- Les dés ont désigné le champion d'Esquisse pour commencer le RP - Vous avez 3 jours pour faire 5 réponses chacun, soit un total de 10 réponses. - L'épreuve prend fin à minuit tapante, le dimanche 15 mars. - Les réponses sont plafonnées à 350 mots. - Pensez à présenter lors de votre 1ère réponse en hors rp votre personnage et votre univers en quelques lignes. - Évitez les fiches de code peu lisibles (police d'écriture trop petite, écriture blanche sur fond gris) et songez au confort de lecture pour ceux qui vont devoir tout lire.
Flavien
Invité
Sam 14 Mar - 13:44
le Varêgue (passque c'est plus russe que le Triaire, mon perso d'Esquisse amnésique qui porte un équipement de légionnaire romain)
Le Varêgue est un psychopathe sympathique. Bien que dénué d'empathie il n'est pas mauvais et consacre sa vie protéger l'humanité du métro, cela implique tout autant la chasse de mutant que la tuerie de bandits trop gourmands ou l'éradication de souches épidémiques. C'est en outre un sacré malade qui se bat exclusivement au corps à corps. Engoncé dans une armure de chitine de mutants et armé d'un monstrueux poignard et d'une hache pas version incendie. Il fait ce qu'il veut sans tenir compte des règles des différentes factions qui le laissent toutefois faire tant qu'il ne va pas trop loin, l'avantage de faire le pire travail que personne ne veut. Personne ne connait son identité, il ne se fait appeler que "le Varêgue" à cause de son armement et cela lui convient, vu qu'il ne sait même pas non plus qu'il est depuis son enfance.
RP :
Les derniers gravats tombèrent puis le silence étouffant envahit la galerie. Repoussant un corps le Varêgue se sortit des décombres et avisa son matériel en premier lieu. C'est un certain soulagement qu'il se rendit compte que son masque avait juste glissé de son étui et ne s'était pas déchiré comme il l'avait d'abord craint. Il le rangea rapidement en fermant bien les boutons. Quelle stupidité quand même. La petite station était parfaite mais il avait fallut qu'un crétin ait l'idée de provoquer une fusillade soi disant car il méritait le respect. Tsss toujours pareil les petits cons. Faudrait qu'il pense à aller remettre ce gang dans le droit chemin une fois qu'il serait sortit de ce merdier. Un bruit attira son attention, une femme, d'allure bizarre, enfin si ce mot voulait dire quelque chose encore, essayait de se dégager. En un tournemain il se dirigea vers elle et cala le manche de sa hache dans la pierre. Un effet de levier plus tard la femme était libre. Son attitude dérangeait le Varêgue, elle semblait ailleurs. -C'est finit maintenant. On va suivre cette galerie et tomber sur une grande ligne, je connais le chemin. Tient toi à carreaux et tout ira bien, compris ? Il mit sa main sur le manche de son poignard pour bien faire comprendre qu'il la tuerait si elle faisait la conne. Il avait eu suffisamment de mauvaises expériences. Quand on aide les gens, souvent on leur casse les dents. Sa lumière semblait intacte, juste un petit coup sur la dynamo et le tunnel fut éclairé comme en plein jours, une expression de vieux ça. Il avança en prêtant un regard attentif à la fille. Elle avait des arme mais pas de munitions, pas un filtre. Bah, aucune importance. Elle saurait bien se débrouiller. Ils marchèrent une dizaine de minutes, n'échangeant pas un mot. La fille semblait de plus en plus stressée. Elle avait peut être pris un mauvais coup ? Au moins aucun mutant ne semblait se pointer.
Ils arrivèrent à la porte de l'intersection. Bloquée par un gros rocher.
-Recule et surveille, je m'en charge.
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Sergueï Zinovieva
Garde du corps - Lycaon
Passeport Age :: 27 ans Patronyme :: Yvanova Surnom :: Seryoga
Sam 14 Mar - 13:57
Présentation HRP:
Yo ! Pour ce mini-rp, je vais envoyer Sergueï face au Varêgue !! Sergueï c'est une ancienne mercenaire pas commode. Elle est très porté sur la violence, perd vite son sang froid. Son garde fou, c'est Isaac. Son frère, infirme, avec qui elle a monté un groupe de marchand Les Siffleurs. Sergueï protège son frère dans toutes les circonstances et est basiquement prête à tout pour lui. Elle est doté d'une "mutation" qui lui permet de déclencher des montées d'adrénaline. Au détriment de son organisme ! Voilà voilà o/ Bonne lecture !!
Le sol s’était soudainement dérobé sous les pieds de Sergueï. Elle ignorait les raisons et les causes de l’éboulement. Reste qu’elle était au milieu d’un tunnel. Noir. Elle était écrasée par les décombres de la cavité. Encore dans les vapes, elle tenta de se débattre. Quand une silhouette se dessina subitement dans la pénombre. Elle se tendit. Sa main gauche glissa dans les gravats jusqu’à son pied-de-biche, la gauche à son pistolet-mitrailleur.
Une lame sembla briller. Une goutte de sueur roula dans le dos de la Chienne. Son doigt se posa sur la gâchette. Sa main serra le pied-de-biche.
Soudain, la voix de l’homme résonna. Le son de sa hache et de la pierre aussi. Les graviers libérèrent le corps de la jeune femme. Elle s’en extirpa difficilement. En toussant. Elle roula sur le sol. Son habituel treillis était encore en état, son épais manteau qui cachait un gilet pare-balles rafistolée aussi.
Sensation fraîche sur le visage.
Son rythme cardiaque s’intensifia. Ce n’était pas normal. La vitre de son casque était brisée. Elle se releva.
- Isaac ! Masque cassé.
Pas de réponse. Juste les pas de l’homme. Il portait lui aussi un masque et éclairait le tunnel avec un bâton bleu. Où était Isaac ? Le rythme cardiaque de la jeune femme s’intensifia tandis que mécaniquement, elle se mit à marcher. Son fusil à pompe ballottait contre elle au rythme effréné de sa marche.
Après quelques pas à regarder partout en soufflant et respirant difficilement, elle reposa ses yeux sur l’homme.
- Où est Isaac ? Ce masque est le sien ?!
Le cliquetis caractéristique du pistolet-mitrailleur raisonna. Dans son autre main, elle avait son pied-de-biche.
- Tu as fait quoi à mon frère ?!
La colère, mais surtout l’angoisse se lisait sur le visage de la jeune femme. Sur le visage de l’homme, elle voyait le même regard. Celui qui ne comprenait pas. Celui d’un futur cadavre.
Flavien
Invité
Sam 14 Mar - 18:59
-C'est mon masque. Je ne sais pas où est ton frère, probablement encore à la station. Aide moi avec le rocher et tu pourras aller le retrouver. Elle cessa de pointer son arme sur lui et regarda sur les cotés, comme si elle surveillait ou espérait le voir arriver.
Le Varêgue se concentrait sur sa tâche en gardant un œil sur la femme. Elle avait l'air complètement droguée, sa posture était plus celle d'une mutante que d'une humaine. Le rocher bougeait lentement malgré ses efforts. Il sentit d'un coup le poids qu'il portait s'alléger. La femme venait de sortir un pied de biche et tentait de l'aider. Bien, au moins il n'avait pas de raison de se méfier d'elle. Petit à petit le passage se dégageait mais une odeur envahit petit à petit leur tunnel en même temps. Le Varêgue sentit le gaz et sa première pensée fut que heureusement il avait son masque intact et une pleine réserve de filtre. La seconde fut pour la femme qui le regardait avec un regard étrange. Il se crut en devoir de l'encourager -Force, encore quelques minutes et ce sera bon. Normalement si on montre qu'on contrôle la situation les gens sont plus disposés à obéir. Faut leur laisser une bonne raison. Secondes après secondes l'air se chargeait néanmoins du gaz mortel. Le Varêgue commençait à prendre conscience qu'ils ne pourraient pas bouger le rocher assez vite. Et la femme aussi. Il tenta une dernière manœuvre pour bouger le rocher. Pendant un moment il ne se passa rien puis le rocher bascula...bascula....bascula...dans le mauvais sens et tout les efforts entrepris furent réduits à néant. Le rocher produisit un nuage de poussière, préparant un linceul. Le Varêgue savait ce qui allait se passer, il ne se berçait pas d'illusions. Est ce qu'il devait prévenir la femme ? Ou la tuer directement pour lui éviter le désespoir ? Il n'eut pas le temps de choisir une réponse. La femme venait de se dégager du rocher, elle retroussait les lèvres comme un animal enragé. Il savait quoi faire. D'un geste fluide il dégagea sa hache et l'abattit sans plus attendre.
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Sergueï Zinovieva
Garde du corps - Lycaon
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Sam 14 Mar - 22:29
Alors qu’elle s’apprêtait à cribler l’homme de balles, ce dernier parla du rocher. Il valait mieux résoudre ça avant. Néanmoins, elle ne lui faisait pas confiance. Il avait un masque, pas elle. Qui plus est, elle ne le croyait pas. Il devait savoir où était Isaac. C’était le masque de son frère. Jetant son regard autour d’elle, elle s’efforçait de se souvenir des consignes de son frère si jamais ils étaient séparés.
Ne pas attaquer les autres. Faire confiance.
Elle pesta intérieurement. Elle vint caler la pointe de son pied-de-biche dans le rocher. Elle tenta de le faire bouger avec l’aide de l’homme. Comme Isaac lui aurait conseillé. Mais alors qu’il se frayait un interstice, Sergueï inspira.
L’air de la surface.
Soudain, le rocher bascula dans le sens inverse. Elle se jeta en arrière. Collant sa manche au niveau de son visage.
À côté d’elle, l’homme bougeait. Elle leva aussitôt son pied-de-biche. Un tintement métallique raisonna. Elle jeta son pistolet-mitrailleur au fond de la cavité en reculant de plusieurs pas. Elle ne pouvait plus compter dessus. La moindre étincelle mettrait le feu à toute la caverne. De sa main libre, elle arracha un pan de sa veste et le noua autour de son visage.
Lorsqu’elle reposa ses yeux sur l’homme qui l’avait attaqué, ils avaient changé. Son regard était celui d’une bête. Les jambes fléchit, le dos cambré, le souffle rauque, elle était plus proche du Nosalis que de l’humain.
- Le masque ! J’en ai besoin pour Isaac !
Elle se jeta droit vers l’homme. Se déplaçant comme une bête. À un pas de lui, elle se jeta sur le côté, jetant son bras droit par terre pour s’appuyer dessus, elle pivota. Dans le dos de l’homme, elle envoya son pied-de-biche contre l’intérieur du genou gauche de son ennemi.
Flavien
Invité
Dim 15 Mar - 19:33
Le coup fut violent, bien assez pour le déséquilibrer, mais la membrane dont il se protégeait les articulations amortit le choc et lui évita d'avoir le genoux brisé. Il il répondit en faisant tournoyer sa hache, forçant la fille à reculer momentanément. Elle l'attaquerait jusqu'au bout.
Le Varêgue réfléchit. En temps normal il se serait contenté de jouer le temps jusqu'à ce que le gaz la tue, mais il n'avait pas mit son masque, il devait la tuer avant. Il saisit son couteau de la main gauche et se lança à l'assaut. La femme esquiva chacun de ses coups de hache et tentait de le le contourner, mais son armure présentait peu de faiblesses.
Il tenta un coup avec son couteau, pour le lui enfoncer dans les entrailles et lui déchirer l'abdomen comme un sac. Cette fois elle para avec son propre pied de biche puis riposta pour lui faire lâcher son arme. Il répliqua à son tour en balançant sa hache avec tant de force qu'elle resta coincée dans la pierre un moment. Sous la violence du coup la fille lâcha son pied de biche et les deux armes glissèrent bien trop loin de leurs propriétaires.
Le Varêgue se prépara à la défoncer à mains nues quand il vit un masque entre eux deux. SON masque ! Dans la bagarre le bouton avait encore sauté.
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Sergueï Zinovieva
Garde du corps - Lycaon
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Dim 15 Mar - 20:53
Sergueï se déchaînait comme une véritable bête. Se jetant à corps perdu dans la bataille. Elle se cambrait, se tordait, pour éternellement revenir à l’assaut. Son pied-de-biche semblait être devenu une extension de son bras. Pourtant, le coup de hache de son adversaire fit tournoyer l’arme de la Chienne. Elle bondit en arrière en poussant un râle de douleur. Les jambes fléchit, une main sur le sol, l’autre tendu sur le côté.
Elle regardait son adversaire. Il n’avait plus d’armes. Elle, n’avait que son fusil à pompe. L’utiliser serait pure folie. Mais, folie ou pas, Sergueï avait oublié son existence. Sa gorge la grattait, l’irritait. L’air se raréfie. Ses poumons peinaient à se remplir. Dans ce genre de situation, la mercenaire de la Hanse cessait de raisonner comme une humaine. Il n’y avait plus qu’une chose qui comptait.
Survivre.
Elle se jeta sur son adversaire. Les bras ballants. Elle fut arrêtée par un puissant uppercut qui la fit reculer de quelques pas. Une gerbe de sang fila. Un autre coup la jeta sur le côté, manquant de la faire tomber. Quand vint un nouveau coup, son corps s’affaissa. Passant en dessous du bras adverse. Elle tomba au sol, se cambra et rebondit. Ses mains se jetèrent sur le torse de l’ennemi. Elle se hissa sur lui. Ses jambes s’enroulèrent autour de la taille de l’homme. Elle se jeta sur son visage.
Ses dents se referment sur la chaire de l’homme.
Malgré les coups qui pleuvent sur elle, elle ne relâche pas son étreinte. Elle s’agrippe de toutes ses forces. Elle resserre ses jambes au-dessus de la taille de l’homme. La douleur lui vrille le corps. Des larmes coulent. Elle mord plus fort. Pour arracher la chair.
Quelque chose tombe sur son crâne. Liquide. Gluant. Un grognement raisonne. Ce n’est pas le sien. Les siens. Plusieurs paires d’yeux jaunes guettent le combat.
Flavien
Invité
Dim 15 Mar - 22:35
Elle avait été plus rapide que lui. Elle le bouffait comme un mutant, mordant dans sa joue avec la même hargne qu'une bête.
Il la frappait de toute ses forces, lui cognant les côtes et la tête sans s'arrêter mais elle refusait de lâcher. Obstinément elle restait accroché à lui comme une sangsue. Le Varêgue essaya de lui saisir la tête mais sa main glissait contre la peau rasée.
L'air devenait irrespirable, il fallait qu'il prenne son masque, il fallait qu'il se dégage. Il vit les yeux luisants des mutants. Encore dans l'ombre, attendant que leurs proies crèvent.
Il glissa finalement sa main sous la gorge de la femme et poussa. Elle grognait en postillonnant du sang, SON sang. Il forçat, quelque chose cédait, la douleur était horrible mais il força encore.
Dans un grand bruit de viande il arracha enfin la femme et maintint sa tête éloignée. Son menton et sa joue n'étaient que douleur. Dans la bouche de la tarée il pouvait voir sa propre chair arrachée et le sang couler à flot pour inonder le sol.
Elle tentait de rapprocher, pour encore lui arracher la peau, elle était comme les mutants. Et l'air...
Luttant contre la douleur qui montait dans sa poitrine il donna un uppercut à la femme, puis un deuxième. Il lui fracassait la gueule avec une froideur clinique et son sang ne fut plus le seul à couler de la bouche de la femme.
Enfin il s'en débarrassa et la jeta au sol. Il tomba à genoux et chercha son masque. Il tomba d'abord sur sa hache, juste à temps, un nosali plus audacieux que les autres tentait sa chance. Il l'envoya voler d'un coup de revers qui l'épuisa.
Ou était son masque ?
Sa main cogna un morceau de rail. Toujours pas de putain de..enfin. Il mit immédiatement un filtre et tenta d'enfiler son salut. Le masque glissait sur le sang, provoquait des douleurs abominables contre sa chair à vif mais il le mit quand même, assez bien pour respirer un minimum.
Il fallait qu'il sorte de la.
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Sergueï Zinovieva
Garde du corps - Lycaon
Passeport Age :: 27 ans Patronyme :: Yvanova Surnom :: Seryoga
Dim 15 Mar - 23:01
Lorsque la main de l'homme entoura la gorge de Sergueï, elle ne la remarqua pas. Pour cause, elle ne respirait plus depuis un certain temps déjà. Ce n'est que lorsque qu'elle fut soulevée et qu'elle emportant un bout de son ennemi avec elle, qu'elle réalisa. Les coups pleuvaient. La sonnant. La douleur la paralysait.
Elle fut finalement jetée au sol. Haletante. Blessée.
Le visage de cet homme qui l'avait tabassé à mort s'effaça. Celui de son frère disparu également. Très vite, il n'en resta plus qu'un. Celui qui l'avait traumatisé quand elle était enfant. Celui qui avait fait d'elle le monstre qu'elle était.
Elle sentit son corps s'enflammer. Se soulever sans qu'elle n'ait d'emprise dessus.
Elle se jeta sur ses pattes. Désarticulée. Ses yeux ne distinguaient que de vagues formes. Des sons. Grognements. Râle. Filtre.
On avait mis un filtre dans un masque. Elle se jeta vers la source du son. Elle sauta sur la silhouette. Frappant, plongeant ses dents tantôt dans la chair, tantôt dans la chitine.
Mais elle fut soudain jeté en arrière. Les autres silhouettes se pressaient autour d'eux. Sergueï se redressa pour se replonger dans la bataille. Elle heurtait les mutants. Se faisait lacéré, mordre. Des torrents de liquide brûlant ruisselant de son crâne alors qu'elle s'étouffait.
Flavien
Invité
Dim 15 Mar - 23:18
Le Varêgue repoussa la femme d'une main. Elle n'était plus une menace mais les mutant si. Il avisa son couteau au sol et le ramassa en vitesse, juste assez vite pour décapiter un autre mutant.
Les bêtes se jetaient sur la femme qui se faisaient lacérer, dévorée vivante. Il aurait pu tenter d'achever ses souffrances mais tant qu'elle vivait elle retenait les mutants.
Il cala une nouvelle fois sa hache contre le rocher et appuya. Il ne pensait pas à la meute derrière, il fallait juste forcer un peu, le basculer sur le coté, enfoncer un peu, tourner le man...che putain de roc de merde...aller....HAN !
Le rocher roula sur le coté et un air frais souffla, juste un instant.
D'autres mutants se jetèrent sur lui, éraflant son armure et tentant de déchirer son masque. Il les défonça tandis que derrière la femme hurlait. De douleur ? De rage ? De quoi ? Il s'en foutait, il fallait qu'il marche.
Le tunnel était propre, il vit au moins un autre passage vers la sécurité, les profondeurs. Il se mit à claudiquer cahin caha, la douleur à son visage..il aurait tué lui même la femme si il avait pu.
Les cris descendirent petit à petit. Un dernier mutant se jeta dans son dos. Il l'éventra avec son couteau, les entrailles tombèrent sur son masque. D'autres cris, toujours plus inhumains, plus horribles que ceux des mutants. Il pénétra dans l'escalier et ferma la porte d'acier. Il n'entendit plus rien. De l'autre coté les mutants s'en retournèrent vers leur proie, espérant un os à ronger.
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