTE. Voilà. BREF.
- Sona pour Valoran's Battlefront:
Les + : le texte se lit avec aisance, j'ai beaucoup aimé le discours silencieux. Les - : // Au total : J’ai réussi à apprécier le texte alors que je recevais des nouvelles dégueux, j’pense qu’je peux dire qu’il est bon.
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| Sam 28 Mar - 20:25 Bonsoir à tous les commentateurs (et à tous les champions de cet interforum aussi !) Ici Ithen de Damned Town, je ne viens pas pour déposer de commentaires (j'ai bien souvent de gros coups de cœur autour desquels je blablaterais bien trop --"), mais plutôt pour remercier de toute la force de mon petit cœur les lecteurs qui ont pris le temps de se pencher sur mon texte. J'ai mis un temps fou avant de venir zyeuter ce coin là de l'interforum et toute cette bienveillance redonne du courage pendant cette période de lecture/vote ! Je voulais également éclaircir un peu les coins d'ombre de mon texte qui ont pu poser problème à Sona, de chez Valoran's Battlefront (si jamais tu repasses par ici :D). Ayant posté juste avant minuit, je n'ai pas pris autant de temps que je l'aurais voulu pour apporter les explications nécessaires, surtout du côté des références que j'ai pu faire au contexte du forum. Je viens me rattraper ! Je dépose le contexte ici pour plus de clarté dans mes propos, j'ai un don pour m'emmêler les pinceaux... : Paradis, Enfers, Terre, tout est réalité. Damned Town est une ville immense, perdue quelque part on ne sait où. Les humains qui commettent un péché s'y réveillent, comme après un long sommeil, aux pieds des marches de la Mairie, recouverts d'une petite couverture. Les déchus, exclus de leurs terres d'origines, y sont envoyés pour s'y racheter. De par la présence de la reine des anges, Haelyn, et d'un roi démon, Dragon, les anges et les démons cohabitent avec tout ce petit monde dans la ville, se livrant une guerre ouverte, sans violence, car interdite, mais sans merci. Des lois restreignent les actes des habitants, notamment pour éviter que les divins ne s'entretuent et ne blessent les humains dans cette lutte. Il est ainsi interdit à quiconque de mourir ou de se livrer publiquement bataille au sein de la cité. J'ai lu dans la plupart des textes de la troisième épreuve que la violence était souvent présente mais, dans mon cas, j'ai préféré l'éviter pour coller aux lois de Damned Town : Baba Yaga ne pouvait pas menacer mon personnage de le faire souffrir ou de le tuer puisque ça lui était tout simplement interdit. J'ai cherché à le faire comprendre dans mon texte, sûrement de façon maladroite, en parlant notamment de cette fameuse fontaine : en explorant les mythes de Baba Yaga, j'ai appris que notre ogresse se considérait comme la gardienne d'une fontaine de la vie et de la mort, et je me suis dit qu'explorer ce côté pouvait être intéressant à aborder dans mon texte. J'ai donc décrit le bassin comme étant brisé pour symboliser l'impossibilité de la mort à exercer son emprise à Damned Town. J'espère ne pas t'avoir plus perdu.e avec mes explications, j'ai beau me comprendre je sais que ce n'est pas toujours évident de suivre le fil de ma pensée :D Beaucoup de cookies et de courage à tout le monde pour surmonter le marathon de lecture <3 |
| Sam 28 Mar - 20:29 Bonjour à tous ! Pour la première fois de ma vie, je vais poster ici. Parce que jusqu'à maintenant, j'ai toujours été une fervente lectrice des Interfos, mais je me contentais d'aller faire mon top dans mon coin, et de venir ici voir ce que les gens pensaient des textes de nos Terraens. Alors du coup, aujourd'hui est un sacré grand jour, puisque je vais enfin partager ça au monde entier aux participants de l'interfo, qui ont bien le droit de savoir ce que j'ai un peu pensé de mes lectures ! En tant que participante aux épreuves, vous m'avez probablement déjà croisée en tant que Mitsuki, Allen ou Hideko, toujours pour Terrae. #pasassezd'uneviepourallersurd'autresforums Il me reste l'épreuve 6 à lire, et j'en suis désolée (je n'arrive pas à trouver le courage ). Je vais essayer de faire de mon mieux pour être à la hauteur de tous ces commentateurs super doués. Evidemment, je le précise, mais mon avis compte pour... mon avis. Il n'est représentatif de rien, et n'engage que moi. EPREUVE 1 : - KHS + MA:
J'ai trouvé ce RP très doux. La relation qui naît entre les deux filles, et le sacrifice que se sent obligée de faire Mitsuki m'ont émue. La fin est agréable parce qu'elle reste "ouverte", bien qu'on devine malgré tout qu'aucune des deux ne s'en sortira.
- LS + VB:
J'avoue avoir eu un peu de mal à trouver une synergie entre les deux personnages. Toutefois, la fin est agréable, nous faisant nous questionner pour comprendre ce qu'il s'est véritablement passé ce "jour-là". Et puis, d'une façon générale, j'aime énormément le personnage de Thresh, peu importe l'épreuve à laquelle il participe. #vendue
- UTM + OT:
J'ai énormément apprécié l'ouverture de Sofia, petite maniaque, qui estime que se dépoussiérer un peu est nettement plus urgent que chercher à sortir d'ici pour échapper au danger que représente le gaz... La présence d'Aidan est vraiment top, et j'aime beaucoup l'évolution de la relation entre les deux personnage. C'était un RP très agréable à lire, que je vous remercie pour ça !
- ES + ME :
Avant de commencer à donner mon avis, je tiens à signaler que j'aime particulièrement le personnage de Sergueï, et je prends toujours beaucoup de plaisir à le retrouver à chaque interfo. Ceci fait, j'annonce que j'ai beaucoup apprécié la lecture de ce RP, dans le sens où... Bon dieu, mais d'après le sujet, je pensais que tout le monde allait se taper dessus, et en fait, c'est le seul RP où ça se passe ?! Clairement, ça m'a changé des autres textes (qui n'en sont pas pour autant moins bien !). Malheureusement, il y a parfois des moments où j'ai trouvé que les deux personnages n'avaient pas réussi à trouver de synergie, et ça m'a rendue un peu triste, parce que je m'attendais à plus.
- CI + TE :
Enorme coup de coeur sur ce binôme (comment ça j'suis pas objective). J'ai trouvé l'écart entre les deux personnages très attachant, et surtout la tonalité du RP terriblement douce, malgré la dangerosité des tunnels, les actions super risquées qui sont fait, les risques encourus... C'était très attendrissant de voir que des deux côtés, les personnages savaient qu'ils n'oublieraient jamais cette aventure.
- DT + NRP :
Une évolution du RP et une chute exceptionnelle. Plus je lisais, plus je me demandais comment ça allait finir, et cette chute ! Ce texte est mon coup de coeur de l'épreuve, d'autant que les deux partis sont superbes, tellement bien joués, et le scénario tient incroyablement bien la route. Merci pour cette lecture !
- IL + SNK :
SNK - remplacé par un joueur amical, non ? Bref. J'ai beaucoup aimé lire cette épreuve, alors que lorsqu'elle a été lancée, assez tardivement, je me suis dit "oh mon dieu ils ne pourront jamais finir !!". Ce qui m'a le plus plu, c'est probablement cette sensation du danger qui arrive, qui se rapproche, et la tension qui monte crescendo dans les tunnels alors que les toiles d'araignées de multiplient. Encore une lecture très agréable. J'ai d'ailleurs beaucoup aimé la relation qui naît entre les personnages, au fur et à mesure de l'avancée dans les tunnels.
EPREUVE 2 : - NRP + CI :
J'ai adoré lire ce RP, pour l'étrange raison qu'il m'a perdue complètement. L'ayant lu au fur et à mesure des posts qui tombaient, je ne pouvais pas m'empêcher de me poser sans cesse un milliard de questions, cherchant à comprendre ce qui n'allait pas, simplement parce que je sentais que quelque chose n'allait pas. La prestation de Ludmilia m'a vendue du rêve, et le bond dans le temps de Maksim a achevé de me faire rêver. Merci, merci pour cette lecture parce que j'ai vraiment passé un moment superbe.
- OT + KHS :
Un duo parfait. J'ai adoré l'ambiance générale du RP, les piques qu'ils se lancent, l'avancée dans l'aventure, les blagues et les points d'appuis de leur monde d'origine. C'était vraiment un chouette moment de lecture (même si la fin non merci jpp il faut que je lise la fin alternative...). Une super synergie entre les personnages, merci !
- MA + IL :
Dès le début de la lecture, j'ai tout de suite accrocher au personnage du Follet, que je trouve excellent dans tout ce qu'il est d'instinctif. Le passage où son partenaire, Nazrim, sert d'appât m'a littéralement fait mourir de rire, tant j'imaginais la scène avec toute la désinvolture et le manque d'envie dont pouvait faire preuve Nazrim. C'était une lecture très agréable, une fois encore, et j'ai bien aimé comment la mission avait été détournée simplement pour les besoins sanguinaires du Follet...
- ME + DT :
Tout d'abord, j'ai beaucoup aimé la manière dont les joueurs ont réussi à mélanger leurs univers sans que rien ne pose le moindre problème. La mission m'a parfois un peu perdue dans les déplacements, mais l'arrivée progressive du thème des Sombres, pour amener à cette chute terriblement douce (quoique si réaliste), m'a beaucoup plu. J'aime beaucoup trop quand tout rentre dans l'ordre et que des gens qui se sont toujours fait la guerre s'expliquent enfin-
- SNK + ES :
La mise en bouche d'Erika m'a d'emblée plongée dans la lecture (quelle idée de faire ce genre de pari pourri aussi). J'ai beaucoup aimé imaginer les personnages se déplacer dans les airs comme ça, tout comme j'ai aimé le duo si opposé et qui pourtant fonctionnait si bien ensemble. C'était un véritable plaisir de retrouver une Kri toujours aussi vénère, avec une Erika au début moqueuse puis après surtout désabusée par la petite fille. Merci pour cette lecture !
- VB + UTM :
L'entrée dans le thème de Varus change complètement des autres RPs. J'ai beaucoup aimé ce décalage, et cette sensation, au début du RP, de doute et d'incertitude : est-ce que cette chose qui rôde, Varus, donc, est un ennemi ? C'était vraiment une chouette lecture, et Lyssa qui se jette sur la bête pour la manger m'a bien fait rire tant j'ai imaginé la réaction de Varus dans ma tête à ce moment-là.
EPREUVE 3 : - UTM:
J'ai beaucoup aimé la question qu'elle lui pose pour réussir, enfin, à reprendre le contrôle de la situation. C'était bien trouvé, et comme je n'avais absolument pas réfléchi à la question vu que je ne participais pas à l'épreuve, j'ai trouvé que c'était une bonne entrée en matière pour placer le niveau pour la suite des textes !
- VB:
Vous l'aurez compris, mais en tant que joueur de LoL j'ai toujours autant un faible pour les membres de VB (surtout qu'ils ont tous une superbe plume, quand même). De fait, une fois n'est pas coutume, la participation de VB m'a particulièrement plus, surtout dans la facilité que j'ai eu à imaginer les personnes qui tombaient autour de Swain suite aux questions de la sorcière. La stratégie menée par Swain tout au long du récit m'a prise, et pourtant, j'ai eu tellement de mal à l'imaginer tordre le cou de son corbeau djfoieh. Une lecture que j'ai beaucoup apprécié, merci !
- AVA:
Un texte que j'ai un peu moins apprécié que les autres, bien que la morale de l'histoire soit très douce pour le personnage ; la rencontre avec Baba Yaga va permettre à l'héroïne de faire une introspection et de comprendre où elle en est maintenant, elle, sur sa vie, ce qui l'aidera à l'accepter complètement.
- SNK:
Un beau début in medias res comme je les aime tant. La scène de bagarre entre Baba Yaga et l'héroïne est terriblement bien décrite, et j'arrivais parfaitement à me représenter le combat. J'ai trouvé ce texte différent des autres, et c'est probablement ce qui m'a le plus plu ici, avec un visage de la sorcière que je n'avais pas encore envisagé.
- KHS:
J'ai bien aimé le fait que la sorcière cherche un petit moment la bonne langue avant de pouvoir engager la conversation. Le crescendo dans les questions, qui deviennent de plus en plus glauques et dérangeantes m'a pris au jeu.
- Metro:
Le début du texte m'a beaucoup plu, à imaginer ce personnage en "madame Irma". Malheureusement, je n'ai pas réussi à percevoir toute la profondeur du texte, n'étant pas familière du personnage et ne connaissant pas son background. Même si je trouve ça très bien amené et propice à la situation.
- ILK:
J'espère ne pas être la seule à avoir assimiler notre Baba Yaga à Bellatrix Lestrange, parce que tout du long, c'est elle que je voyais dans ses gestes, ses paroles, sa folie. J'ai trouvé le texte très bien écrit, avec un ryhme agréable, qui m'a donc permis une lecture très fluide ! Très belle adaptation du thème dans le contexte de HP, merci !
- Irydae :
Un gros, gros coup de coeur pour la chute, qui donne clôt le texte pour mieux nous donner envie de le relire, encore et encore... Une boucle sans fin, bien pensée, qui m'a fait rêvé.
- Cosmin:
Heu, juste, je souligne, c'était un enfant omfg mais j'm'en remets toujours PAS. J'ai été traumatisée. L'apparition de Baba Yaga est terrifiante, que ce soit quand elle arrive, ou disparaît dans l'ombre... Sous entendant la défaite de l'enfant au jeu qu'elle a lancé. Horrible.
- Te:
J'ai adoré le personnage d'Elizabeth, comme d'hab, adoré de quelles manières elle parvient à se débarrasser de la sorcière en parlant parlant parlant (mais jpp) et j'ai adoré la fin où elle dit que les adultes ne comprennent, définitivement, jamais rien. MERCI pour cette lecture !
- Es:
Le jugement du personnage, du début à la fin, envers la sorcière est fabuleux, et la chute l'est encore plus, en plus d'être terriblement originale. MERCI.
- LS:
Originale, l'idée de faire boire la vieille femme pour s'en débarrasser ! C'était bien trouvé, et ça mérite d'être relevé !
- NRP:
Merci, merci pour le clin d'oeil au précédent interfo avec l'oeuf, j'ai tellement ri. J'ai beaucoup aimé la confrontation du dragon-chouette avec la sorcière, ainsi que sa fuite à la fin quand il se retrouve piégé, alors qu'il avait tout mis en oeuvre, en amont, pour la piéger elle, normalement... J'ai beaucoup aimé lire ce texte, c'était vraiment top ! (et en même temps, à chaque participation de l'interfo, j'aime ces textes et je suis toujours aussi heureuse de retrouver ce dragon-chouette, alors merci)
- DT :
La liberté avant tout. J'ai aimé cette détermination chez l'enfant, qui ne sera jamais capable de choisir autre chose que la liberté, peu importe le choix qui lui est proposé.
EPREUVE 4 : (je tiens à préciser que mon avis pour cette épreuve n'est absolument pas à prendre en compte, compte tenu de la difficulté que j'ai éprouvé à lire cette épreuve... Le thème ne m'a vraiment, vraiment pas inspirée, et j'en suis terriblement désolée, vraiment) - Metro:
Un discours d'encouragement pour motiver les troupes, qui trouve totalement sa place dans le sujet.
- OT:
J'ai beaucoup aimé la narration, que j'ai trouvé fluide et agréable à lire. Le retournement de situation m'a prise dans la lecture, et c'était sympa.
- Irydaë:
Un gros + pour ce discours qui n'en est pas un. A quel moment le personnage principal en place vraiment une ? On ne lui en laisse pas la possibilité, et la chute est alors grandiose. J'ai beaucoup aimé lire ce texte.
- AVA:
Avec un franc parler et un ton qui n'appelle pas de réponse, l'héroïne parvient à remettre en place la foule en colère. Le thème appelait ce genre de réponse, alors j'ai eu un peu de mal à me mettre dedans, j'en suis vraiment désolée, parce qu'outre le thème, le texte est bien écrit et se laisse facilement lire.
- UTM:
Sofia, personnage déjà découvert dans l'épreuve 1, que j'ai pris plaisir à découvrir encore davantage dans cette épreuve. J'ai beaucoup aimé la fin, avec la révélation du Juge qui n'est autre qu'elle même.
- LS:
L'argumentaire est bien écrit et bien tourné, mais j'ai eu un peu de mal à entrer dans le texte tout simplement parce que le ton pris par le personnage (qui toutefois lui correspond et est là pour une raison !) est terriblement condescendant, et me met personnellement, moi, mal à l'aise. Je souligne toutefois, encore, que le personnage est totalement dans son rôle !
- NRP:
Un texte très bien écrit, aux tournures qui m'ont toutefois un peu perdue par moment (mais je pense que j'étais sans doute surtout fatiguée, et j'en suis terriblement désolée). Les mots sont bien choisi et les sortilèges sont prenants.
- Terrae:
Je te l'ai déjà dit, mais j'ai adoré, vraiment, ce que tu as proposé avec Afya pour cette épreuve, Afya qui était le meilleur personnage de tout Terrae pour répondre au thème. C'était très beau, très doux, j'étais complètement transportée dans ma lecture. Un grand merci pour ce partage.
- DT:
Un texte qui répond aux exigences de l'épreuve, et malgré cette métaphore du mauvais diable qui essaie de détruire l'argumentaire, le discours a son petit effet.
- Es:
Là, j'ai la mega grosse pression parce que je commente un texte de celui que je vois toujours faire des commentaires de 10 km de long, avec une analyse terriblement pertinente des textes, alors que moi je me contente de lire et de dire "j'aime bien" "j'aime pas" lol. Du coup, j'arriverais pas à faire mieux quand même, mais j'ai trouvé le texte très beau et très bien écrit, même si certaines choses m'ont, malheureusement, échappées dans la lecture et m'ont empêché de parfois tout comprendre. C'était tout de même très agréable à lire, et je préfère arrêter mon commentaire maintenant parce que j'ai beaucoup trop peur de dire une bêtise mdr.
- SNK:
Le thème est assez rigolo dans le sens où il paraît bien plus léger que tous les autres abordés (c'est en tout cas comme ça que je l'ai ressenti) : on a une foule en délire qui réclame son dû suite à un "empoisonnement" aux... champignons hallucinogènes haha. C'était agréable à lire, et la femme répond bien au thème de l'épreuve.
- Madelle:
J'ai énormément aimé lire ce texte, bien que je regrette sa présentation qui aurait mérité plus de sauts de ligne pour le confort des yeux. Mais l'idée est là, j'ai été prise dans le jeu lorsque le personnage commence à inventer un bobard plus gros que lui, et c'était vraiment sympa.
- ILK:
La sorcière, au cachot, va faire ce qu'elle peut avec ce qu'elle a. J'aime l'idée que le discours soit finalement vain, bien qu'elle ait fait tous les efforts du monde pour réussir à s'en sortir.
- RPG Rebirth:
Si j'ai bien compris, ce n'est cette fois plus un discours de défense, mais bien le discours de celui qui accuse, et pointe du doigt ce qui ne va pas, et ce qui m'a donc plus dans sa capacité à s'approprier le thème pour le plier à son idée.
- KHS:
Le texte est bien écrit, et j'ai été prise assez rapidement dans le feu de l'action. La chute m'a toutefois rendue un peu triste, parce que je pense que j'aurais préféré que le protagoniste s'en sorte indemne. Etait-il vraiment obligé d'y laisser la vie, bien que le sacrifice soit un geste terriblement fort ?
- VB:
Le texte qui m'a probablement le plus plu. Ce qui m'a le plus "repoussée" dans cette épreuve, c'est l'aspect discours, le monologue du héros qui fait valoir sa parole dans une situation choisie par celui qui décide de raconter l'histoire. Et là, nous avons un personnage muet. Un personnage qui ne pourra pas parler. Un personnage qui ne pourra pas faire de discours. Et pour ça, je te remercie, parce que tu as terriblement bien terminé cette épreuve. Un silence vaut parfois mille fois plus que le plus grand des discours...
EPREUVE 5 : (et je crois que j'en peux plus d'écrire mes commentaires depuis 2h, pour qu'en plus ils soient d'une qualité médiocre - mais bon, là c'est l'épreuve 5, et contrairement à l'épreuve 4, j'ai beaucoup aimé la lire) - Iry:
J'ai A-DO-RE lire ce texte, et me laisser balader par le narrateur. La façon qu'il a de juger son propre personnage est magique, et la chute m'a vraiment fait rire, c'était une superbe lecture !
- NRP:
J'ai trouvé l'aventure des spaghettis à la bolognese vraiment top. Malgré la simplicité de la "création", il y a comme une véritable quête qui se met en place, avec des tas de choses à récupérer ici et là, et finalement, la simple réalisation de pâtes à la sauce devient une véritable mission remplie de péripétie ! Le ton pour raconter l'histoire est agréable et les intonations italiennes rythment parfaitement la lecture.
- DT:
J'ai adoré la présentation du texte et donc du personnage sous la forme d'un texte de théâtre, ce que je trouve particulièrement original. Le personnage semble être vraiment quelqu'un de haut en couleur, et j'aime le rythme donné par la "chaussette" pour faire acheter le produit aux pauvres pigeons qui écoutent (ou non) le discours. C'était vraiment sympa à lire, et pour le coup, j'aurais adoré voir le potentiel de ce personnage dans l'épreuve 4 !!
- OT:
Imaginer le monde créé par le personnage principal m'a vendu du rêve, alors merci. Et clairement, j'imaginais très bien les gens qui ont fini par saturer des couleurs. C'était vraiment une bonne lecture.
- UTM:
En quelques mots, le vampire se... vend. Et j'ai trouvé ça très beau. Et très drôle, dans son ironie. Un très bon texte que je valide !
- KHS:
Alors là, j'ai juste été beaucoup trop émue par cette "création" si simple que fait l'héroïne, et pourtant si... réaliste. C'est vraiment tout ce dont on a besoin, et je trouve qu'elle a tellement sa place dans le contexte de l'épreuve.
- Te:
J't'ai déjà dit que j'trouvais juste ça horrible, comme la vie de Tiago est horrible, comme juste jpp qu'il soit toujours dans des histoires horribles, et comme PTN Mais même à Métro y'a rien qui va et il TUE DES GENS JPP CEST PAS UNE VIE CA
- SNK:
Je valide ce texte juste pour le "Ton père a volé toutes les étoiles du monde pour les mettre dans tes yeux." Merci.
- Me:
La j'valide juste parce que la création c'est le... Savon. Mais jpp. Juste, jpp. C'était beaucoup trop beau.
- VB:
Qu'est-ce que j'ai imaginé Olaf se foutre de sa gueule après l'échec de sa création et le "non" de son ours, c'était beau. Merci.
Et si j'ai oublié des textes, je suis vraiment, vraiment désolée, j'ai vraiment essayé de faire au mieux ! Si un jour je trouve le temps (et surtout le courage) de lire l'épreuve 6 avant la fin des votes, je vous partagerai à nouveau mes votes... Mais j'avoue que le thème, comme pour la 4, m'emballe très peu, et repousse ma lecture :( (je suis naze je sais) En tout cas, j'espère que mes commentaires feront des heureux, parce qu'après tout pourquoi les partager sinon... Et une fois encore, mon avis n'engage que moi. Merci à Metro pour cette nouvelle occasion de tous se retrouver ! |
| Sam 28 Mar - 21:52 Bonjour à vous ! Pas de commentaire de ma part, avec le télétravail d'enseignant, je n'ai vraiment pas eu le courage. J'avais juste besoin de faire un retour sur les commentaires de mes textes.
Je voulais déjà vivement remercier ceux qui ont pris le temps de commenter mes textes. Le Follet, ton commentaire sur le texte de Viholvä m'a rendue les joues aussi rouge que la flamboyance dont il est si fier. Merci ! <3
Je sais pourtant que ce personnage est complexe, et vous êtes nombreux à me faire part d'une certaine dose d'incompréhension, et j'espère quand même que la lecture a été agréable. Il se peut que je m'amuse trop avec ce personnage car j'aime notre langue française, il est tout indiqué pour jouer avec, et ne fais en définitive que rendre plus compliqué un personnage déjà fort complexe.
Je voulais plutôt revenir sur le texte de Rosario. Déjà, sans aucune vexation de ma part, il n'y a pas de cliché dans ce texte. Ou alors, ma vie, mon héritage sicilien, est un cliché en lui-même. Ma grand-mère sicilienne m'a dit, rien que cette semaine, d'un ton solennel, grave, que c'était problématique que mon stock de parmesan chute aussi rapidement car il est, et je reprends ses mots, "l'Ingrédient de notre cuisine". Ayant encore en tête l'interforum et mon texte, j'ai bien rigolé en aparté.
La cuisine n'est pas une invention simple, pas pour moi. Pas pour cette vision que j'en ai hérité de mes racines siciliennes. Pas quand j'ai connu, toute mon enfance, l'amour de ma grand-mère dans ses plats. Pas quand, adulte et vivant désormais seule, j'ai à mon tour appris à cuisiner, à réellement cuisiner, pour retrouver les saveurs de mon enfance et cet amour que j'y percevais. Les nanites pourront vous le témoigner, cette quête du parmesan, je leur ai rabattu les oreilles sur notre discord plus d'une fois (et celle de l'encre de seiche introuvable à Halloween, quelle horreur).
Alors, non, réaliser des pâtes à la sauce n'est pas simple. Pas dans cette cuisine. Parce qu'une sauce à l'italienne, ça se prépare avec du temps, avec de l'attention, avec de l'amour. Avec l'idée, derrière, de faire plaisir à ceux qui vont les manger. Parce qu'une sauce à l'italienne, c'est tout un héritage de savoir-faire, de famiglia, d'amour encore une fois, et c'est aussi le rappel du soleil, des cigales et de l'accent chantant. Neil de KHS a senti ce que je voulais vous transmettre en ces temps troublés, à défaut de pouvoir offrir ma cuisine.
Maintenant que j'y pense, j'aurai peut-être dû expliquer ce point plus longuement dans mon HRP. Choisir la cuisine italienne n'a pas été anodin pour moi, même si j'ai axé mon texte sur de l'humour, dans l'objectif de faire rire et d'offrir de la joie au son de la Tarantelle ~. |
| Dim 29 Mar - 14:04 Bon, avant toute chose, je tiens à remercier ceux et celles qui m’ont remercié pour mon commentaire, parce que ça fait plaisir de faire plaisir, aussi vrai que c’est redondant d’être redondant. Et je savais absolument pas qu’Afya était jouée par notre Piu internationale, je précise avant qu’on aille me poursuivre pour favoritisme. Surtout qu’avec les deux podiums que j’ai filés à Silivren à côté de ça, ça va pas s’arranger.Je tiens également à remercier ceux qui ont commenté mon texte, parce qu’avec tout ça, j’en viens presque à oublier que j’en ai écrit un. Merci Lunatique, qui me rends même hommage en ajoutant une citation dans ton commentaire ! Merci Piu’, que j’aurais d’ailleurs dû remercier au paragraphe précédent ! Et merci Mitsu’, tant pour le compliment sur mes analyses "terriblement pertinentes" que celui sur mon texte de concours ! (Et t’en fais pas si tes commentaires sont moins fournis, je le dis et le répète, mais le plus important reste de rassembler un maximum d’avis. Toutes mes analyses partent d’un sentiment du genre "c’est agréable à lire" ou "c’est beau", le reste, c’est du luxe, même si ça a tendance à devenir une drogue dans mon cas.) Ceci étant, me voici de retour pour l’épreuve 5 ! Et j’aime autant vous le dire tout de suite, je vais avoir beaucoup de mal à la commenter. Quand j’ai commencé à lire l’épreuve, avec la participation d’Irydaë, j’en suis sorti avec le sentiment que c’était excellent, globalement très drôle, mais j’ai beaucoup de mal à décortiquer l’humour et j’ai pas réussi à en tirer une citation à commenter, même pour parler du texte entier. Alors j’ai enchaîné avec la participation de Nano RP, rebelote. Alors j’ai enchaîné avec celle de la Sérénissime, dix de der. Alors j’ai enchaîné avec celle de Damned Town, et… y’aurait quoi après dix de der ? Bref, tout ça pour dire que j’ai trouvé un certain nombre de participations géniales, mais j’ai beaucoup plus de mal à saisir pourquoi. Enfin, je sais pourquoi, c’est parce qu’elles sont drôles. Mais je sais pas pourquoi. Et des cinq personnes que j’ai mises sur mon podium – parce que chez Esquisse, on en met cinq pour départager les ex-aequo, une technique qu’on a sournoisement piquée à Madelle, que je remercie – seules deux apparaîtront dans ce commentaire. Du coup, si vous voulez en savoir plus, vous pouvez aussi aller stalker notre sujet de votes sur Esquisse. Moi, je suis le p’tit lapin blanc.Mais trêve d’excuses, car je n’ai pas prévu pour autant de vous laisser repartir sans une bonne dose de gros pavés explicatifs pour expliquer la position d’une virgule dans la phrase d’un tel ! Alors, comme d’habitude, spoiler alert – même si à ce stade, vous devez avoir lu la plupart des textes que vous vouliez lire, je rappelle que les votes se terminent dans trois jours – et on est partis ! PS : Oui, cette fois, j’ai mis des spoilers. D’habitude, vu que je parle de phrases plutôt que de textes, j’aime pas trop laisser voir en un coup d’œil la liste des textes dont j’ai parlé pour pas laisser un a priori sur mon avis global, surtout qu’il a des chances d’être assez faux comme mentionné plus tôt. Mais là, avec tout le monde qui met des spoilers, j’ai un peu peur de m’imposer en prenant la moitié de l’espace du sujet. Et en plus, je réalise que ça me permet d'espacer un peu mes commentaires en sautant une ligne entre les paragraphes sans scinder la forme. Donc j'essaie, et vae victis. Ça n'a rien à faire dans le contexte, mais ça rend bien.
- Liam (OT):
« C’est ce que j’ai cru au début. Mais ça m’a fait sourire. » - Liam (OT)
Cette phrase m’a fait sourire. Voilà, ça c’est fait.
Déjà, j’ai bien aimé l’idée du texte de Liam, qui est de considérer que la seule machine capable de sortir les survivants du Metro de leur situation infecte, c’est une machine à redonner un peu de joie de vivre. Alors, vous me direz, on retrouve un peu ça chez Joy de Kobe et Kate de Shingeki, maiiis je les avais pas encore lus vu qu’ils ont été postés plus tard. Et en soi, c’est une idée qui peut être développée d’un tas de façons, ça m’aurait d’ailleurs pas déplu de lire d’autres participations sur le même thème.
Maintenant, la petite touche qui m’a particulièrement plu dans la version de Liam, c’est cette phrase. J’en trouve le ton vraiment parfait. Le fait qu’on soit dans une situation grave et surtout terriblement sérieuse fait totalement détoner la réplique de Liam, dont la formulation "ça m’a fait sourire" est beaucoup plus légère, typiquement de celles qu’on réserve à une blague à peine drôle ou une curiosité sans grand intérêt. J’imagine presque un mathématicien qui se satisfait de découvrir une corrélation entre le nombre d’or et la suite de Fibonacci pendant que des mutants frappent à sa porte. En un sens, Liam paraît effectivement un peu fou, le genre avec un sens des priorités douteux dans une situation qui ne le permet pas. De fait, on n’a pas vraiment de mal à appréhender la réaction de son intendant. Et quand on réalise que l’idée de Liam est justement de faire sourire – ce qu’on comprend d’ailleurs avant de vraiment connaître son moyen de le faire – il reste un peu de cet a priori. L’idée est en dehors de toute forme de réalité, comme peut l’être un savant à côté de la plaque comme l’apparaît Liam, et elle ne semble même pas portée par un idéalisme fervent ou quelque force du genre. Au mieux, elle fait sourire, quoi. Et ça donne au tout un ressenti à la fois naturel et un peu dément, qui annonce l’ambiance de la fin du texte.
- Isolde (ES):
« Isolde revint à son invention et continua son discours, sa tentative de recréer les ponts qu’elle avait elle-même brisés. » - Isolde (ES)
Un premier point à souligner dans cette phrase, c’est la façon dont elle insiste sur la responsabilité d’Isolde dans ce qui est en train de se passer, avec le triple possessif – "son" invention, "son" discours, "sa" tentative – et le "elle-même" qui plante le clou final. Avec le point de vue très porté sur l’interne, ça aide vraiment à saisir le sentiment d’Isolde par rapport à ce qu’elle fait, et à quel point elle assume d’être la cause de cette nouvelle situation, qui l’a faite paria des deux communautés entre lesquelles elle oscille. D’ailleurs, ça lui donne une certaine modestie, vu comme le reste du texte souligne les comportements incohérents de ses compagnons, qui devraient tout autant être tenus pour responsables de cette rupture, puisque ce sont eux qui la rejettent. De fait, ça véhicule une bonne dose d’empathie pour elle.
Le second point, c’est l’anaphore. Et si vous êtes en train d’en chercher une, vous la trouverez pas, parce que ce foutu mot a deux sens et que c’est tombé sur le deuxième – ici, c’est juste le procédé de répéter un mot sous une nouvelle nomination. De la façon dont est composée la phrase, on a une d’abord une certaine association entre l’invention d’Isolde et le discours qui l’accompagne, puisqu’elle revient à son invention en continuant son discours, et derrière, l’anaphore "sa tentative de recréer les ponts qu’elle avait elle-même brisés" qui renvoie au discours, et par association à l’invention. Et à côté de ça, on sait qu’elle a brisé ces ponts entre elle et les Dessinateurs en rejoignant les Cyantifiques pour concevoir son invention. C’est peut-être un peu obscur présenté comme ça, mais l’idée qui ressort est que l’entièreté de la situation, de son déclencheur à son dénouement, appartient à un même processus. Ça ne dégage pas juste le sentiment qu’elle est à la fois la cause du problème et de sa résolution, mais presque celui que l’invention était vouée à créer un problème pour le résoudre. Bien sûr, ça peut simplement vouloir dire qu’Isolde avait prévu les conséquences négatives de son choix et était partie du principe que les conséquences positives résoudraient les négatives en plus du reste, auquel cas la tournure de la phrase aurait pu être différente sans que ça altère vraiment le sens. Mais vous me connaissez, quand je lis une phrase, je vais toujours chercher pourquoi elle n’a pas été tournée autrement. Et si je le partage ici, c’est parce que j’ai aussi le sentiment qu’il y a une dimension plus profonde que j’ai mal saisie dans le texte d’Onyx. Faudrait pas que ça devienne une habitude.
On n’a jamais de détails sur le fonctionnement précis de la machine d’Isolde, et de fait, quand on voit le résultat final de l’expérience ratée, on ne sait pas exactement ce qu’il s’est passé. On pourrait simplement se dire que c’est une énième manifestation des incohérences caractéristiques de l’Esquisse, ce qui ferait écho à la première partie du texte où Isolde relate la façon dont les Cyantifiques se retrouvent systématiquement confrontés à des phénomènes dépassant leurs théories les plus aguerries – ce qui vient de lui arriver – mais je suis sûr qu’il y a quelque chose de plus, quelque chose à interpréter. Et pour une fois que j’en suis sûr, je sais pas bien comment interpréter. Ma version la plus propre repose sur l’anaphore mentionnée tout à l’heure, et l’idée que la séparation et la réunification entre Isolde et les autres dessinateurs font partie de l’invention, ou y sont liées étroitement. À la fin, on aurait donc la séparation qui aurait réussi, Isolde ayant rejoint les Cyantifiques, mais la réunification aurait échoué définitivement, faisant disparaître Isolde au profit du robot ISOLDE, à jamais distant au niveau de sa personnalité de l’Isolde que les Dessinateurs ont connue. En parallèle, à titre d’interprétation, on aurait pu imaginer Isolde qui rejoint les Cyantifiques en promettant aux Dessinateurs que son invention les sauverait, que son invention échoue et que les Dessinateurs la rejettent définitivement en en faisant une autre personne, la Isolde Cyantifique et ayant perdu sa personnalité – les Cyantifiques étant généralement vus par les Dessinateurs comme dépourvus de toute empathie. C’est pas si loin du robot. Mais une théorie pareille devrait aboutir sur une raison pour laquelle cet enchaînement de séparation et de réunification, qui semblerait n’être alors qu’une façon d’enseigner la tolérance, aiderait à corriger les anomalies physiques dont l’Esquisse stigmatisent les gens qui s’y retrouvent catapultés. Et là, je l’ai plus.
Donc voilà. J’interprète parce que j’ai le sentiment que c’est très profond, mais j’arrive pas à en draguer l’abysse. Et sinon, bah il reste mon petit paragraphe qui constitue une petite analyse à lui tout seul. Et globalement, un tas d’idées que j’ai balancées qui, même sans se diriger vers une explication précise, suffisent à donner au texte un caractère de désillusion aplatie sur une soif d’idéal.
- Joy (KHS):
« Elle trouva un casque de moto où il y avait un trou. Impact de balle à bout portant ? Aucune idée. » - Joy (KHS)
Sur les deux commentaires précédents, j’ai parlé de la façon dont les membres de Kobe faisaient détoner la personnalité de leurs personnages avec l’univers de Metro, qui sont à des lieues l’un de l’autre niveau ambiance, et comme c’était intéressant de garder cette totale opposition plutôt que d’adapter l’univers aux personnages – ou inversement. Chez Joy, on est entre les deux, en ce sens que l’univers s’adapte au personnage, mais seulement dans sa narration, parce qu’elle rêve avec son âme d’optimiste, alors que l’atmosphère garde sa froideur à côté de ça. Et la citation que j’ai choisie résume assez bien cette dichotomie.
"Impact de balle à bout portant", c’est un constat terriblement cru, violent, et même morbide si on s’attarde dessus. C’est totalement en dehors du tempérament de la petite Joy, d’imaginer un meurtre brusque et sans merci comme ça, alors elle le rejette spontanément avec ce "Aucune idée" qui termine son constat, elle lance l’idée dans les méandres du doute pour l’y perdre définitivement. Et le côté froid de la formulation de tout ce morceau de phrase, sans sujet ni verbe, que des objets et compléments juxtaposés, un peu à la façon dont se ferait un rapport professionnel, fait résonner l’idée que Joy a malgré tout pris l’habitude de faire face à ce genre de pensée, et de les enterrer par extension. En somme, ça laisse le sentiment qu’elle n’est pas aussi naïve qu’on pourrait le penser, et qu’elle a déjà l’habitude de côtoyer les nombreuses désillusions de sa situation cruelle. Simplement, elle les noie sous d’autres songes plus lumineux, comme elle invitera les autres à le faire avec sa machine à rêver. Et à côté de ça, j’aime beaucoup le parallèle que ça fait avec ce qui est mentionné dans l’introduction, comme quoi on la prend souvent pour plus petite qu’elle ne l’est, ça en fait vraiment un personnage intéressant.
- Tiago (TE):
« Je me fous d’avoir à me salir les mains. Sales, elles l’ont toujours été. » - Tiago (TE)
J’aime bien la conclusion que cette phrase donne au texte, en redéfinissant presque totalement le personnage de Tiago après la chute. Le sens le plus évident qu’on en tire, c’est que ce n’est pas un enfant de chœur, mais ça va même plus loin que ça. À la base, Tiago est censé être un étranger à l’univers de Metro, et il va le prouver à travers le texte en ne se montrant pas comme un survivant de l’extrême faisant régner la loi du plus fort ou du plus vicelard, mais comme un gars au-dessous de tout ça qui va essayer d’installer des douches pour se sauver la mise – sacré contraste – qui le suggèrent même naturellement plus propre que ses compagnons d’infortune. Et du coup, quand vient la chute et cette phrase, et qu’on apprend qu’il a toujours eu les mains sales – l’expression est donc super bien choisie – ça le rapproche beaucoup plus des autres habitants de Metro, comme s’il était des leurs, et ça donne le sentiment qu’il s’est parfaitement accaparé la nouvelle ambiance dans laquelle il a été plongé. En plus de ça, quand on sait grâce au petit cartel explicatif en début de texte que c’est un personnage censé maîtriser le feu et s’étant retrouvé à maîtriser l’eau à la place par la fâcheuse volonté de quelque event en cours sur Terrae, ça donne l’idée d’un personnage qui n’est plus dans son élément – riez, s’il vous plaît – mais qui ne trahit jamais sa personne et utilise son nouvel élément comme il aurait utilisé l’ancien : pour brûler. La désillusion provoquée par la chute marche vraiment bien, elle fait se raccorder un tas de points qui la précèdent, et globalement, je trouve que c’est une superbe fin pour ce texte.
- Alfred (ILK):
« Ce sortilège était désormais teinté d'une toute autre émotion : l'urgence, le danger. » - Alfred (ILK)
Ce que je vais relever ici est sûrement assez évident et a dû taper dans d’autres yeux que les miens, mais c’est joli alors je m’en prive pas : l’idée d’associer la magie du personnage et ses sentiments. Et j’aime beaucoup la façon dont elle est traitée dans ce passage. On commence par nous introduire l’idée de façon assez claire, par l’intermédiaire des souvenirs du personnages, qui permettent de faire un lien direct entre le sort et les émotions grâce aux émotions qu’il a ressenties pendant la période où il apprenait le sort – globalement chaleureuses – et derrière, on utilise cette idée nouvellement introduite sur un exemple radicalement opposé qu’est sa situation actuelle. En l’occurrence, ça permet également de créer un grand contraste entre l’univers d’Alfred et les tunnels de Metro, qui sont en quelque sorte présentés côte à côté à travers les différentes teintes sentimentales du sortilège d’Alfred. Dans le premier, il n’utilisait pas vraiment le sortilège Lumos par nécessité – on peut supposer qu’il le faisait parfois, mais ce n’est pas ce qui est relaté dans le texte – mais plutôt pour la magie du truc, et dans le second, il l’utilise pour son côté utilitaire dans une ambiance infiniment moins magique qu’est la sombre réalité du métro moscovite. Ça fait office d’introduction de la situation, et je pense que c’est une façon remarquable de faire comprendre le sentiment d’Alfred par rapport à celle-ci.
- Kate (SNKR):
« Comme une jeune fille à son premier bal, dans les histoires qu’on lui avait racontées il y avait si longtemps. » - Kate (SNKR)
Si vous connaissiez la gradation, éminente figure de style dont je me retiens de citer un exemple tiré de Cyrano de Bergerac à base de roc, de pic, de cap et de péninsule, Kate nous présente ici ce que j’appellerais une dégradation. On prend une idée, on l’atténue, et on l’atténue encore, pour coller une nouvelle claque de froideur à chaque transition.
Ici, on a donc Kate qui part sur une machine censée écrire des mots doux et faire ressentir des émotions joyeuses aux gens. L’idée est plutôt jolie, surtout portée par cette comparaison avec la jeune fille à son premier bal, à laquelle on peut imaginer des sentiments qui tendent vers une réelle extase, l’essoufflement de joie comme après avoir passé le plus beau moment de sa vie, enfin vous avez l’idée. À ce stade de la phrase, ça promet encore une belle dose d’émerveillement. Et puis il y a la première transition, "dans les histoires qu’on lui avait racontées", qui suggère que Kate ne connaît ce sentiment que de réputation, et ne l’a jamais ressenti elle-même. D’un côté, ça nous révèle naturellement quelque chose sur elle – qui sera confirmé dès la phrase suivante – et d’un autre, ça donne comme un soudain retour à la réalité, en ramenant ce genre de sentiments extatiques à ceux qu’on trouve dans les belles histoires. C’est même difficile de déterminer à quel point Kate y croit vraiment. Et puis vient la touche finale : "il y a bien longtemps", qui suggère qu’en plus, on a cessé de lui raconter ce genre d’histoires. Et là, on comprend combien la pauvre Kate a vécu loin de ces sentiments, et que la dernière fois qu’elle en a entendu parler remonte certainement à des contes pour enfant. Donc là, la compassion atteint son pic, et l’empathie va pas tarder à la rejoindre. Oui, parce que derrière, même totalement étrangère à ces sentiments idéalisés à outrance, elle met quand même tout en œuvre pour que d’autres les découvrent ou les redécouvrent. Elle en est à ce niveau d’abnégation. Et le fait qu’elle s’efforce toujours d’y croire, même après que la narration nous ait mentionné ce qu’elle en connaît, ajoute même un petit côté âme d’enfant inébranlable qui parachève le côté touchant de la scène et de la fin du texte.
- Juliette (MAD):
« Il n'y a pas grand monde d'arrêté devant cet étrange stand, mais la marchande commence à interpeller la foule : » - Juliette (MAD)
Si vous avez lu mon commentaire de l’épreuve 4 dédié à Yoligan, ce que je vais présenter ici est assez similaire. Mais avec une petite subtilité en plus que j’adore.
Le texte commence d’un point de vue très externe, à tel point que le personnage de Juliette n’est pas identifié avant un moment. On la désigne comme une marchande, qui semble pratiquement faire partie du décor la première fois qu’elle est évoquée. Elle n’est même mentionnée qu’après un autre personnage, parfaitement secondaire, qu’est le gardien des véhicules, ce qui fait que de prime abord, on peut facilement imaginer qu’elle est toute aussi secondaire. Et on la voit même s’éclipser un instant de la scène. De fait, à ce stade, on a vraiment un point de vue qu’est celui de la foule. La phrase que j’ai sélectionnée va d’ailleurs dans ce sens, notamment en désignant le stand de Juliette comme un "étrange stand", qui ne sert d’ailleurs que de complément circonstanciel à une action dont la foule est le sujet. Bref, ça ressemble à un tas de petits détails, mais ça marche vraiment bien. Grâce à ces jeux de narration, Juliette paraît extrêmement distante de prime abord, de la foule comme du lecteur. Et ce n’est qu’au fur et à mesure que le texte évolue et que Juliette se fait remarquer qu’on va recentrer les tournures narratives sur elle, faire progressivement tendre le point de vue vers quelque chose de plus interne, avec au milieu du texte des tournures en demi-teinte comme "Cela ne déstabilise pas pour autant Juliette", qui sont techniquement internes mais relatent des faits qu’on pourrait éventuellement deviner d’un point de vue externe, pour finalement s’achever sur un véritable passage d’introspection où Juliette fait le point sur sa situation. Et ce qui rend l’effet très prenant selon moi, c’est que ça se fait en parallèle de l’approbation de la foule pour Juliette, qui commence par la voir comme une totale étrangère se démarquant à peine du décor, puis qui commence à gagner de l’intérêt pour elle – même s’il est plutôt hostile – et qui finit par totalement l’accepter. Et de fait, en tant que lecteur, on suit la tendance de la foule en découvrant le personnage petit à petit et en l’appréciant de plus en plus – en tout cas, moi, je l’apprécie. Et, vraiment, ça n’a rien de spectaculaire parce que un effet très subtil et étalé sur tout le texte, mais je trouve que c’est d’une finesse exemplaire, et une des plus belles façons qu’il me fut donné de lire dans cette édition de décrire cette distance entre un personnage et le nouvel univers qu’il doit adopter.
Et voilà ! Bon, vous aurez remarqué qu’il ne reste plus beaucoup de temps avant la fin des votes, et il est tout à fait envisageable que je n’arrive pas à sortir le quatrième commentaire promis avant la deadline. Donc si vous continuez de suivre après, j’essaierai de quand même le lancer quitte à avoir un ou deux jours de retard, mais pour ce qui est de la suite, j’aurai peut-être plus de mal à me motiver à lire et commenter les deux dernières épreuves en sachant qu’il y aura moins de gens pour écouter mon avis une fois que la fin de l’interforum aura sonné. En attendant, j’espère que ça vous a plu, encore une fois ! Pour ceux pour qui ce sera mon dernier commentaire, je suis quand même heureux d’avoir terminé sur un gros coup de cœur – vous me direz, j’en ai eu pas mal dans cette épreuve, mais là encore plus – et pour les autres, je vous donne rendez-vous pour le prochain ! Il sera soit sur l’épreuve 2, soit sur l’épreuve 6, mais peut-être aussi sur l’épreuve 3. C’était très utile, comme information, ça. |
| Dim 29 Mar - 20:14 Bonjour ici ! Je n'aurais pas le courage de commenter tous les textes comme certains ici, mais j'ai envie de commencer par dire deux choses à ceux qui ont posté avant moi pour le faire (ou après hein, tout pareil) : bravo, parce que ça prend du temps et que c'est pas un exercice forcément évident, et merci, parce que ça fait vraiment plaisir d'avoir des avis sur nos textes. Donc comme je disais (ou que j'ai pas encore dis mais je le dis maintenant, voilà), moi je viens juste donner pleins de remerciements <3 Déjà merci Sona, Luna et Mitsuki pour vos commentaires sur mon texte, l'objectif avec Pachou est toujours de faire rire et ça fait plaisir quand c'est réussi ! (E Sona, on trouve rarement Pachou "adorable" sur NRP mais merci, ça fait plaisir de voir que tout le monde a pas envie de lui taper dessus xD) (Et un merci spécial à Mitsu pour avoir mentionné l’œuf du dernier interfo haha, je me demandais si certains se souviendraient.) Ensuite merci et bravo à tous ceux qui ont posté un texte (ou plusieurs pour les plus courageux !), soit dans les épreuves soit dans la BàT. Je ne peux pas prétendre avoir accroché avec tous vos textes mais ils ont le mérite d'avoir tous apporté quelque chose à cette grande réunion qu'est l'interforum et j'espère que tout le monde aura pris autant de plaisir que moi à l'écrire ou même plus en fait, parce que moi j'ai bien galéré sur la fin. Bravo aussi à ceux qui ont lu et voté, parce que franchement, c'est la partie la plus difficile et que lire autant de textes, c'est pas rien ! Et enfin, merci à Métro d'avoir organisé cette édition, parce que c'est du boulot et qu'on attend toujours cet évènement avec impatience, donc ça doit mettre bien la pression aussi ! ^^ Donc chapeau Valya et tout le staff de l'interfo pour Métro <3 Voilà, c'est déjà pas mal, maintenant j'ai hâte de voir les résultats et de savoir qui va succéder aux nanites !! |
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